THÉMIS VIENT A NOTRE SECOURS !

MINISTRE INDÉCENTE

PROPOSANT DES NOUVELLES LOIS INDÉCENTES

CONTRE LES RETRAITÉS

Message au gouvernement :
Votre dilapidation des ressources de l’État, vous devez les assumer, nous ne sommes pas les mauvais gérants de votre funeste politique MAZAMORRA, donc assumez-les vous-mêmes !

Chers Lecteurs,

Avant tout, il faut définir ce que veut dire le mot indécent.
Selon l’Académie française :

Vice de ce qui est contraire à la décence, à l’honnêteté, aux bienséances. Il y a de l’indécence à parler ainsi.

De ma langue maternelle, je reproduis ma RAE
1. adj. No decente, indecoroso.
Sin.:
o [sin decoro] indecoroso, obsceno, grosero, impúdico, procaz, inmoral, desvergonzado, deshonesto, vergonzoso.
o [sin escrúpulos] desaprensivo, abusivo, vil, deshonesto, humillante, repugnante, asqueroso.
o Du latin, notre racine, je prends la définition tout à fait juste et simple : -entis. Indecens
Je prends le mot qui convienne le mieux en politique :

ABUSIF

MALHONNÊTE

Je prends de notre racine, le latin : indecens -entis. Définition simple et exacte, ce qui est inconvenant, messéant.
C’est indécent que de vouloir étrangler encore plus les vieux qui ont travaillé toute leur vie et qui ne leur reste que quelques années pour profiter et de bien vieillir en paix avant de partir au cimetière, c’est là qui réside cette indécence, une de trop qui me révolte et qui m’oblige à vous écrire.

Qu’ils ne nous sortent plus la rengaine que « tout le monde doit participer ».

Personne n’y croit ni ne peut subir vos abus avec des excuses mal construites pour essayer de remédier le naufrage que vous avez provoqué par votre mauvaise gérance, ce n’est pas la faute des français qui travaillent ni de ceux qui sont à la retraite d’assumer vos fraudes et vos gaspillages « indécents ».

Dès l’arrivée d’un gouvernement banquier pour gérer la France, nous sommes submergés depuis d’injustices, avant lui ce n’était pas réjouissant non plus, nous étions gouvernés pas des « fonctionnaires » d’une gauche attachée à la droite des banques.

C’est ce que j’appelle la politique MAZAMORRA on y met de tout dedans sans aucune sélection et sans aucune hiérarchie, du bon, du vrai et du juste, on remue et voilà l’assiette politique prête à être servie aux français.
Quand bien même, ils ne veulent plus de cette assiette venimeuse, ils sont obligés, nous sommes obligés de l’avaler.
À présent, avec cette nouvelle d’une ministre qui annonce son intention de faire loi un nouveau prélèvement aux retraités, nous sommes au comble du supportable.

Non, je ne suis pas imposable, mais je me bats pour la justice de mon pays d’adoption, quand bien même, je ne paie pas d’impôt, pour le moment, je m’inquiète pour l’injustice que subissent mes compatriotes.

La France est aux abysses du point de vue culturel et financier, grand paradoxe en étant gouvernés par un banquier qui n’aurait jamais dû laisser la France en déficit, ceci tout le monde le sait sans aucun besoin d’être diplômé de Sciences Po ou de l’ENA.

Je lance un appel à se mobiliser pour refuser encore des taxes, des impôts à ne plus pouvoir survivre en train de payer, même pour nous qui sommes les plus misérables de retraités.

Je m’insurge contre toute nouvelle loi qui porte atteinte aux retraités.

C’est franchement le comble de l’indécence.

Je propose qui contribuent certains ministres qui ne devraient pas être là, et qui reçoivent des salaires faramineux sans le mériter, vous savez à qui je pense et vous aussi. Qu’elle contribue.

Avec un 5% de ses revenus mensuels, les retraités seront acquittés de toute nouvelle taxe.

N’oubliez pas, que nous préparons notre mort.

La mort est payante et très chère en France, notre pays de  la liberté, de la solidarité et d’une fraternité comme vous le constatez : foudroyante.

Alors, si nous devons payer 17.000 pour les Pompes funèbres.

Et ensuite 8400 € pour une concession payable au Trésor Public, aux impôts, laissez-nous en paix afin de préparer notre mort et, cessez de nous persécuter avec des nouvelles lois pour nous prélever des nouveaux impôts.

Un peu de décence s’impose.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak