CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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MISÉRABILISME ET HARCÈLEMENT MORAL

24 avril, 2025 (09:46) | Non classé

 

         MISÉRABILISME

                           ET

 

 

       HARCÈLEMENT MORAL

PAR L’IMMISCIBILITÉ SOCIALE

 

 

En France, j’ai découvert ce qu’ « être pauvre » veut dire.

Au Chili, le concept de « classe sociale » n’a pas la même signification qu’ici, cette classe si spéciale qui vit de l’assistanat et qui s’est formée après la guerre, une classe nommée

« d’assistés »

Là-bas, l’assistanat n’existe point. Celui qui n’étudie pas ou qui ne s’inquiète pas durant sa scolarisation de se former dans un métier, vivra dans des campements nommés :

« callampas ».

Ici, la situation est bien autre, parce que ce « le politique » qui forme de force « les classes sociales », le politique décide, fait le tri et sert de justicier pour le classement qui fera que d’aucuns entreront dans un camp de concentration, les autres entreront dans le lieu des « protégés » par l’État, ceux qi sortiront vainqueurs par le « méritocratie » et la prostitution de luxe, (Georg SIMMEL fait une excellente étude sur la prostitution de luxe), accèderont aux ministères, le comble !.

Il y aura un bataillon qui sortira vainqueur par la récompense à sa médiocrité.

Seuls seront épargnés les Français de souche qui, par héritage familial, aucun politicard ne pourra jamais porter atteinte à son identité ni les faire descendre de classe sociale, ils sont Français, et j’ai toujours pensé qu’ils ont tous leurs droits. Je ne suis qu’une citoyenne adoptée et je vais faire la description en plusieurs chapitres de comment j’ai obtenu ma naturalisation Française quelles ont été les demandes à la préfecture lors d’un interrogatoire, mon serment et la trahison de la France, car quand on signe une adoption, il y a des droits et des devoirs qui doivent être respectés aussi bien par le pays qui accueille et adopte et par le citoyen adopté, or, j’ai respecté le contrat et la France, l’administration française l’a violé. Je ferai la description de cet affront qui expliquera en détail la descente aux enfers par l’action mafieuse de ceux qui auraient dî se conduire avec honneur. La violation de mes droits commença dès que je suis entrée à l’Éducation Nationale, mon directeur des recherches, le Professeur Claude Couffon  m’avait averti que je devais sortir de ce milieu : « Florence, vous devez quitter l’Éducation Nationale, vous ne savez pas que c’est le milieu le plus médiocre que nous avons en France ! ». Je ne lui ai pas obéi parce que je ne pouvais pas recommencer un autre cursus universitaire, j’avais Maman entièrement à ma charge, je ne pouvais que faire les équivalences et obtenir des diplômes français, mais sur une profession déjà acquise.

L’agression administrative débuta en 1989 et s’est aggravée quand j’ai dû quitter l’enseignement pour m’occuper jour et nuit de Maman qui était victime soudainement d’une maladie neurologique et pour rien, je n’aurais permis une séparation, je ne vais pas m’attarder sur les modalités françaises pour s’occuper des vieux, chez moi cela ne passe pas.

Je me suis occupée de Maman sans aucune aide extérieure, je lui ai prolongé la vie chez elle, c’est-à-dire « chez nous » entre l’année 2000 et 2013 quand le Sicaire me l’a tuée.

Bien, ceci dit, passons au MISÉRABILISME.

Avant, je disais que je n’étais ni psychiatre ni criminologue pour interpréter la détestation gratuite de l’administration qui exerce à mon encontre des actes barbares, des actes délictuels qui sont répertoriés dans le Code pénal,

À savoir, la non-reconnaissance de mes diplômes français, la non-reconnaissance d’un exercice professionnel d’excellence, la non-reconnaissance d’un travail artistique de premier ordre attesté par une formation française reçue en héritage et si facilement prouvée, car la peinture a l’avantage de se voir d’un seul coup d’œil, du côté pratique, le harcèlement des services administratifs qui m’ont passé à la trappe jusqu’à ce jour, je les ai dénoncés ipso facto, on verra ce que mes dénonciations donneront comme résultat.

Ils devraient être sanctionnés et moi, mise à l’abri et récompensée des préjudices subis, mais tel que l’on me l’a dit jusqu’à la fatigue : « Madame, vous êtes une victime, la loi vous accorde tous vos droits, mais en France, nous avons « un problème », il n’y a presque jamais l’application de la loi et les délits restent sanctionnés uniquement dans l’écrit, pas dans des actes ».

Avant, je ne comprenais pas, maintenant, je comprends, depuis la semaine dernière, je comprends mon étourderie, il me manquait encore apprendre…

Quand j’ai vérifié que les dires d’une personne étaient vrais. La mairie de Paris a le monopole de l’attribution des HLM et elles font le tri sur qui est méritoire et qui doit rester sans logement, il est un monumental mensonge qu’à Paris, il n’y a pas d’appartements ; j’ai les textes avec les adresses et même les noms des bénéficiaires, ils ont été publiés par des journalistes  en 2013 ; des appartements luxueux ont été transformés de force en HLM et LÉGALEMENT achetés par la ville pour devenir des logements sociaux, c’est ainsi que des hôtels et des villas particuliers abritent depuis 2013 des heureux banlieusards méritoires, ils ne sont pas des « français de souche »,  donc il n’y a pas selon leurs critères « de discrimination » or, il y en a ! Mais d’une autre espèce !

