CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

SITE LITTERAIRE ET DE CRITIQUE SOCIETALE-ARTISTE PEINTRE ET POETE-ECRIVAIN

Skip to: Content | Sidebar | Footer


Prendre contact avec Carmen Gazmuri-Cherniak au travers
du formulaire de contact du site.

TARDIF RÉVEIL – MÉMOIRES : MA VIE LITTÉRATURISÉE DU CHILI A LA FRANCE

2 février, 2025 (11:23) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

TARDIF RÉVEIL

 

 

 

J’ignorais pourquoi le cerveau oppose une si grande résistance à s’avouer une réalité redoutable, irrévocable et qui est accessible à l’analyse qui est à la portée de quiconque voudrait l’analyser sans aucun parti pris.

Je pense à ça maintenant que depuis la mort de Maman je n’ai du piano et de Bach que le son métallique et désagréable des CD ou du son qui sort de l’ordinateur et non cet océan tumultueux qui sortait du clavier du grand piano noir de concert où Maman commençait ses heures de piano, ce son chaud, orchestral qui s’imposait grandiose dans notre salon.

C’était ça ma vie, c’est ça ma vie et elle le sera toujours.

Pourquoi ?

Parce qu’il est normal de s’attacher à la vie !

Il y a une très courte fugue du Clavecin bien tempéré qui est si rapide et forte qu’elle ne peut se traduire que comme une réaffirmation religieuse de la vie !

 

Puisqu’au rythme du contrepoint, nous nous laissons aller vers ce mouvement vertigineux qui ne nous laisse pas, le contrepoint court par notre courant sanguin et il est enivrant.

 

C’est pour cela que le cerveau ne veut pas croire à la mort.

 

Le cerveau doit avoir un secteur réservé à cette résistance farouche.

Je regardais Maman jouer au piano, c’était un véritable rituel qu’elle accomplissait tous les matins à neuf heures.

À la même heure où elle m’a mise au monde.

Dès que je me levais à peine du sol je la regardais et je l’écoutais, et j’avais peur, je me souviens de ce type de peur si difficile à expliquer pour une si petite enfant, la peur qui me produisait Maman qui se métamorphosait dès qu’elle levait le drap qui couvrait le grand piano noir de concert s’imposant dans le centre du salon, il était indubitablement un être vivant un autre membre de la famille.

 

Il y a une courte fugue du Clavecin bien tempéré, si rapide et forte qui est une réaffirmation religieuse de la vie !

Le piano de Maman était un être vivant collé à elle et indivisible, Maman était née pianiste, une musicienne sans pareil, elle fut méprisée, la déesse que papa voulait sauver de ce pays la ramenant à Paris, mon pauvre papa n’a pu accomplir son rêve et quand moi j’ai pu et que j’ai voulu ressusciter le temps, c’était déjà trop tard, mais Dieu sait comment j’ai me suis acharnée pour lui donner tout ce qu’elle méritait, Dieu seul sait combien j’aurais voulu la protéger et lui redonner sa musique, mais il est impossible de lutter contre les mafias et aller à l’encontre de la loi du vieillissement.

Derrière le piano, mon père avait installé son grand chevalet. Il en avait plusieurs, mais il ne voulait pas cesser de travailler quand il était à la maison. Maman levait le couvercle du piano, ouvrait sa partition… Le clavecin bien tempéré, elle s’asseyait et là, j’observais sa métamorphose, c’était comme un rituel religieux. Ma peur commençait et se mêlait à une admiration sans bornes, je l’adorais.

 

Mon adoration pour Bach se confondait à mon amour pour Maman, Maman-piano-Bach, c’est la même tragédie faite, une trilogie qui forme partie de ma vie jusqu’à la mort, non, par-delà la vie et la mort. Une des raisons pour lesquelles une concession perpétuelle est si importante, essentielle pour nous, capitale et vital pour moi et que je fais toute sorte de sacrifices pour y parvenir.

Mon petit cerveau ne pouvait pas comprendre comment cette même Maman aimante douce et qui était comme moi-même formant un seul corps, pouvait se séparer pour me montrer une autre maman que je ne connaissais pas, cette Maman-là, pianiste, elle ne faisait qu’un seul être avec son piano, comment était-il possible qu’elle pouvait n’être plus ma Maman, non, je savais que devant son piano, je n’avais plus ma Maman.

Cela, c’était une évidence.

Et quand j’avais grandi, je me souvenais de ces peurs artistiques, existentielles de cette petite enfant que j’étais nourrie de lait tiède et du

Clavecin bien tempéré.

 

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

MIMESIS ET COM

1 février, 2025 (17:45) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

Mercredi 22 janvier, des gendarmes sont entrés dans un Collège de Moselle pour y interpeller une jeune Burkinabée, scolarisée en troisième, et l’expulser du territoire avec sa mère et son petit frère.
Société
2min
Publié le 28 janvier 2025
Émilien Urbach
L’HUMANITÉ »
« Comme dans un mauvais remake du film de Louis Malle, le 22 janvier, une Burkinabée de 13 ans était en cours de français, au Collège de Maizières-lès-Metz (57), quand la gendarmerie a demandé à l’établissement d’isoler l’élève.
L’ordre exécuté, des agents ont interpellé l’adolescente pendant la récréation. Avec sa mère, demandeuse d’asile en procédure Dublin, et son jeune frère, lui aussi scolarisé, elle a été, dans la foulée, expulsée en Belgique où leurs empreintes digitales ont été enregistrées.
Le retour d’une sombre pratique
« Nous n’avons pas de nouvelle, s’émeut Eric Florindi du Réseau Éducation Sans Frontières de Metz. Son père est emprisonné au Burkina Faso suite au dernier coup d’État. Cette famille ne peut pas retourner là-bas. L’intervention de la police au sein d’un établissement scolaire est une pratique que l’on pensait appartenir au passé. »
En 2005, Nicolas Sarkozy, ministre de l’intérieur, avait suspendu les arrestations de jeunes scolarisés dans et aux abords des écoles, ainsi que celles de leurs parents. En 2013, Manuel Valls les avait complètement interdites dans le cadre de procédure d’éloignement.
Bruno Retailleau les rétablit avec crasse brutalité, sans doute pour répondre au très gazeux « sentiment de submersion » de la population française, évoqué, ce mardi 28 janvier, par le premier ministre. Pour RESF, « les conditions de la liberté dans un grand pays démocratique comme la France, ne peuvent et ne doivent pas être la chasse aux étrangers proposée par Monsieur Retailleau et le gouvernement de Monsieur Bayrou. »

MIMÈSIS ET « COM »

 

 

La politique sous influence pinochetiste et le retour de la Stasi ?

 

 

Chers Lecteurs,

Philippe Sollers nous avait dit que la qualité d’un livre est visible dès la première phrase.

Elle peut aussi devenir son contraire, c’est pourquoi, sans qualités un livre se dévoile dès la première phrase et nous les quittons.

La très jeune étudiante que j’étais en première année de faculté dans mon pays natal avait reçu des enseignements aussi sages et percutants

de mes professeurs de littérature. Cela fait plus d’un demi-siècle.

L’on dit que la vie est trop courte. Certes, dans les multiples discussions que j’eues avec l’écrivain Ernesto Sábato lors de ses voyages à Paris et ensuite dans nos échanges épistolaires, il m’avait dit que Milan Kundera lui avait volé ses dires : « la vie devrait se faire en deux temps, la première, faite « en brouillon ».

Je partage entièrement cette vision existentielle. Sauf que nous n’en disposons point de la seconde et nous restons submergés dans les affres de nos erreurs et finissons aux abysses du brouillon d’une vie incorrigible.

Les brouillons sont l‘échafaudage sur lequel se fait l’exercice improbable d’une œuvre future qui se veut parfaite et qui doit être complète et terminée au plus haut degré, mais à différence de l’art d’une création dont nous sommes les seuls maître-démiurges, notre misérable vie humaine ne nous appartient qu’à moitié ou rien du tout, car insérés dans « la société du mépris » (Axel Honneth) nous ne sommes que des pions d’un jeu d’échecs totalement déséquilibré et curieusement immaitrisable.

Nous ne pouvons pas détruire le brouillon et quand nous arrive la clairvoyance certaine qu’il faut détruire le croquis, il nous fait résistance, la pire des résistances est celle qu’il oppose face au temps, il reste indélébile à tout jamais. Il n’y aura pas d’œuvre terminée dans la perfection.
J’ai pris du temps à me décider à allumer de mon ordinateur pour écrire cet article.

