TWITTER : SUIS-JE UNE « MAMY? »
SUIS-JE UNE « MAMY « ?
LES VIEILLES GOYA HAHAHA!
SUIS-JE UNE « MAMY? »
Voici cet élément :
Gilko (@MisterGilko) a posté à 11:46 PM on ven., déc. 27, 2024 :
Va tricoter mamy
(https://x.com/MisterGilko/status/1872776112562159860?t=g7FDn_cRSwijwiL2PzgVNA&s=03)
Chers Lecteurs,
La première période de l’École de Francfort postulait une question unique qui allait révolutionner la philosophie et la sociologie, avec la création de l’Institut de recherches sur le socialisme non, à cette époque-là, le socialisme, la gauche en général n’avait pas ce visage décadent des faux personnages qui l’animent à présent.
Que disaient ces rénovateurs de premier ordre?
Tout ce qui se passe au sein de la société, pour infime et simple soit-il, il mérite d’être objet philosophique et doit nous intéresser pour faire une analyse critique. Je vais rester là, cet article n’est pas un cours. Depuis mes dix-sept ans, j’ai pris connaissance des fondements de cette École, dans mon pays d’origine, au Santiago du Chili, pays catalogué comme pays du tiers monde, et en première année de faculté pour la formation de professeurs d’État, nous avions dans notre programme de Pédagogie, l’École de Francfort, ce qu’ici en France reste encore caché volontairement pour éviter que les étudiants soient éclairs et insoumis !
J’ai été subjuguée et je me suis promise qu’une fois diplômée, j’allais entreprendre cette route intellectuelle parallèlement à mon travail de poète.
L’année dernière, quand commença le génocide à Gaza, je me suis inscrite sur Twitter, deux heures après on m’a bloquée sous prétexte que je »ne respectais pas les règles du site ».
Je n’ai JAMAIS maqué de politesse, je suppose que vous me connaissez par mes écrits, je n’emploie JAMAIS des mots blessants ni ne m‘adresse aux personnes qui ne sont de mon champ d’idées dans des termes inappropriés ou blessants, les combat d’idées se combat avec d’autres idées et par écrit de préférence, sans masquer ni notre nom ni qui nous sommes.
Hier soir assez tard, je dormais déjà, un élément avec pseudo me « répond » je ne m’adressais pas à lui, il m‘a écrit sûrement en réponse à mes conversations assez courtes avec mes correspondants, la plupart d’entre eux Gazaouis, ou des personnes qui sont contre « Le clown YouTube ».
Nos échanges sont courtois, tragiques et courts, je ne suis pas abonnée alors, je n’ai pas droit à publier moi-même, je ne peux que répondre aux participations.
Ce matin au réveil de lis ce post que je vous montre ci-joint.
Que dit-il ?
« VA TRICOTER MAMY«
Il considère que je n’ai pas droit à la parole parce que
JE SUIS VIEILLE…
Et, « IL« considère que mes idées n’ont pas de place sur TWITTER
parce que JE SUIS VIEILLE !
Alors il m’envoie TRICOTER !
La bienséance oblige à le bloquer.
À le laisser tomber.
JE FAIS TOUT LE CONTRAIRE
Je lui ai répondu ceci :
« Je ne sais pas tricoter ».
Je suis poète-écrivain, j’ai 32 livres écrits, 29 publiés en indépendante.
Je suis artiste-peintre, dernière héritière de l’École de Paris. J’ai un atelier des toiles.
Je suis professeur d’espagnol Bac+ 8.
Donc, je l’ai droit à la parole et en revanche, vous n’êtes qu’un parasite qui manque de virilité si vous osez insulter la dame que je suis.
Et, pour en finir, je suis vieille, certes, mais, je ne suis pas spectaculairement ridée.
Et mes photos ne sont pas celles de mes 20 ans, mais de décembre 2024.
La femme pédagogue que je suis à un défaut de profession : je critique tout ce que je vois, j’entends, je lis et encore plus tout ce qui me concerne directement, parce que cet élément qui appartient apparemment au genre HOMME, il m’adresse personnellement un post.
Je n’ai jamais caché mon âge.
Maman, m’a enseigné qu’une femme doit se faire DISCRÈTE quand elle devient VIEILLE.
J’ai suivi à la lettre ses conseils.
