CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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MENACÉE DE MORT ? VOUS ALLEZ VOIR CE QUE VOUS ALLEZ VOIR!

2 septembre, 2024 (07:14) | Non classé

 

CITE HLM CRIMINELLE

D’UNE HLM DE PARIS À POISSY

UNE AFFAIRE CRIMINELLE

Avril 2021

Chers Lecteurs,

Pour vivre en paix en France, il vous faudra un seul élément absolument nécessaire pour être à l’abri des malfaiteurs ;

L’ARGENT.

Si, par une raison malheureuse, une injustice, vous n’avez pas obtenu le retour qui vous doit être dû à votre formation professionnelle et à vos compétences, ceci en un autre sujet, vous serez la proie des éléments criminels qui se trouvent en action de partout.

C’est le cas de ce qui m’est arrivée dès mon arrivée à la CITÉ HLM de Poissy.

Je venais de Paris, d’un excellent immeuble HLM du 13ᵉ arrondissement, aucun problème avec les voisins, chacun faisait sa vie indépendante, nous nous crossions dans l’ascenseur, un bonjour, bonsoir et tout allait pour le mieux, jamais je n’eus un incident avec le voisinage, et tous les habitants étaient de situation modeste, pour vivre en HLM, il va de soi que nos revenus ne sont pas flamboyants !

Quand nous avions un problème de dégâts dans l’appartement, il suffisait de le signaler à la gardienne, qui n’était pas sur place, car dans l’immeuble il n’y avait pas de loge de gardienne, mais elle se trouvait à l’autre bout de l’arrondissement, elle recevait notre demande, parfois il nous suffisait de lui laisser un message sur son répondeur, et très rapidement, nous avions les intervenants qui s’occupaient des réparations. Comment aurais-je pu imaginer qu’en arrivant à Poissy, j’allais rencontrer des criminels du plus haut de son administration, de l’HLM à la pire des classes sociale des habitants ?

L’immeuble HLM du 13ème arrondissement, grâce à son emplacement, la tranquillité du voisinage, et la gérance de l’administration de car HLM, tout était parfait et j’avais tout à ma portée.

Mais, l’exiguïté de la seule chambre de 16 M2, m’a fait fuir avec mon plus grand regret, j’ai supporté les 16m2 huit années, jusqu’à ce que, obligée, j’ai dû accepter une HLM de 48 m² HLM dont j’ignorais tout de la qualité des gestionnaires du « bailleur social » et de la qualité des habitants.

J’ai déjà raconté les préjudices des DÉLITS que je subis de la part du bailleur social.

A présent je vous raconterai, les actions criminelles des lâches et sadiques qui habitent cette CITE, et j’espère que les autorités parisiennes me liront tranquillement.

Je ferai tout pour qu’il soit ainsi.

C’est un des avantages d’être la propriétaire d’un Blog.

Aussitôt arrivé dans cette CITÉ HLM naïve que j’étais, j’ai commencé à faire des démarches que fait tout citoyen, courses alimentaires, poster des lettres, etc.

Le refus de ma personne fut immédiat. Peu à peu les manifestations criminelles commencèrent pour « me faire peur ».

En marchant vers une supérette Carrefour, un « jeune » de ceux qui en moto osent ses rodéos, ou pour faire peur ou pour tuer, ce type criminel enfonce sa moto vers moi à toute vitesse en faisant un bruit assourdissant, je me suis dit, je suis morte, je n’ai aucun moyen d’échappatoire.

Je me suis collée au mur du magasin, et juste avant d’arriver m’écraser, il dévie sa moto, me fait un doigt d’honneur et rit.

Je vais porter plainte au commissariat.

La même question d’habitude que la police devrait changer d’une fois pour toutes.

Elle m’oblige à chaque fois à leur donner la même réponse :

« Ce n’est pas mon domaine de compétence, posez la question au grand criminologue monsieur Alain BAUER »

la police une fois qu’elle a fini ma déposition me dit :

« Et, pourquoi il ne vous pas tuée ? »

Alors je lui ai dit : » je l’ignore, peut-être ce sera pour la prochaine fois ».

Les rodéos particuliers se sont répétés à mon encontre avec une fréquence assidue.

Ils changèrent après par des vélos.

Les « adultes » ont eu l’idée de motiver leurs « enfants » en cycles aux quatre roues, m’enfoncer leur artefact dans mes chevilles.

« Les enfants » de l’immeuble ont eu l’idée de peindre de peinture noire, les fenêtres des parties communes.