Quand on vit dans un dictature et que les agents de l’Etat travaillent uniquement pour faire de leur mieux dans la chasse des mots, et sont aux aguets des mots qui circulent dans l’aire virtuel, tout devient conflit, ils créent de faux conflits fabriqués de toutes pièces, ils ont les maîtres d’un terrain de préférence détectés sur les réseaux sociaux ; je me suis désinscrite du dernier et je me suis interdis moi-même toute réinscription ultérieure, parce qu’ils sont tous en matière de qualité et de dangerosité, bien pires que le transport en commun.
Quand on vit en dictature les mots deviennent pour les laquais de l’Etat source de conflit et la littérature non fictionnelle se voit entourée d’interdits. Ils ne sont ni de littérateurs ni de juges sensibles aux mots. Ils ont un rôle d’inspecteurs, de chasseurs, il revient la Stasi dans toute sa splendeur.

Je vois les militaires pinochetistes de partout. C’est un syndrome je sais, mais ici en France, c’est une mimesis de pacotille pour « faire de la com »

Quand on s’adonne à la critique sociétale on ne va pas intervenir dans une création fictionnelle qui est son contraire. L’on s’attache à la réalité la plus véridique, l’on repère les preuves en l’espèce les plus probantes et l’on exclue toute subjectivité exacerbée, sans pour autant exclure toute trace d’expérience personnelle, il nous faut travailler le mieux que possible notre attache à ne dire que la vérité, rien que la vérité.

Je crois que maintenant nous ne pouvons pas dire que toute époque passée était bien meilleure que l’actuelle, tout est relatif. Cependant il y a eu des périodes en France, par temps de paix, où venir vivre en France était une merveilleuse idée de réalisation existentielle, la période d’entre les deux guerres, elle fut mon modèle et mon héritage familial qui m’a fait fuir mon pays natal pour faire de Paris ma ville d’adoption.
Pour ce seul motif, je me prends la liberté de dire ce que ces générations obéissantes comme des laquais à l’Etat, elles ignorent et dont j’ai le droit de cité de parler sans aucun parti pris. J’exige pour ce motif ma liberté de parole et que mes mots ne soient jamais tergiversés.
Tout ce liminaire pour vous parler d’un nouveau phénomène de « com politicarde » ; je me suis dit tiens ! des reflets pinochetistes arrivèrent en France en 2025 !

Mon père, le peintre Hernán Gazmuri arriva à Paris en 1928, il avait 28 ans, il arriva par ses propres moyens

pécuniaires pour étudier dans l’Atelier de Lhote, il arriva à Paris uniquement pour devenir peintre.

Moi, je fais pareillement, non pour apprendre, car à différence de mon père, j’avais déjà été formée par lui avec le privilège comme il me l’avait enseigné de ne pas être obligée à subir de misères comme lui les avait souffertes à son époque pour appréhender les « invariants plastiques », parce que à la fin de son enseignement dans l’atelier de Lhote, il s’est vu attrapé par la pire des périodes d’avant la Seconde guerre mondiale l’époque de la récession et c’est là qui débuta sa perte.

Bref, la vie pour un artiste à l’époque d’entre les deux guerres était l’idéal pour qu’un artiste-peintre puisse vivre à Paris.

La fin des années 79 fut la fin d’une génération d’excellence ; il a pris fin l’élite qui dirigea le monde de

l’art, et c’est là que la France perdit tout son rayonnement.

Ma faute fut une faute d’ignorance. Comment une jeune aurait pu imaginer que le socle d’une solide culture pourrait s’effacer après la disparition des quelques hommes d’excellence qui dès leur force de pensée dirigeaient le pays  ?

Je me souviens que dès que commencèrent les problèmes administratifs, pour moi incompréhensibles, je me heurtais à une société inimaginable pour celle que j’étais.

Récemment diplômée de professeur, sortie de l’atelier de mon père décédé, et croyant trouver un refuge spirituel en France pour faire de Paris ma vie de travail et d’artiste. Ils ne furent pas « les français » qui me decevaient  non, c’est l’administration qui m’effraya.

Je me suis dit, mais qu’est-ce que je suis venue chercher ici ?!

À chaque tentative d’insertion dans mes deux domaines l’un pour « gagner mon pain» et le second d’artiste-peintre étaient voués à l’échec ârce que programmé par les mafias.

Et, je n’étais pas seule, j’avais une vieille Maman sans retraite parce que pianiste, telle était totalement à ma charge, j’étais tel qu’un homme seul et chef de foyer, ma responsabilité était grandiose, ma « bohème « je ne l’ai vécue que dans ma pensée, elle était une bohème fictionnelle, je ne pouvais pas faire ce que je voulais et chaque pas pour avancer dans mes projets, je devais le surveiller pour ne pas marcher sur de terres mouvantes. La vie de Maman était compromise. Mon second domaine de compétence était, elle l’est, elle le sera toujours la peinture. L’administration française ne voulait pas me reconnaître comme peintre. Je trouvais des obstacles crétins et insurmontables de stupidité, et d’incohérences. J’ai essayé nonobstant , mais toujours sans succès. Tout fut en vain.

Alors René Huyghe m’a dit : « voyez-vous que la France n’est pas un bouquet de roses, la France n’est plus celle qui avait connu votre père, hélas ! ».

Tout ce liminaire pour vous parler d’un nouveau phénomène de « com – politicarde » alors je me suis

dit tiens ! des reflets pinochetistes arrivèrent en France en 2025 ?!

Il est sorti dans toute la presse écrite et audiovisuelle qu’une petite collégienne fut arrachée de force par la police qui est aller la chercher à son école pour l’expulser de la France avec sa famille.

Les médias ont dit qu’elle n’avait que quatorze ans.

Aussitôt commença le Théâtre du Gouvernement, acte I.

L’on nous a dit que la Ministre de l’Education de l’Ignorance Nationale avait aussitôt écrit pour réprimander ses collègues et envoyé les rappels à la loi ! Interdiction formelle d’agir de la sorte !

Une fois réprimandés tous ses collègues, surement qu’ils allèrent déjeuner ensemble. C ’est nous qui restâmes ahuris.

Une nouvelle étape de cette fantasmagorie venait de s’achever.

Mais ne soyez pas inquiets!

Il y aura une enorme réforme au sein de l’Education de l’Ignorance Nationale, il paraît qu’on programme décourter les vacances en pleine canicule !

Encore  une grande réforme intellectuelle qui fera rayonner la France!

Cette reforme consistera dans la mise en place d’ un nouveau programme de vacances.

Génial non?

Un abominable acte d’un théâtre nauséabond qui ne servit à rien qu’à nous rappeler combien a dû être dur et insupportable pour ces générations passées, des vies râtées, des vies vécues dans la peur de l’arrivée intempestive des agents de l’État qui ne veulent que de l’ordre, de l’ordre et de l’ordre.

Nous aussi nous voulons de l’ordre !!!!

Nous voulons et nous exigeons

La fin des injustices qui sont créés par l’Etat, la fin des bailleurs sociaux délinquants qui commentent des crimes abominables !

Imaginez ce que veut dire pour un locataire qui survit avec des misères d’argent mensuel que parfois n’arrivent même pas au Smic et qui se voit assommé et persécuté par un bailleur social qui le réclame de trop dépenser et de payer ipso facto des dépenses qu’il n’a jamais faites !!!

Je parle des smicards, des retraités qui paient difficilement leur loyer en dépit des aides APL, les minimes entrées d’argent sont terriblement basses pour assumer ces factures inventées.

Si nous sommes locataires des HLM c’est uniquement parce que nos ressources de survie son minimes.

JAMAIS, lisez moi bien, JAMAIS auparavant les bailleurs ne se permirent d’inventer des factures dites de

« dépassement des charges ».

Ceci n’existe point.

Et il devra avoir un soulèvement national.

J’appelle à nous insurger tous ensemble pour que ces fausses factures soient interdites.
Il doit y avoir un effacement général à titre national.

Et ces bailleurs sanctionnés.

Programmer un jugement comme le réclament certains « collectifs de locataires » est pour moi inopérant car les compteurs n’existent point.

J’ai déjà eu plusieurs entretiens avec des huissiers.

Ils se refusent à faire des visites fiction, car ils travaillent comme les avocats avec l’appui des « preuves en l’espèce », or en absence des compteurs individuels, aucun huissier ne se prête à faire des expertises dans le vide ; ils connaissent les bailleurs sociaux et ils déclinent toute intervention.

Moi, je survis dans la famine, je ne paierai JAMAIS des charges inexistantes.

J’ai un programme de vie strict et austère, donc je surveille au millimètre près mes dépenses, je vis comme au Moyen-Age, je n’ai aucun électroménager, donc mes dépenses d’énergie sont minimes, à tel point mes dépenses sont minimes que l’Enedis et le GRDF m’ont dit qu’ils n’avaient jamais vu une locataire qui dépense aussi peu d’énergie.
J’ai 8€ de consommation de gaz, et 15 € de consommation d’électricité mensuels.

Avec l’abonnement et les taxes, je ne paie que 20 € de gaz par mois, et 29 € d’électricité.

Ces deux dépenses minimes d’énergie sont la preuve en l’espèce qu’il est impossible que je puisse avoir un dépassement d’eau froide ou de chauffage, car le chauffage est COLLECTIF et quand VILOGIA le déclenche ou quand il l’arrête ; il nous est impossible de l’arrêter en hiver ou de le prolonger.

C’est VILOIGIA le seul maître du chauffage.

Je n‘ai jamais eu de retards ni d’impayés.

Je paie mes loyers et mes factures, jamais je n’eus des créanciers à mes trousses.

Alors VILOGIA devra arrêter sa persécution. Arrêtez votre crétinisme !

Je ne suis pas venue en France pour devenir la CIBLE des vicieuses et les laisser envenimer le minime espace et temps de vie qui me reste pour le vivre en paix !

Et tous les locataires désabusés devraient suivre mon exemple et faire pareillement !

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

LE BAILLEUR SOCIAL VILOGIA SERA CONNU DE PAR LE MONDE ! EN ABSENCE DE COMPTEUR INDIVIDUEL IL NE FAUT RIEN PAYER !

1 février, 2025 (15:25) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

ESCROQUERIE NATIONALE DES BAILLEURS SOCIAUX

VILOGIA EST DÉJÀ CONNU ! 

 

https://www.leparisien.fr/nord-59/leur-bailleur-social-lillois-leur-reclame-des-regularisations-de-charges-astronomiques-deux-ans-apres-31-01-2025-HCRA25WHGVGGDCXCWPUSN7I32Y.php

 

 

 

Chers Lecteurs, 

Lisez ceci :

Le siège du bailleur VILOGIA qui m’exploite pratique la facturation fictionnelle abusive et grossière de « dépassement des charges ».

Cela est interdit dans les HLM, parce qu’il n’existe pas de dépassement des charges dans un appartement HLM, car nous sommes prélevés tout au long de l’année et le chauffage collectif est pareil pour tous ; nous ne pouvons pas l’éteindre si je veux couper le chauffage ceci m’est impossible.

L’eau froide est gratuite. Nous payons « des provisions d’eau froide  » qui sont prélevées en hiver comme en été, pour le chauffage collectif pareillement.

Les dépassements des charges sont possibles et visibles dans nos consommations d’électricité et de gaz, et nous sommes en mesure de les vérifier dans nos compteurs.

La faute est des locataires ou bien ignorants, ça se pardonne, ou bien stupides, ce qui est IMPARDONNABLE, parce qu’avec leur comportement irresponsable de se laisser escroquer, ils  entraînent les autres locataires dans une fausse faute.

PERSONNE ne doit céder à cette imputation de facturations grossièrement inventées.

Ils se laissent convaincre des dépenses qui ne sont pas commises et qui ne sont pas réelles et qu’eux ne peuvent pas vérifier donc ils ne doivent RIEN PAYER !

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

MES ÉCHANGES TUMULTUEUX ET AMUSANTS AVEC LE SERVICE PUBLIC »: LES DÉLITS DES BAILLEURS SOCIAUX EN FRANCE

1 février, 2025 (14:43) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LIMINAIRE

 

Chers Lecteurs,

La semaine dernière, j’ai trouvé un article fort intéressant d’une jeune locataire qui s’exprimait sur LE JOURNAL,  lle donne son vrai nom,  elle s’appelle Natacha Terrier, elle se bat contre son bailleur social depuis  2023 et a décidé de l’assigner en justice.

Je la cite, car ce qu’elle dit est d’une vérité absolue, ce que j’ai toujours donné comme argument pour ne plus me battre contre un mur et me ridiculiser face à ses monstres :

« face à un bailleur social, vous n’avez aucun pouvoir »

 

Le voici l’article qui lui est dédié.

https://www.lejsl.com/faits-divers-justice/2025/01/28/son-logement-subit-des-infiltrations-d-eau-depuis-plus-d-un-an-elle-assigne-cdc-habitat-social-devant-la-justice

 

Je subis pire qu’elle, car mis à part les dégâts d’un lieu vétuste que ce bailleur social se refuse à réparer et met en péril ma santé, mon intégrité physique et financière, je subis la discrimination abusive contre la vieille femme handicapée et misérable en argent que je suis, délit qui est fortement puni par la loi du Code pénal.

et qui est perpétré par le bailleur social VILOGIA

Et encore plus fermement puni quand il s’agit des fonctionnaires d’État qu’exécutent leurs délits depuis leur poste de privilège, ce qui s’appelle ABUS DE POUVOIR.

Elles s’en fichent, parce qu’elles sont défendues par L’ÉTAT !

Mais je n’assignerai pas en justice le bailleur VILOGIA, car à différence de cette jeune locataire, je suis vieille, je n’ai pas d’argent pour bénéficier d’un bon avocat et je n’ai pas d’années à dépenser en attentes inutiles et fatigantes pour mon âge et mes activités.

Quand elle réussira, et je lui souhaite du succès, elle l’aura sans le moindre doute parce que représentée par un bon avocat et parce qu’elle n’habite pas dans la commune des Yvelines, la pire de toutes en matière de justice, et quand elle aura gain de cause face à son bailleur, je serai déjà dans mon caveau au cimetière, le temps d’attente dans les tribunaux des Yvelines fluctue entre 10 et 14 ans ! Et ailleurs, je crains qu’il le sera pareillement, parce que la lenteur de « l’injustice française » fonctionne au ralenti dans toute la France.

MERCI!!!

Alors, j’ai vu qu’elle a publié son cas sur un site du gouvernement qui s’appelle HISTOLOGE.

J’ai fait de même, ils disent que ma plainte a été reçue et validée par les autorités et qu’elles vont me contacter.

Si elles veulent venir pour une visite guidée de ce château, elles ont la porte ouverte, je me ferai un plaisir d’accueillir tout le monde, la presse comprise si elle veut venir faire un reportage des lieux délabrés, vétustes de 60 ans et bons à être démolis !

Ce serait une bonne occasion pour prendre quelques photos de mes toiles ? UN TITRE POSSIBLE SERAIT/

« Une artiste-peintre confinée dans une HLM de Poissy quand elle devra par logique et justice être mutée vers une HLM à PARIS !

À bientôt !

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

Et voici un cadeau d’information sur mes échanges avec le « Service Public » qui offre une rubrique pour « partager notre expérience » comme toujours, je ne respecte pas « leurs critères », dons mon écrit a été refuse.

Voici nos échanges.

Je vous souhaite une belle lecture, amusez-vous bien!

ÉCHANGES PAR MAIL avec le SERVICE PUBLIC

Ne pas répondre

Bonjour

Vous avez souhaité publier une expérience sur la plateforme Services Publics +.
Nous regrettons de vous informer que votre expérience avec le pseudo NADEZHDA n’a pas été publiée.

En effet, elle n’est pas conforme à notre politique de modération.
Votre point de vue est parfaitement légitime, mais ne fait pas état d’une expérience avec une administration. C’est pourquoi nous regrettons de ne pas pouvoir publier votre témoignage sur notre plateforme, même si elle peut avoir sa place sur un forum d’expression citoyenne.
Bien cordialement,
Pour l’équipe Services Publics +
Camille

 

CARMEN GAZMURI

CARMEN GAZMURI <carmengazmuri@gmail.com>
12:42 (il y a 4 minutes)

Bonjour,

Je vous remercie bien vivement pour votre réponse, je le savais d’avance et j’ai fait » l’expérience « assez amusante » dans le contexte tragique que nous offre précisément un de vos « services d’État »! Que vous devriez contrôler !
Mais vous en êtes complices, c’est pourquoi ils abusent. Je parle de :

Vos bailleurs sociaux.

Je suppose que vous êtes bien informées des manifestations face au Ministère du logement !

Et des portes fermées que vous donnez comme seule réponse aux gens en colère.

Un jour, vous aurez non un réduit écrit que vous refusez de publier à juste titre, mais j’espère une Manif nationale !

Pour ma part, j’ai déjà publié 5 exemplaires d’un long témoignage :

LOCATION ET CRIME

Je n’ai pas d’argent pour publier plus, car je vis dans la misère avec 1000 € de retraite.

Un jour.. Vous aurez non une expérience personnelle, mais une expérience nationale qui sera publiée dans la presse et connue de par le monde.

Aucune vérité ne peut entrer dans les critères d’un État dictatorial qui protège des malfaiteurs et pénalisé des citoyens honnêtes.

Vos bailleurs sociaux reçoivent votre argent, l’argent des contribuables et vos bailleurs font mauvais usage ou pire, ils le dépensent d’une frauduleuse manière pour après compenser avec des factures frauduleuses aux locataires.

Une résistance est en train de se former.

Respectueusement.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

 

 

 

 

 

 

DECRÉPITUDE

29 janvier, 2025 (07:50) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

DECRÉPITUDE

 

LA MORT EN FRANCE: POLITIQUE FUNÉRAIRE DE LA TERREUR

VOLUME III ET DERNIER

Chapitre II

Le mercredi 29 février 2025

 

 

Je me suis réveillée vers 4h du matin, j’avais éteint la lumière à minuit. C’est la faim qui me réveilla et il m’est fut impossible de me forcer à dormir plus. Si l’on n’a pas de sommeil on ne peut pas se forcer, c’est une évidence.
Après ma douche, je me suis dirigée vers une cuisine vide.

Par réflexe j’ai ouvert le frigo. Il y restait un œuf. Il faut le garder et bien le surveiller, il sera ma seule nourriture avec un bol de riz à 19h.
C’est un trésor à bien garder, pour rien au monde je ne cèderai à la tentation de le manger à midi !

Rien d’autre ne m’est permis dans mon programme funéraire.

Il y a aussi ma carafe d’eau où je mets de l’eau préalablement bouillie car l’eau dans cette commune est loin d’être « potable », les études scientifiques ont dit que l’eau des Yvelines est pleine de produits cancérigènes, de métaux et je sais que le fait de la bouillir ne va rien effacer, les particules de métaux sont indestructibles, mais au moins ce qui donne des infections est bien mort. Après je lui verse un peu de sirop de grenadine à zéro sucres et l’eau devient buvable du contraire je ne bois jamais de l’eau si je ne la reconditionne de cette manière.
Bon, je me suis résignée à prendre mes deux petites tasses de café et deux minuscules gaufrettes que je fais avec 50 gr. de quaker. C’est déjà ça pour tout ma journée.

J’ai allumé la télé, la chaîne Arte finissait un reportage sur une famille pauvre de Roumanie qui recevait la visite d’une « assistante sociale » qui leur prévenait qu’ils devaient partir, elle critiqua la saleté de la maison, d’être sales et de ne jamais prendre soin de leurs enfants qui étaient tous sales sans aller à l’école et qu’ils seraient délogés vers un logement social, et quand j’ai vu le « logement social transitoire »que l’Etat leur avait donné, je l’ai aussitôt comparé à celui où je vis, il est exactement comme ceux qui loue VILOGIA, exactement pareil, totalement délabré, sale et ces voleurs se permettent de facturer ces factures immondes !

J’ai commis la stupidité grandiose de venir m’installer en France, motivée uniquement pour la peinture, j’avais comme seul bagage intellectuel une fausse idée livresque de la France, j’étais nourrie d’idées malruciennes,mon effroi ne pouvait que s’agrandir au fur et à mesure que j’avançais en essayant de m’insérer. Où j’allais, je rencontrais du refus et du mépris. Cela ne serait pas grave si dans ce parcours je n’avais pas été obligée à m’appauvrir et à me voir interdite de revendiquer mes valeurs et ma profession. Le plus grave était que ce choc avec la société française laissait par terre toute l’éducation et les efforts de mon père, pour me laisser avec une profession qu’il considérait parfaite pour une femme, la pédagogie. Et, mon père avait raison, être professeur est une profession faite pour moi, gagner ma vie en enseignant je le voyais comme une réussite de vie et comme le meilleur résultat de tous mes efforts pour avoir réussi à mener seule un excellent parcours universitaire et, j’aimais enseigner.

Je n’ai jamais imaginé qu’ici en France j’allais rencontrer les mêmes jalousies intellectuelles que mon père avait subi de l’officialité chilienne. Non, je ne pouvais pas imaginer qu’en France avait les même type de mafieux dans les institutions et dans les administrations, les mêmes sadiques et le pire était ce marécage de jalousie intellectuelle, car quand elle s’installe, une fois qu’ils vous connaissent et que ce sont les mafieux de l’Education Nationale ceux qui sont nommés à vous juger, si vous n’êtes pas fait à leur « image » ils vous détectent comme des radars, et vous êtes perdu.

Les capacités intellectuelles leur fait grave défaut. Avant de quitter l’Education nationale j’eus la chance d’être inspectée par une inspectrice espagnole, par malheur elle était partie quand j’ai essayé de la retrouver.
À différence de celui qui m’avait nui, elle m’a félicité et m’a obligé à m’inscrire pour « passer le Capes », elle m’a dit :

 

« Qu’est-ce que vous nous faites ! Sans le Capes et seule avec votre mère ?! c’est une folie ! vous lirez vous inscrire tout de suite, les inscriptions sont encore ouvertes, vous l’aurez tout de suite ! »

Sauf qu’elle ne savait pas comment étaient faits les inspecteurs « français » et les « correcteurs » ; à ce sujet un Professeur m’a dit : « en espagnol la médiocrité est accrue, ici nous sommes corrigés par « nos pairs», alors vous pouvez imaginer ce que ça donne si vous avez des qualités hors du commun, ils vont vous nuire, ils aiment la médiocrité ». Il s’est passé exactement comme il me l’avait prévenu, ils m’ont planté Quan je suis sortie dans les listes des résultats du Capes , je n’avais pas les moyens de le voir, mes collègues si et elles étaient anxieuses de savoir, elles se précipitèrent à leurs écrans, j‘avais eu un Zéro ! Cela a provoqué un tôlé au lycée et dans la salle de profs une petite révolution. Les commentaires pleuvaient, mes collègues étaient ahuries, mes élèves rigolaient à en mourir de rire et de retour chez moi, Maman pleurait et moi je riais et réprimandé Maman en lui disant Maman tu ne vas pas pleurer pour la note de ces mafieux ! Laisse-les, je m’en fiche ! si tu pleures cela veut dire que tu les trouves raison, c’est cela qu’ils veulent me nuire nous nuire, ils ne l’obtiendront point. Est-ce que je perds mes connaissances ma maîtrise pédagogique parce que ces incapables me plantent un zéro ?
Non, bien sûr que non alors il ne faut pas pleurer, il faut rigoler !

Ils doivent être malades avec ma copie. L’affaire s’est estompée ensuite. Aucun avocat n’a voulu, me défendre avec l’aide juridictionnelle et j’avais trop de quoi m’en occuper pour rester sur un échec programmé dont j’étais impuissante pour abattre, tel qui me l’avait dit mon amie Marie-Claire : « ici en France l’Education nationale aura toujours raison même si elle a tort ».
Avec raison mon Directeur de recherches m’avait prévenu : « Florence partez d’ici, vos malheurs sortent de votre entrée dans le pire des milieux que nous avons en France, l’Education Nationale, il est le plus bas et le plus médiocre, vous ne ferez jamais carrière ici »

 

Alors je lui ai répondu : « et où vous voulez que j’aille avec l’espagnol ?
J’ai une Maman à nourrir, je ne peux pas m’exiler avec elle une seconde fois, j’ai 36 ans, il est trop tard… »

Il insista et a rédigé une belle lettre pour une collègue de l’Université de Madrid, où il me recommandait et lui parlait de mes deux travaux universitaires sur l’œuvre d’Ernesto Sabato qu’il avait lu et qu’il avait élogié lui-même. Le Professeur Couffon insistait que la rédaction de thèse de doctorat de troisième cycle construite dans une perspective pluridisciplinaire propre de la Littérature Générale et Comparée serait indubitablement la porte d’entrée pour m’insérer dans l’université espagnole. Le Professeur Couffon avait grand espoir dans mon départ définitif de la France, mais les frais de voyage et partir vers l’incertain avec maman âgée, c’était une entreprise périlleuse dépourvue de la défense qu’octroie l’argent.

 

L’idée que j’avais de la France était une fausse idée livresque.

Quand on discoure sur la meilleure manière de s’insérer dans un pays et que le consensus dit que c’est par la culture, je peux confirmer par expérience que cette idée est une aberration. Le fait d’avoir une profession intellectuelle ne sert de rien si nous n’avons pas une connaissance approfondie des vices et défaillances de l’administration ; or si je devais donner un conseil à quelqu’un qui veut émigrer ou si j’étais jeune et si je devais me protéger pour ne pas refaire l’erreur commise, il y a des questions préalables qui doivent être résolues, elles correspondant aux lois du pays, il faut les connaitre en profondeur et en détail, il s’agit de l’idiosyncrasie du pays d’accueil.

Ce panorama des lois et de façon de vivre au quotidien qui est le véritable portrait d’un pays n’a rien à voir avec « la culture », tout ceci la France le cache minutieusement, elle ne dira jamais que ses HLM n’ont rien à voir avec la qualité des logements sociaux qui offrent les pays du Nord !

Elle ne dira jamais que le niveau de l’enseignement secondaire et universitaire est en ruines et en échec scolaire absolu. La France n’avouera jamais leur décomposition, elle va donner comme catalogue de voyage touristique sa culture livresque du passé, ce rayonnement qui n’existe plus et qui ne reviendra jamais.