Mais ces conseils ne se dirigent pas à l’arrêt de la PROFESSION d’une femme VIEILLE, mais uniquement à ses improbables relations avec le sexe opposé. Vaste sujet que par le passé j’ai déjà développé.
Maman avait entièrement raison, et j’ai suivi sans la trahir son enseignement.
Mais ici, nous sommes dans l’espace intellectuel où une femme a le droit de poursuivre son travail intellectuel dans la mesure où son CERVEAU, sa santé intellectuelle reste intacte. C’est mon cas particulier.
Je me fais des contrôles de santé.
Vous confiez aux garagistes votre voiture pour contrôle technique, bon, nous sommes des machines humaines et nous devons nous contrôler pour éviter des mauvaises surprises que d’être découvertes trop tardivement, nous emmèneraient avant date au cimetière et je fais de mon mieux pour y tomber le plus tard possible.
Pour ce fait :
Je pratique la médecine préventive.
Ceci ne doit pas devenir ni secret médical ni mystère.
Toute personne âgée qui prend une place au sein de la société avec des créations publiques doit montrer son état de santé pour qu’elle soit crédible, c’est une question sine qua non.
1. Mon dernier scanner cérébral donne un résultat PARFAIT.
2. Ma dernière prise de sang dit que j’ai la santé d’une jeune.
3. Je ne suis pas cardiaque.
4.Je ne suis pas diabétique (je suis le contraire, j’ai une hypoglycémie dès toute jeune, pour contrecarrer ça je dois manger beaucoup de protéines !)
5. Je n’ai pas de mauvais cholestérol, mon LDL est PARFAIT.
6. Je n’ai pas d’hypertension, au contraire j’ai une hypotension. (non, je ne prends aucun médicament, mais du café!)
Alors mesdames, messieurs,
j’ai le droit de poursuivre mon travail littéraire, pictural et de critique sociétale.
Quant à mon apparence physique, bon, nous vieillissons tous ! Hélas !
Contre ça, je ne peux rien faire.
Et je l‘assume.
Je suis artiste-peintre, depuis toute jeune, et mes parents éveillaient en moi le souci non seulement d’entretenir ma santé qui pour eux était quelque chose de capitale, mais en égal équilibre je devais surveiller mon apparence physique, cela veut dire que dès mon adolescence tout ce qui était bien être, mode, maquillage et parfums attiraient mon attention.
À présent, appauvrie de force par cette unique et merveilleuse ADMINISTRATION FRANÇAISE, qui m’a laissé dans mes vieux jours avec une retraite misérable, je dois faire des miracles pour garder un bien-être et une apparence corrects et, rester physiquement, le mieux présentable qu’il me soit possible, et le plus important sans argent !
Je crois que je me débrouille pas mal…
En ce qui concerne ce type je ne l’ai pas bloqué.
C’est lui devra le faire.
Je lui ai répondu que grâce à sa phrase de m’envoyer tricoter, il me donnait un excellent sujet de critique sociétale:Parler de la vieillesse.
Je lui ai dit aussi qu’un HOMME, en supposant qu’il le soit, peut-être il ne l’est pas, qui ose insulter une dame, démontre que la VIRILITÉ lui fait grave défaut.
Une femme intellectuelle, créatrice ou non, a le droit d’intervenir et, poursuivre ses travaux dans la mesure où ses facultés intellectuelles restent intactes.
Mon handicap est circonscrit aux genoux.
Et, ce sont les SERPENTS, qui en essayant par tous les moyens que leur pouvoir administratif leur concède, ne veulent que me taire et me nuire, en me bloquant de force mon retour à Paris, car elles savent que c’est seulement Paris qui me correspond, non seulement pour résoudre mon problème de handicap, mais aussi pour me nuire plus précisément en tant qu’artiste, afin d‘éviter que je poursuive mon travail d’artiste que tout le monde veut rendre invisible.
Ce PARASITE et LES SERPENTS n’auront jamais le dernier mot.
C’est la parole et l’œuvre d’un artiste, les seuls qui resteront indélébiles, jamais les parasites et les pauvres « fonctionnaires ».
Chers Lecteurs,
Merci de votre aimable lecture et votre fidèle attention à mes publications.
CARMEN FLORENCE GAZMURI CHERNIAK
Write a comment
You need to login to post comments!