Je ne voyais rien à la sortie de l’appartement.

La distinguée locataire de l’étage d’en bas, arrive à l’heure de la sieste, je dormais, frapper ma porte comme une démente.

Je n’ouvre jamais à personne, mais idiote que je suis, j’ai ouvert, encore endormie, et cette femme commence à me crier que je lui jette des ordures dans sa fenêtre.

Alors je découvre que ce sont « les voisins » d’en haut qui veulent que les ordures tombent sur ma partie commune, mais leurs ordures tombent sur elle !

Affaires closes.

POISSY 2024

Un type me poursuit dans le bus, et une fois arrivée à l’arrêt « cimetière » de Poissy, me menace an me proférant des gros mots et des gestes déplacés qu’il est impossible de répéter, les plus significatifs ?

Je vais t’écraser tes lunettes et va partir ton chapeau, je vais te tuer…., et il veut me frapper.

Je ne prouvais ni courir ni m’échapper, il est parti uniquement parce qu’une dame âgée est sortie d’une résidence pour personnes âgées, un pseudo homme qui était assis sur un banc à vu que j’étais agressée par cet individu, mais il n’est pas venu à mon secours.

Je me rends encore une fois au commissariat, et cette fois-ci la police me dit :

« Encore vous ?

Mais nous on se connaît déjà ! »

Madame, vous ne pouvez pas venir déposer une plainte de manière récurrente, alors ce que je vous conseille est d’avoir un carnet et de noter la date, l’heure des tentatives d’agression et des menaces de mort factuelles, et vous gardez l’historique ».

Je laisse donc la multitude des tentatives de me tuer bien gardées.

Samedi matin, je marche vers l’arrêt de bus Racine.

Une voiture blanche, à toute allure, m’avait suivie à la sortie de l’immeuble, il s’enfonce vers moi, pour m’écraser, et tel que les autres criminels à moto ou à vélo, une fois qu’il est devant moi, il dévie sa voiture ; je prends mo smartphone, j’appelle tout de suite la police.

Dans la panique, j’arrive tout de même à voir très vite deux chiffres de sa plaque : AS

La police me dit, nous les connaissons, ils sont « des jeunes » qui font ça avec des voitures volées ou louées de Slovenie »

dernière agression d’il y a seulement deux semaines :

Je sois au téléphone, ma porte subie une explosion, je regarde et je vois une dizaine de « jeunes » qui s’envolent riant et criant aux éclats par les escaliers.

A vol d’oiseau, ils sont envoyés par leurs parents criminels de l’immeuble, ils ont essayé d’abattre ma porte.

Il était juste midi. En plein jour et moi dans les lieux.

J’appelle encore la police, une dame me dit venez tout de suite porter plainte, nous ne pouvons pas y aller, car s’ils sont des ados, nous ne pouvons rien faire et en plus si vous me dites qu’ils se sont échappés en courant, le temps d’y arriver, il n’y aura personne.

C’est tout à fait logique.

Voici me mesure de protection et de sécurité 

J’ai installé une TÉLÉSURVEILLANCE qui fonctionne avec des caméras partout, détecte les mouvements, et se déclenche une alarme tellement forte que je suis sûre qu’elle sera entendue jusqu’à Montparnasse !

En plus l’autocollant placé sur ma porte d’entrée et les fenêtres, annonce aux criminels que mon appartement est surveillé 24/24 et 7/7, s’il y a une nouvelle agression, mon assurance appelle ipso facto les forces de l’ordre.

Une femme seule, sans famille ni protection et qui vit dans une CITE HLM CRIMINELLE, doit par force se protéger avec tous les moyens modernes dont on dispose.

Si l’on n’est pas une « figure importante et connue », on ne peut pas bénéficier d’aucune protection, chacun pour soi.

La police ne peut agir qu’une fois le crime exécuté.

J’en connais, et même après le crime tout sera passé aux oubliettes, il n’y a qu’allumer la télé.

Ces criminels n’ont peur que d’une autre mafia comme celle qui les dirige ou bien d’une télésurveillance des plus modernes et les plus efficaces : LA MIENNE.

J’ai mème une télécommande, s’il y a tentative d’agression dans les escaliers de ces lâches immondes, un court appui sur ma télécommande et les forces de l’ordre arriveront sur place, sans besoin qui soit moi-même celle qui devra appeler de mon smartphone.

Vous allez voir ce que vous allez voir !

En attendant des jours meilleurs à Paris…

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

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