Voici les questions que le pays d’accueil doit répondre :

1. Quelle est la qualité des fonctionnaires qui commandent le pays ?
2. Quelles sont les lois en vigueur concernant les études, les modalités d’embauche, la nature des examens de sélection ?
3. Quelles modalités d’offre et de prix de location des logements privés qui sont en vigueur dans le pays qui va nous accueillir ?
4. Quels sont les lois funéraires en vigueur pour les résidents natifs ou les nouveaux arrivés ?
5. Quels sont les lois de santé publique et privées et quels sont les offres des assurances ?

Si ces informations ne sont pas à notre avoir avant de penser à programmer une fuite, rien de bon ne peut vous arriver dans votre parcours.
Si j’avais su quelle était la qualité de vie minable qui donne la France aussi bien aux Français de souche et ensuite aux immigrés, je serais restée bien tranquille et confortablement protégée dans le cocon qui m’avait donné mon père. C’est bien fait pour eux qui se revendiquent d’une république laïque, c’est leur république, ils l’ont construite à leur image, alors qu’ils l’assument !

Le nœud de l’échec est d’être en possession d’une profession intellectuelle qui dépend de l’Etat, le professorat n’est pas une profession libérale et en dépit qu’elle exige une dépense intellectuelle des années de formation sérieuse, la pédagogie est la pire des professions ; elle est celle qui n’aura jamais ni le statut ni le respect d’une profession libérale, tout ceci fut analysé parfaitement par l’Ecole de Francfort. Nous n’avons plus rien à ajouter.

Le cycle est fini, il ne reste qu’à le boucler par nos propres moyens en solitaire, poursuivre jusqu’à la fin dans notre tanière tout en menant le mieux que possible notre vie d’ermite et le plus important est de laisser le témoignage écrit et finir honorablement avant de mourir en ayant payé notre concession perpétuelle.

Que les charognards se taisent pour toujours, ils ne sont pas éternels. C’est ma seule pansée compensatrice
La seule perpétuité payante à prix d’or que nous pouvons récolter et nous offrir à force de sacrifices innommables sera notre concession funéraire perpétuelle.

Je suis arrivé dans un pays en décomposition où tout est en ruines et où nous survivons dépendants de leurs institutions en décrépitude, partageant un vécu avec des personnes dépourvues d’éthique et de morale.

Rien ne peut marcher dans un pays qui ne possède aucune idéologie et qui manque d’une pensée structurée dans le vrai, le bon et le juste.

La France a créé une société déstructurée, c’est la raison de son naufrage.

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LA PAUVRETÉ EN FRANCE : COMPARABLE A UNE VIE EN OTAGE

28 janvier, 2025 (19:27) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

Christian Arnaud, ancien jardinier à la retraite depuis 16 ans, vit sous le seuil de pauvreté avec moins 1 200 euros par mois. Il témoigne dans « Le Courrier de l’Ouest » des sacrifices alimentaires et culturels qu’il est obligé de faire pour ne pas être dans le rouge.

« Je suis souvent dans le rouge… S’il me reste 50 euros pour finir le mois, c’est déjà presque miraculeux. » Comme des milliers d’autres Français, Christian Arnaud, ancien jardinier installé à Niort (Deux-Sèvres), vit avec une retraite le plaçant sous le seuil de pauvreté.

Le Deux-Sévrien de 76 ans touche moins de 1 200 euros par mois, ce qui l’oblige à faire attention à chaque dépense. Il relate dans les colonnes du Courrier de l’Ouest son quotidien, dénué des plaisirs qu’il pouvait s’offrir lorsqu’il travaillait en tant que jardinier. « Je dois sans arrêt calculer, sans arrêt jongler entre les dépenses. Donc je vais moins souvent au restaurant, je ne vais plus au cinéma, et j’évite les sorties trop chères », regrette-t-il.

 

Ce retraité, il est plus riche que moi, il perçoit 1200 €, moi ex-professeur d’espagnol Bac+8 je perçois 1010 € mensuels.

Vive la République et vive la France !

 

 

LA PAUVRETÉ EN FRANCE

 

 

 

COMPARABLE À DES PRISONNIERS EN OTAGE !

 

Chers Lecteurs,

 

Je prends un article de Libération qui nous fait le récit de l’état des otages libérées.

Les médecins font état de leur dénutrition par manque de vitamines, et leur nourriture déséquilibrée pendant les mois de captivité.

Si ce récit n’était pas inscrit dans un contexte tragique, il serait risible par la forme et le contenu.

Absolument grotesque.

Ce sujet ne mérite pas de commentaire, que voulaient-ils trouver ?
Un résultat de prise de sang comme celui des personnes bien portantes et manant une vie parfaite ?

J’aimerais bien que des chercheurs sérieux, apolitiques se penchent sur l’état de santé de pauvres, des millions des pauvres en France qui subissent les restrictions de nourriture imposées par leurs salaires de Smicards ou nos pensions misérables de retraites indécentes.

Je m’insurge contre ce type d’articles inutiles qui ne vont pas à l’essentiel et ne nous servent d’aucune information sérieuse que pour poursuivre leur propagande victimaire.

Préoccupez-vous de faire des reportages sérieux par des journalistes apolitiques pour qu’ils fassent un reportage sur la santé dégradée des millions de Français qui privés de revenus décents, et par les effets malsains d’une inflation sur les produits d’alimentation n’arrivent pas à se nourrir correctement pour allonger leur temps de vie dans des bonnes conditions de santé.

Croyez-vous que les familles pauvres, que les enfants qui vivent à la rue ou qui dorment dans leurs voitures sont bien portants et qui mangent à leur faim ?

Allez faire des prises de sang.

Ils ne seront pas surveillés au sein des meilleurs hôpitaux parisiens.

Les politicards qui nous gouvernent s’en fichent éperdument de la qualité de vie qu’ils nous donnent, commandés que nous sommes tous par des administrations immondes pleines de mafieux qui ne soucient en rien du bien commun, et qui ne voient que leurs intérêts, tandis qu’une immense population des français luttent pour mener une vie normale et ne récoltent que des privations et des souffrances au jour le jour.

Allez faire des prises de sang aux Français !

Une fois les résultats notoires sur le manque de vitamines, qu’allez-vous faire ?

Mettrez-vous en place un plan gouvernemental pour baisser les prix de fruits et légumes ?
La source de vitamines mesdames, messieurs ne se trouve nullement dans les paquets de pâtes vendues par kilo à 1.60 € dans les grandes surfaces !

Les PDG arrivent sur les plateaux des médias se faire une propagande ignominieuse sur la baisse des prix des produits alimentaires !
Et des lessives !

Que mettent-ils en exergue ?

Les féculents !

Insurgeons-nous contre le mensonge d’État.

La publicité de la Sécurité sociale qui déborde des bons conseils de santé alimentaire pour maintenir la société en bonne santé est inutile et leurs conseils deviennent vains, parce que la santé commence par une régulation des prix qui permette à tous les français de se nourrir de manière équilibrée et moderne et non avec des restrictions en vitamines et protéines, parfaitement comparables à vos récentes propagandes des prises en otage.

Ici en France, nous, tous les pauvres naturels ou obligés à être pauvres, nous menons une vie d’otages des gouvernements, d’incapables et mafieux qui nous obligent à poursuivre notre vie d’otages à ciel ouvert.

Nouvelle forme invisible de terrorisme politique.  Nous donner une pauvreté artificielle

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

LE GÉNOCIDE A GAZA : UNE VÉRITÉ INDISCUTABLE PREND DROIT DE CITÉ

28 janvier, 2025 (18:21) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LE GÉNOCIDE A GAZA :  UNE VÉRITÉ INDISCUTABLE PREND DROIT DE CITÉ

 

 

« Gaza va supplanter Auschwitz en termes de cruauté absolue » :

quand des chercheurs et des assos juives réécrivent Pour les 80 ans de la libération d’Auschwitz, deux organisations juives dites décoloniales organisaient un colloque singulier : une série d’interventions sur le lien entre l’extermination des juifs et Gaza « en contexte génocidaire ». Ou comment instrumentaliser sans vergogne la mémoire de la Shoah. Reportage.
Penser le fait génocidaire : histoire, mémoire, actualité » organisé par Tsedek avec l’UJFP (Union juive française pour la paix), à Paris. Tsedek, qui se présente comme une association « juive décoloniale » et antisioniste avait invité, pour ces deux jours de conférence, l’historien Enzo Traverso, l’ancien président de Médecins sans frontière Rony Brauman, le producteur israélien Eyal Sivan, le chercheur et ancien militant trotskiste Gilbert Achcar.
Source : Marianne.