La plupart viennent d’ailleurs, mais cette catégorie a ses nuances qui sont étudiées à la loupe par « LA COMMISSION » qui décide et fait le tri.

Au regard des dites » attributions » je constate que ma « classe sociale » me range à une distance abyssale des heureux bénéficiaires qui sont logés dans les meilleurs quartiers parisiens. Le mois dernier, j’ai fait l’impair de contacter par téléphone une

« fonctionnaire » de la mairie de Paris, je lui ai expliqué la nécessité médicale urgente de retourner vivre à Paris par le moyen d’une mutation de HLM, alors elle, hystérique comme le sont presque toutes les femmes, sans me voir, car la conversation n’était que téléphonique, non une visioconférence, m’a dit avec un ton maléfique : « et pourquoi voulez-vous revenir sur Paris ? »

Je lui ai répondu avec deux phrases catégoriques ce n’est pas ce que je veux, mais il fait dire que « je dois » par urgence médicale, il faudrait contester mes médecins, j’ai un handicap qui s’aggrave au jour le jour par les escaliers de l’immeuble et les prix exorbitants que je dépense en taxis conventionnés, en plus j’étais parisienne depuis des nombreuses années, je ne devais pas être mutée de Paris vers cette banlieue si éloignée avec de lourds problèmes insurmontables de transport.

Alors, prise au piège par une réponse incontestable et inscrite dans la loi qui défend les handicapés et qui par loi sont prioritaires, je lui ai rappelé la loi avec l’article et le numéro, ce qui était pour elle très perturbateur, elle m’a dit en soulignant sa phrase :  « Ah VOUS VOULEZ », mais Madame, ici chez nous, ce n’est pas comme ça que cela se passe ! »

Alors, la fonctionnaire viole la loi avec ses mots, « CHEZ NOUS ce n’est pas comme ça que cela se passe ».

Alors, cela se passe comment CHEZ EUX ?

 

À la mairie de Paris, pour l’attribution d’une MUTATION de HLM pour une personne prioritaire parce que handicapée ?

Paris est la capitale de privilège.

Il fallait à tout prix m’éloigner, me rabaisser et m’insérer dans une CITÉ !

Ah !, LA MIXITÉ sociale !

Je la nomme L’IMMISCIBILITÉ SOCIALE.

Pouvez-vous mélanger l’eau et l’huile. Si vous y arrivez, il va falloir le faire savoir, ce sera une nouveauté scientifique.

Verdict sur l’attribution des HLM parisiens :

Ça ne se passe pas avec une attache rigoureuse aux textes de lois.

Mes parents m’enseignèrent dès très jeune adolescente que LA POPULACE est la même de par le monde, le seul changement qu’on observe, c’est la différence de langue et d’accent.

Pour les rustres, maintenant, je le constate, ils se récompensent et récupèrent l’équilibre perdu, avec des agressions de tout ordre, qui sont des délits factuels et moraux.

 

Devant une personne de bien, qui a des valeurs indestructibles et qui provoquent leurs complexes d’infériorité, ils se dédouanent de leurs complexes déstabilisants, en frappant moralement et privant de ses droits à une personne de valeur qui par l’action des mafieux a été rabaissée de force de sa véritable « classe sociale », c’est un déclassement réjouissant pour eux, parce que le socle du problème dans mon cas, c’est qu’ils ont obtenu me déclasser par l’ARGENT.

Là-bas, dans le pays où je suis née et dont je ne veux plus me souvenir, il y a une définition qui me plaît et que j’affectionne, la traduction n’est pas fidèle, mas bon, cela est une des terribles difficultés de toute traduction qui devient une trahison.

« LAS FAMILIAS NOBLES VENIDAS A MENOS »

Le français vous dira  : « anciennes familles qui ont eu des revers de fortune, déchues, appauvries ».

Oui, ce sont des phrases approximatives, assez justes, mais le nœud de la question est bien autre, la traduction ne dit pas la raison de l’appauvrissement, chez moi, en France, il est le produit des FONCTIONNAIRES complexés et politisés jusqu’à la moelle, ils, elles ressentent une furie haineuse, haine qui  est éprouvée par exemple par les commissions et aussi par « LES ASSISTANTES SOCIALES » face à un paradoxe impossible d’avaler, habituées qu’elles sont à remplir des dossiers et de juger les situations des « classes défavorisées ».

Les actes iront de pair avec l’ampleur et la profondeur de la blessure intime qui ressentent ces FONCTIONNAIRES, soient-ils de l’éducation ou des simples administrations gérantes des dossiers.

À suivre, car ce chapitre est l’un des plus longs de mon livre.

Carmen Florence GAZMURI CHERNIAK

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