MA CRITIQUE DU FILM SHOKUZAI – ICI PROCHAINEMENT
PROCHAINE CRITIQUE DU FILME SHOKUZAI ICI TRÈS PROCHAINEMENT
Chers Lecteurs,
Ma critique du film japonais SHOKUZAI est en écriture et je vous prie de m’attendre un peu, parce que je suis en train de faire une recherche
qui me prendra un peu de temps.
Vous savez déjà ce qui a écrit la critique française, le film est une Saga
Éblouissante
Émouvante
Virtuose.
Et les critiques vous ont raconté l’argument.
Pour ma part, je n’ai pas l’habitude de procéder ainsi et depuis mon plus jeune âge.
L’objectif n’est pas commercial ni de se faire un nom parmi l’avalanche de prétendants aux places de « figuration » de critiques de cinéma.
Il ne devrait pas l’être.
Mais le manque d’esprit critique des français qui ne l’ont pas non plus au sein de l’école, se déplace pareillement vers tous les autres domaines culturels.
Ce manque, on ne peut que leur imputer dans tous les autres domaines de la vie sociétale, la réception des films de l’étranger en est une et de taille.
L’objectif de toute critique, soit-elle des films ou des productions littéraires à niveau de réception d’un public non spécialiste, est de la faire sérieusement et sans se soustraire à fournir des éléments cruciaux, sous prétexte que « le public » n’est pas connaisseur.
Et, les critiques de cinéma, n’essaieront jamais de développer chez les lecteurs des points de réflexion auxquels ils n’ont pas l’habitude d’y accéder.
Nous pensons le contraire, il faut contribuer à enrichir le champ de l’exégèse cinématographique et ce programme se fait de deux façons, ou bien en présentant une nouvelle perspective d’interprétation, ou bien en créant une « contre critique », un « contre-exposé », c’est la même procédure de tout commentateur de textes littéraires, le problème en France est que les critiques pensent à tort que l’exégèse d’un film doit rester sur une tonalité basée sur l’adjectivation spectaculaire, (déjà citée) avec une fin de réclame commerciale, pour que le film soit vu du public, et de remplir un rôle de « compte rendu » du plus simplificateur.
Le problème s’accentue avec les films japonais qui sortent tous du cadre des films européens et cette particularité de nouveauté « originale » prenons le mot qui fait référence à « leurs origines », est liée à la nouveauté cinématographique des cinéastes japonais qui lient à la perfection origines et nouveauté de technique et des procédures.
Cette thématique est proprement japonaise, et dans tous leurs films, cette modalité de mise en scène est ancrée dans leur tradition de millénaires de bonne littérature.
Ce film est basé sur un roman, de MINATO KANAE.
J’ai parcouru les publications en date de 2014 et je n’ai pas trouvé de publication faisant l’analyse appropriée, je suis persuadée que la lecture du roman s’impose.
Je vous devais cette explication, car je vais lire le roman avant de rédiger ma critique du film que j’ai vu par deux fois, chacun de cinq épisodes.
Avant de fermer ce bref article je dois vous dire ceci : si par curiosité, vous lisez la critique, vous verrez qu’il y a de fausses comparaisons assommantes de contradiction, cela est un résultat de ‘l’ignorance de la littérature japonaise, les films japonais sont la création de cinéastes de grande culture, aucun d’entre eux ne s’est aventuré à la création des films sans un socle culturel solide, ils sont tous des universitaires de haut niveau, donc laisser sans étude, cette composante, c’est appauvrir l’exégèse, la solution est d’extraire et de ne jamais lier un commentaire de film japonais sous la perspective la production des films japonais liée aux références culturelles occidentales, car le Japon n’en a aucune.
C’est une erreur qui touche l’absurde et l’impossibilité de toute articulation de « commentaire » possible.
Il faut aller chercher, comme nous l’avons déjà dit, dans les plus anciennes traditions japonaises, leur richesse esthétique et leur message se trouve à notre portée pour l’étudier et il nous faut la découvrir, pour dire quelque chose de valeur.
Chers lecteurs, je vous dis donc à très bientôt.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
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