 

 

Chers Lecteurs,

Je ne suis pas affiliée à ce journal, mais je l’ai trouvé sur le web à la recherche des nouvelles sans filtre et sans la censure de l’État.

L’un des participants à ce colloque m’intéresse outre Mesure, il s’agit de Rony Brauman, ancien Président de Médecins du monde qui n’a jamais cessé de nous donner des informations de la plus haute importance sur Gaza et l’occupation de la Cisjordanie suivi de ses commentaires pertinents et si bien documentés.

L’occupation des terres qui ne leur appartiennent pas, la colonisation en totale contradiction avec la loi internationale, le bannissement des palestiniens et maintenant ce génocide à Gaza sont les source du terrorisme. Personne ne nie le terrorisme, ce qui provoque conflit est la négation de sa source.

Tant qu’il y aura l’occupation, les assassinats journaliers par des colons appuyés et défendus par l’armée, le pillage, la tuerie des palestiniens qui sont légalement en train de vivre paisiblement dans leurs terres et exposées à ces meurtres et vandalisme quotidien, le terrorisme ne cessera point.

Je suis avec ces groupes avec toute ma sympathie, avec toute mon adhésion et totalement inconditionnelle, ils sont des personnes de grande valeur et honnêtes qui ne cherchent que la vérité et la paix pour les deux peuples.

Je forme des vœux pour qu’ils soient écoutés et que leurs rangs se consolident et se fortifient avec de plus en plus de participants actifs.

RÉPERTORIER SUR UNE STRUCTURE SOLIDE A VOCATION INTERNATIONALE

J’ai dit par le passé que les composantes de ce génocide exigent qu’il soit misé en œuvre ma création par des chercheurs et penseurs de tous bords, pour qu’ils créent une nouvelle et solide structure de répertoriage, pour que ce génocide soit inscrit comme une sauvagerie nouvelle de notre époque, elle n’a pas fini ses actes de barbarie.

 

Un MÉMORIAL est une exigence absolue.

J’observe qu’un mouvement commence à se structurer, il faut que ce mouvement soit officiellement inscrit dans la durée pour qu’il prenne une consistance et une voix qui compte dans la durée dans le champ politique international.

Il faut un travail de fond pour que ces conférences, ces colloques ne s’éparpillent dans la masse d’informations équivoques, et que ces résultats de tant de recherches de valeur soient sauvegardés et à l’abri du danger de l’oubli.

 

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

LA FRANCE FACE A UN PROBLEME POLITIQUE NATIONAL : LES ABUS DES BAILLEURS SOCIAUX

28 janvier, 2025 (12:06) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

LA FRANCE FACE À UN PROBLÈME POLITIQUE NATIONAL : LES ABUS DES  

 

BAILLEURS SOCIAUX.

 

 

L’IGNORANCE, POUR PLAIDER ADROITEMENT, IL FAUT DES

CONNAISSANCES EN MATIÈRE DE DROIT

 

POUR L’HEURE LES ASSOCIATIONS EN MANQUENT

 

Chers Lecteurs,

Pour ceux qui s’intéressent à se défendre des abus avec de textes de loi à l’appui et qui s’informent dans la presse sérieuse sur les divers problèmes de cette société française si mal gouvernée, sauront qu’il n’y a qu’une seule façon d’agir : appliquer la raison, c’est-à-dire faire appel à l’intelligence.

Pour savoir plaider son cas avec intelligence, rarissime vertu à cette époque, où tout est confondu, la plupart des gens confient leurs dossiers à des associations qui n’ont qu’un nom reconnu pour s’installer comme « défenseurs des droits » des victimes et que dans la réalité, ils ne font qu’écho au gouvernement en place, sans rien changer ni proposer pour défendre les victimes, c’est ainsi que les dossiers dorment pendant des années, parce qu’ils ne savent pas plaider, et le plus grave est qu’ils ne veulent pas plaider comme l’exige un faux problème qui est devenu NATIONAL.

Presque tous les bailleurs de la France sont en train d’abuser et de mettre en place le même abus : appliquer une surfacturation de dépassement des charges sans aucun fondement réel. Et, je vais vous expliquer pourquoi celui-ci est un faux problème.
Commençons par le début.

Pour bien plaider une cause, il faut d’abord savoir comment trouver le nœud du conflit ; une fois trouvé, il faut faire appel aux textes de loi et là, nous devenons imbattables face à l’escroc.

Deux problèmes majeurs présentent en ce moment critique chez quasiment tous les bailleurs sociaux, sans entrer dans des cas spécifiques, et dits « personnels », excuse de la masse d’imbéciles qui croient qu’ils sont un bloc différent et que les autres locataires sont spéciaux, ne forment pas partie de la race humaine, donc ils nous appellent de « cas spéciaux », sauf que nous subissons des discriminations qui sont répertoriées dans le Code pénal.

Un autre sujet de cette incapacité à savoir plaider, qui revient à manquer d’intelligence et à être incapables de construire une bonne plaidoirie.

LE DÉPASSEMENT DES CHARGES.

Tout ce liminaire pour critiquer ce matin le sujet qui est devenu national, las abus de BAILLEURS SOCIAUX en ce qui concerne les factures de dépassement des charges.

1. Les charges sont greffées dans la mensualité du loyer aussi bien en été comme en hiver à savoir : eau froide, parties communes, nettoyage, ascenseur quand il y en a.

2. Quand le chauffage est collectif, nous savons qu’il y a une date fixe pour le déclenchement et pour la coupure, donc aucun locataire d’une HLM ne peut s’en servir à sa guise ni avant la date d’ouverture ni après.

3. Le supposé « dépassement des charges de chauffage » est par conséquence

fictionnelle et il est à retirer de la polémique.

 

Je suis locataire du champ social depuis 1989 quand je suis devenue française.

Je connais parfaitement le fonctionnement des HLM et je maîtrise parfaitement mes propres dépenses, et elles ont considérablement changé depuis 2013, date où l’on m’a assassiné Maman, j’ai réduit absolument, toutes mes dépenses et je vis diamétralement à l’opposé, sans aucun électroménager.

4. Pour savoir plaider, il faut aller à l’essentiel, je n’ai JAMAIS eu de dépassement des charges dans les HLM que j’ai loués, dans mon ancien immeuble parisien 2014 -2021, il n’y avait pas de chauffage collectif. Donc, les dépenses d’eau froide étaient intégrées comme une dépense fixe mensuelle greffée au loyer, JAMAIS, je n’ai eu le moindre problème avec mon ancien bailleur et personne n’est se plaint, il n’y a jamais eu de réclamations des locataires !

5. Pour arriver à imputer à un locataire un improbable dépassement des charges » il faut UN COMPTEUR et qu’il soit accessible au locataire, puisque selon les bailleurs sociaux, les différences dudit « dépassement » ne sont pas les mêmes chez tous les locataires.

Et il ne peut y avoir aucun dépassement chez les bailleurs HLM!

6. En absence de COMPTEUR INDIVIDUEL et dans l’incapacité mutuelle de présenter la « preuve en l’espèce » qui est essentiel dans une plaidoirie, donc nous nous situons dans la dangereuse situation qu’en termes juridiques revient à une faute de procédure, nous sommes face à un cas NUL qualifié de « parole contre parole » puisque ni le bailleur ni le locataire ne sont en mesure de présenter au juge « la preuve en l’espèce », élément juridique indispensable pour démontrer ou bien que les sommes qualifiées de « dépassement des charges » sont dans ledit « compteur » ou bien dans son absence, d’obtenir l’abattement définitif.

7. Ni le « bailleur social » qui accuse et réclame à un locataire une somme de « dépassement des charges », ni le locataire qui récuse la facture en argumentant qu’elle est fausse, quand bien même il a des preuves en l’espèce factuelles pour démontrer qu’il est impossible qu’il puisse dépasser la consommation d’eau froide et de chauffage ne sont en mesure d’argumenter devant le Juge.
8. Mon « affaire personnelle » est différente des autres locataires, car je suis une exception dans la Cité, parce que je n’ai aucun électro-ménager et que ma consommation minime d’eau froide se démontre par les deux factures minimes de gaz et d’électricité.

9. ABSENCE DE COMPTEUR INDIVIDUEL.

Il est un élément absolument nécessaire faire valoir comme absence de preuve en l’espèce des bailleurs sociaux, afin arrêter de manière définitive ces abus de bailleurs sociaux. Ils se sont vus face à une crise économique du pays et ils ne trouvent pas meilleur moyen de financer leurs turpitudes qu’en faisant de la FICTION COMMERCIALE comme je nomme, cette manière d’inventer des facturations totalement irréelles pour escroquer des locataires extrêmement pauvres qui arrivent avec difficultés à payer leurs loyers sans aucun retard et sans jamais avoir d’impayés, en dépit de bénéficier des APL qui sont versées directement aux comptes bancaires des bailleurs sociaux. L’État ne donne pas au pif les APL, les fonctionnaires d’État font tout à partir des barèmes fixes, ils savent combien donner à chaque locataire pour que de leurs minuscules pensions de retraite ou de leurs salaires de « Smicards » leur reste pour payer les autres factures inéluctables et qu’il leur reste un reliquat minime pour faire leurs courses d’alimentation et ne pas former un grand champ de concentration de famine national, quoique « les restos du cœur » » et d’autres associations de soins palliatifs se chargent d’éviter qui ne se forme un immense camp de personnes en dé nutrition aggravée.
C’est cela la France en 2025 gouvernée par des incapables.

 

CONCLUSION.

Nous avons à notre avoir 2 compteurs Linky, celui pour l’électricité et l’autre pour le gaz quand dans les immeubles HLM il y a encore le gaz.
Les escroqueries des fournisseurs d’énergie sont faciles de démasquer, il suffit de demander un rapport à l’ENEDIS, il suffit de faire la photo de nos compteurs, et le problème est résolu. En dépit d’avoir eu un dossier juridique en béton entre 2021 et 2023, l’EDF m’adressait des factures de 500 €, quand ma consommation mensuelle est de 15 € !
J’ai dû attendre 3 années pour me libérer de ses griffes, mais le compteur est notre seule arme de défense.

Que se passe-t-il dans les immeubles HLM ?

ABSENCE DE COMPTEUR INDIVIDUEL.

COMPORTEMENT COMMERCIAL DÉLICTUEL DES BAILLEURS SOCIAUX !

Que font les bailleurs sociaux ?

Calcul au pif !

 

Si nous sommes seuls dans un étage dans lequel par exemple il y a trois locataires, le bailleur social croit que nous allons lui laisser passer la FACTURE FICTIONNELLE qui montre la même somme de dépassement de charges que celle du voisin qui est chef de foyer d’une famille nombreuse où ses les consommations fonctionnent à plein régime.

 

Ce comportement commercial délictueux qui agit sans preuves sera condamné par nos trois Codes juridiques, celui du Code Pénal, Civil et du Commerce !

 

L’État qui gère les activités des bailleurs sociaux est LE SEUL RESPONSABLE DE cette escroquerie parce qu’il laisse faire.

La mauvaise gérance des immeubles HLM et les pratiques délictuelles sont essentiellement UN PROBLÈME POLITIQUE MAJEUR ET IL DOIT SE RÉSOUDRE AVEC LES MOYENS D’ORDRE POLITIQUE.

Toute autre tentative d’arrangement est à la marge du cadre juridique. On ne demande pas UN TRAITEMENT DE FAVEUR INDIVIDUEL.
Ce que je demande, ce que nous demandons, c’est que l’État prenne ses responsabilités et qui ordonne aux bailleurs sociaux de prendre fin avec cette pratique délictuelle parce que dans ce problème qui est devenu national les bailleurs sociaux sortent du cadre juridique pour en absence de compteurs, créer un champ de facturation subjectif, toute appréciation subjective et arbitraire n’entre jamais dans le cadre juridique !!!

Ces pratiques de bailleurs sociaux sont à bannir et nous sommes en droit d’exiger un autre traitement de nos dossiers.

Tous les bailleurs sociaux doivent annuler ces factures fictionnelles.

Et, nous sommes tous en droit de laisser ces fausses factures mal nommées de « dépassement des charges » impayées, car d’une part, elles ne correspondent pas à nos véritables consommations, improbables toutes en absence des compteurs

Et, d’autre part, ne pas les payer est une mesure de défense juste et impérativement nécessaire pour stopper leur escroquerie.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

ALERTE SUICIDES : ONZE DANS L’ÉDUCATION NATIONALE – UN LOCATAIRE D’UN BAILLEUR SOCIAL A PARIS

27 janvier, 2025 (18:18) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

ALERTE SUICIDES

ÉDUCATION NATIONALE

ET LOCATAIRE D’UN BAILLEUR SOCIAL

 

 

 

Chers Lecteurs,

Ces deux nouvelles, mal nommées « fait divers » donnent le portrait de cette France.

Horrible portrait d’un pays en décomposition.

Le journal Le Monde vient de publier qu’au sein de l’Éducation Nationale en 2024, dans le rectorat de Normandie, il y a eu onze suicides.
Cette horreur ne m’étonne point. J’ai écrit il y a des années sur les suicides récurrents qui sont méticuleusement cachés

et s’il y a une fuite et une publication s’ensuit, le personnel mafieux de l’Éducation National se défend et déclare que

c’est un cas « exceptionnel » et que le professeur suicidaire « ÉTAIT FRAGILE ! »

Il y a quelques années, dans le rectorat de Nice, une jeune professeur d’espagnol, mariée et mère, s’est suicidée, victime du harcèlement d’un inspecteur.

Maintenant commencent à parler et à ouvrir la boite de Pandore. Pauvres collègues, il faut savoir que pour supporter sans préjudices l’univers dictatorial et mafieux de cette administration française il faut avoir un caractère de fer.
Je ne peux pas critiquer les gens faibles.

Ils font légion ; je suis née très chanceuse, j’eus la chance d’avoir hérité le caractère de mon père, qui fut persécuté par les mafieux de

l’officialité chilienne, sadiques et jaloux de son génie, sans jamais céder à leur ignominie.

Si j’avais hérité le caractère de Maman, douce et sublime créature, vulnérable et sans défense, j’aurais succombé il y a déjà une quarante années. Personne ici n’a le caractère des « Gazmuri ».

Le deuxième suicide vient de se produire à Paris, un homme de soixante ans s’est immolé à l’aide d’une bouteille de White-Spirit au siège de DOMNIS son bailleur social du 10ème arrondissement de Paris, son bailleur social qui lui refusa la mutation qu’il avait demandée depuis des années.

 

Un énième refus a déclenché son acte de désespoir.

Personne ne se souciera de ces deux sortes de suicides. Personne.

Ils seront oubliés le lendemain.

C’est toujours la victime, les victimes, qui seront cataloguées comme les seules coupables et ridiculisées post mortem

comme des personnes FRAGILES !

La société haussera les épaules et les oubliera, ce n’est pas leur problème.

Dans notre force de caractère, il faut noter qu’elle est à double tranchant, d’une part notre caractère de fer nous sauve, nous ne sommes ni de personnes fragiles ni d’imbéciles, notre capacité de raisonnement nous dit que nous ne sommes coupables de rien et que nos demandes sont légitimes parce qu’inscrites dans la loi et que ce sont ces mafieux les seuls coupables, et d’autre part cette force de caractère et cette capacité de jugement nous apporte tort aussi parce que ceux qui devraient faire accomplir la loi, ne sont pas inquiétés de notre sort, ils se disent « elle supporte bien tranquille la Gazmuri » on peut la laisser, elle est vielle, c’est une question d’attendre ».
Puisque jamais, nous ne porterons atteinte à notre vie.

Il y a une seule exception : VILOGIA

Elles ne veulent qu’une seule chose : Me liquider.

C’est pour cela qu’elles me refusent la mutation vers Paris.

C’est pour cela qu’elles ne veulent pas changer le tuyau de gaz qui est en train de rependre des

particules fines de gaz et qui a été sanctionné par le GRDF dans son rapport écrit.

VILOGIA n’aura jamais le plaisir de me voir m’immoler à l’aide de White-Spirit, je ne l’utilise que pour nettoyer mes pinceaux !

Ah tiens ! je cherche les bouteilles de White-Spirit de partout dans les rayons des supermarchés et je ne les trouve nulle part!

Ruminez votre haine et détestation mesdames, je ne serai jamais une de vos

immolées.

J’ai laissé inutiles toutes les injustices des mafieux de l’Éducation Nationale. À présent, c’est votre tour.

Dans ce pays, il faut vivre le plus éloigné possible de toute affaire avec l’administration, jamais signer un contrat de travail au sein de l’État,

jamais signer un contrat de location avec un bailleur social et vous vivre en paix.

Quand je venais d’arriver en France avec Maman, je n’avais pas le droit de louer chez les bailleurs sociaux, ma vie était paisible, je n’eus  jamais à subir des injustices ni d’abus, pareillement quand je travaillais dans l’enseignement privé hors contrat avec l’État,.

Il a suffi que je devienne Française et qu’ignorante que j’étais pour que je signe des contrats de travail et de location avec l’État, sans savoir que je signais mon appauvrissement et ma ruine.

Quand bien même vieille, je garde l’espoir de me libérer des griffes de cette maudite administration.

En tout cas, je le redis, je cherche une bouteille de White-Spirit pour nettoyer mes pinceaux, c’est urgent !!!!

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

ANNIVERSAIRES DE LA MORT

27 janvier, 2025 (10:03) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

 

ANNIVERSAIRES DE LA MORT

 

 

Chers Lecteurs,

 

Tout anniversaire est incontestablement la célébration de la Mort.

Ne vous en déplaise.

Pour les enfants, il est imperceptible l’avancée inexorable vers le cimetière, déjà adultes, les célébrations doivent cesser.
En ce moment, l’histoire oblige à « l’humanité » à se rappeler Auswitch. Des films et des entretiens inondent les médias.
C’est très bien, c’est parfait qu’ils s’en occupent.

Il est une mesure éthique qu’ils fassent de leurs films un souvenir des morts de manière virtuelle et historique.
J’ai aussi ma tragédie personnelle, Maman tombe soudainement souffrante de retour de notre promenade, c’était en 2013, elle s’est vue refuser les soins de manière criminelle précisément par une médecin « Traître-Tant » un représentant du « Peuple élu » franchement pour la torturer et la tuer. Un véritable terroriste.

Moi aussi j’ai fait tout pour que ce crime reste écrit avec mon témoignage de vérité, et il le restera ad vitam aeternam. Je ne cesserai jamais de le rappeler.
Une fois moi morte, bientôt, mon livre restera.

La parole écrite et imprimée ne s’efface jamais.

Surtout maintenant qu’un manuscrit peut se garder et confier par le moyen des techniques avancées, j’ai pris déjà toutes mes précautions.

Un jour, un médecin m’a dit ceci :

« Et, on ne vous a pas demandé PARDON ? »

Je lui ai répondu, et avec la demande de « pardon’ Maman va ressusciter ?

Avec Pardon » va-t-on effacer ses souffrances indicibles dont j’ai été le seul témoin oculaire ?

Je ne cesserai jamais d’en parler. Ne vous en déplaise.

Ils nous passent des films de leurs « victimes ».
Je passe mon film sur la torture et assassinat de Maman par cet assassin « médecin Traître-Tant ».

Pour ma part, j’ai déjà analysé sans concession tout ce qui s’est passé.

J’ai enregistré dans une clé USB les photos de ce nouveau cataclysme à Gaza provoqué précisément pur ce peuple qui a souffert Auschwitz,

et les pogroms de Russie.

Grave mascarade de l’histoire. C’est pourquoi j’ai écrit aux Gazaouis de garder leurs photos ? pour qu’un jour, quand ils auront leur État, ils devront pareillement construire un Mémorial montrant les massacres abominables commis par ceux qui ont tant souffert !

 

Le Rabbin GILAD KARIV les a déjà lancés un sermon historique, je n’ai plus rien à dire.

Toute réflexion, tout écrit devient faible et inutile face à son cri cosmique, personne d’autre que lui ne les a nommés et criés racistes et, personne que lui ne leur a critiqué mieux que quiconque leur comportement sanguinaire.

Depuis, j’ai fermé tout commentaire et je ne m’en occupe plus, c’est lui qui a donné la note finale, et il faut se retirer, et ne plus rien dire face à une éminence de sa stature.

Quand il faut parler du respect de morts ici-bas, ici et maintenant, les gens fuient et ils évitent de parler et d’approfondir le sujet.
J’ai compris, dès que les morts exigent le versement d’argent pour leur protection, là s’arrête le respect, s’arrêtent les discours compassionnels et les larmes, la plupart du temps de crocodile, se congèlent, comprimées par la peur insurmontable d’ouvrir le chéquier.
Je parle comme vous le savez de ce que les politicards évitent de parler des lois cadastrales qui, depuis qu’ils ont été approuvés, ordonnent le paiement d’une concession : En une seule fois.

 

Jusqu’à présent, je ne lis que des articles récents qui protestent contre le commerce des entreprises funéraires qui, de leur pouvoir uniquement mercantile, imposent des sommes exorbitantes pour le paiement des pompes funèbres, mais les politicards évitent de parler de la seconde partie du rituel funéraire.

L’enterrement d’un mort ne finit pas avec le paiement du cercueil et du corbillard.

Les pompes funèbres, quand elles sont honnêtes et sérieuses, finissent par accorder un échelonnement et accordent des facilités assez amples pour s’acquitter des paiements. De leurs services funéraires, sans leur compréhension face à mon insolvabilité, je n’aurais jamais pu construire cette tombe pour Maman et moi-même. Elle m’a couté une fortune, au bout de 10 ans, je me suis totalement acquitté. Je l’affirme par expérience, parce que j’ai dû payer trois inhumations, trois exhumations suivies de trois autres inhumations, le paiement de trois cercueils obligatoires pour le changement de cimetière.

Ce que les politicards n’ont jamais évoqué ni développé, c’est la nécessité d’examiner le prix des concessions funéraires, comme si le mort

devait rester sous terre le temps des funérailles !

Pourquoi ce silence troublant ?

Parce qu’en parler en toute franchise du grave problème funéraire, le problème essentiel, les nuirait dans leurs relations avec l’État.
Il faut savoir qu’avec le paiement des services funéraires de pompes funèbres, l’enterrement d’un mort ne fait que commencer.

Où va-t-on enterrer le mort ?

Dans un espace de terre.

Et c’est uniquement là que commence le problème grandiose dont personne n’en parle.

Moi, oui, et c’est bien pour cela que j’ai écrit un essai

LA MORT EN FRANCE : POLITIQUE FUNÉRAIRE DE LA TERREUR

Il est suivi de deux autres, le volume II et le dernier Volume III.

Ils seront prêts en avril 2026.

La loi cadastrale est bien plus importante que les prix exorbitants des pompes funèbres, je le redis, on peut trouver des arrangements avec ces entreprises de la mort.

Au sein de l’État, on ne trouve qu’une dictature cruelle et sanguinaire.

La loi pénale qui considère un délit toute violation et irrespect des morts, ne dit rien quand une maire, affirme que toute concession impayée, termine inexorablement avec son ouverture, l’exhumation du cercueil pour le jeter à l’incinération et parfois le maire est libre de choisir le jet d’acide, car moins couteux et plus rapide.

Ensuite, après leur rituel commercial, qui comprend la violation d’une tombe, la violation d’un mort parfaitement légal, violant transfert de la concession impayée vers un « citoyen solvable » la concession funéraire déjà libre, par ordre du maire, elle passe immédiatement à une famille solvable. La loi du cadastre est la plus inflexible de toutes, elle ne nous accorde aucun échelonnement.

La concession doit être payée en une seule fois, et par « chèque banque » à l’ordre du Trésor Public.
Évidemment que cet argent va enrichir le budget de l’État.

Alors, ma thèse proposée dans mon essai est une mesure juste, et applicable pour rendre bienveillante la vie de survivants endeuillés qui ne paient pas d’impôts dur le revenu et qui veulent donner une sépulture digne et perpétuelle à leurs morts.
Cela ne plait pas à cette République laïque.
Je réponds que de toute façon, l’État ne trouvera pas beaucoup de personnes pauvres, exonérées à l’impôt sur le revenu et qui désirent avoir une concession perpétuelle. Ce sont précisément « les pauvres » « Ils se revendiquent LAÏQUES. Sauf des rares exceptions,

En général, tout le monde accepte sans pipe mot et s’agenouillent, soumis aux ordres sauvages de l’État.

Rares sont « les pauvres » comme moi-même qui s’oppose formellement à la crémation et à la répartition des cendres dans la nature.

Probablement parce que je ne suis pas née « pauvre », ils ont raison, ils m’ont appauvrie, et c’est vrai que je suis « potentiellement riche».

Pour employer un mot à connotation philosophique.

Il sera trop leur exiger à ces maires de comprendre ce que veut dire une personne « potentiellement riche » !

Il est impossible de convaincre que ma thèse de défense des morts n’est pas d’ordre uniquement religieux.

C’et la défense du droit naturel des morts, j’ai essayé d’ôter cette indigne procédure dans la pratique funéraire de mon pays d’adoption, mais j’ai échoué.

J’avoue publiquement que je me suis trompée. Parce que quand j’ai fui mon pays natal pour faire de Paris ma ville d’adoption, amoureuse de Paris et de la peinture, je n’ai jamais pensé vivre appauvrie, cela allait vers une pensée contre-nature, j’avais et j’ai en moi toutes mes ressources pour réussir.

Alors, j’ai avancé dans ma voie, sans jamais imaginer la force brutale et sanguinaire qui restait gardée dans la loi cadastrale française.
J’avoue m’être trompée.

Maintenant, je dois assumer ma grandiose erreur.

C’est « grave et difficile » d’avouer nos erreurs, mais c’est une obligation éthique.

Personne ne m’a invitée, je suis une éternelle étrangère, j’en conviens.

La France n’est pas celle que j’aimais.

Mais toutes ces pensées, je les garde pour moi, car je me suis trompée.

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak