LOI CCH:L. L . 441-1 L. : LA LOI EN VIGUEUR DÉFEND MON CAS DE LOCATAIRE EN SITUATION DE HANDICAP.
LOI CCH: L. 441-1 L
LES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP, LOI DU 21.12.01 : art. 1
LES LOGEMENTS HLM DOIVENT ÊTRE ATTRIBUÉS EN PRIORITÉ À CERTAINS DEMANDEURS
IDENTIFIÉS COMME PRIORITAIRES.
Chers Lecteurs,
Il faut avoir une bonne dose et talent de pédagogue pour exercer le don de la patience pour nous répéter sans cesse devant les ignorants, mais il faut redoubler notre patience devant les pervers, les gens sadiques de mauvaise nature et dotés d’une surdose de méchanceté.
C’est mon cas particulier de femme artiste, ex-professeur et en situation de handicap depuis 2015, handicap qui s’est aggravé non parce que mon handicap soit « évolutif », non, je ne suis pas atteinte d’une maladie neurologique, je suis atteinte d’une sévère gonarthrose très invalidante et qui m’exige de vivre dans un immeuble de préférence en rez-de-chaussée ou bien avec ascenseur, ce qui serait préjudiciable à présent que tous les bailleurs HLM se moquent éperdument de la situation des locataires handicapés, qui se voient privés d’ascenseur que les bailleurs se refusent à réparer rapidement, mettant en péril la vie des personnes en situation de handicap ou d’âge avancé.
J’ai déjà écrit un article pour vous informer et remercier le député socialiste Philippe BRUN, le seul qui a eu l’intelligence et qui a fait preuve de ses compétences professionnelles en proposant devant l’Assemblée Nationale une loi qui obligerait les bailleurs sociaux a réparer sous 48h les ascenseurs en panne, il a été le seul à exercer les attributions qui sont les siennes pour les placer au profit du bien commun, mais l’intelligence et la droiture en politique sont deux vertus rares dans notre France actuelle !
Il n’y a que regarder la situation catastrophique dans laquelle nous a mis l’actuel gouvernement.
Si en 2021, j’ai accepté cet appartement totalement contraire à mon handicap c’est parce que la chambre HLM où j’habitais dans le 13ème était si exiguë que je ne pouvais même pas circuler et moins encore travailler ma peinture. Les 16m2 habitables, où pendant huit ans, je vivais enfermée sans pouvoir vivre ni bouger, menant une vie végétative, c’est ce que veulent le préfets qui croient que toutes les femmes vielles sont pareilles, selon lui, j’étais une vielle « comme tout le monde ! »
Et, moi, je plaide coupable de faiblesse, parce que j’aurais dû refuser cet HLM et me voir forcée à quitter mon Paris adoré.
Mais, j’étais aux abois sans pouvoir peindre, enfermée dans une prison de 16 m2, alors le crétinisme et la mauvaise foi de ses gérantes, m’ont répondu récemment que la loi interdit d’attribuer 48m2 à une vieille célibataire qui n’a jamais enfanté et qui vit SEULE.
J’ai de nombreux exemples des femmes aussi vielles que moi qui habitent des HLM de 48m2 et plus.
Ma voisine de palier dans le 13ème était mon amie, elle avait un spacieux F2, elle était aussi célibataire et n’avait jamais été mariée, sans enfant et, elle vivait seule tout comme moi; donc la réponse crétine que ces politicards des mairies me donnent est sans aucune validité juridique.
La capacité intellectuelle des femmes fonctionnaires et gérantes arrive au paroxysme en me conseillant que « je dois me réduire ». Elles croient qu’avec une misérable retraite de 1000 euros j’ai pu me construire un habitat royal !
Après le décès de Maman en octobre 2013, assassinée sauvagement par le « Médecin Traître-Tant » j’ai tout perdu, et je n’ai jamais pu racheter rien pour reconstruire un vie normale.
Je les ai dit ceci tout récemment:
Mesdames, je ne peux pas suivre vos conseils parce que je n’ai pas de meubles, ni d’électroménagers, je vis dépourvue de tout ce qui comporte une vie confortable et bourgeoise, hélas !
Mes biens ne se composent que des toiles, matériel de peinture et une bibliothèque, et des boites de dossiers juridiques de mes anciens jugements, voudriez vous que je les jette à la Seine pour revivre dans le minimum de 16 m2 destinés à dormir, regarder le poste de T.V. en attendant la mort ?
Non mesdames, je vis en France depuis 1980 et je ne changerai pas ma vie d’artiste peintre, ma ville d’adoption est Paris, ma mission picturale commença à Paris, et je ne changerai ma voie à présent qui me reste que si peu d’années à vivre.
Donc ma décision est faite, je ne revivrai plus jamais l’exiguïté abominable de ce que vous appelez un « studio » et qu’en réalité n’est qu’une chambrette destinée à une jeune fille à peine sortie du Bac qui commence à faire ses études, et qui n’a pas de passé.
Bref, cette situation ahurissante qui devrait décrire leur folie des gérants « sans qualité » ne mérite pas plus de commentaire.
Je vais vous donner une nouvelle information:
Un jeune locataire tétraplégique vit dans une HLM où, encore une fois, le bailleur ne répare pas l’ascenseur.
Il a décidé de descendre les escaliers sur les fesses !
Je le comprends, je sais ce que l’enfermement veut dire.
Je suis claustrophobe et ma souffrance dans un espace réduit est insurmontable.
Cette jeune femme risque sa vie en faisant cette épreuve journalière totalement contraire à son handicap.
Je forme des voeux pour que la loi proposé par Philippe, BRUN soit votée de toute urgence et que tous mes compatriotes handicapés quelqu’il soit le genre et niveau de leur handicap finissent avec leurs souffrances.
Moi, je monte et descends tous les jours 84 marches d’escaliers marche par marche, avec des douleurs lancinantes aux genoux, depuis janvier 2024 j’ai dû acheter un déambulateur qui m’a couté 250 euros et par deux fois, car le chauffeur de bus me l’a écrasé.
Ils se refusent à me placer la rampe.
C’est une exclusivité de Poissy !
Mon déambulateur avec sac de courses qui pèse 8 kilos, rajoute le risque de fracture s’accroît, parce que quand je fais mes courses, je suis obligée à faire cette folie de monstre et descente des escaliers par deux fois, car le déambulateur n’est pas destiné à se déplacer par les escaliers avec le poids des courses mais uniquement en terrain plat, alors je monte le déambuler étage par étage et je redescend encore une fois marche par marche l’étage pour monter le sac de courses.
Le dernier diagnostic du traumatologue m’a alerté que si je continue cet exercice de montée et descente des escaliers, je risque une fracture spontanée et une dislocation des genoux.
Cette situation exige une sortie de cet immeuble et un retour à Paris avec un caractère d’urgence absolue.
Le Service des HLM de Paris est en leur possession 5 certificats médicaux, le rapport de l’Ergothérapeute D.E. de l’année dernière, que je honoré moi-même, mers lettres recommandées et mil appels au secours.
Ils restent sourds-muets, j’espère que mon livre réveillera leur endormissement volontaire !
J’ai pensé moi aussi descendre les escaliers sur les fesses, mais mon médecin me l’a déconseillé avec fermeté:
« si’l ya a un danger grave ou un incendie, cela pourrait s’excuser, pour une seule et unique fois, mais si vous croyez que vous pouvez faire l’expérience tous les jours, vous finirez accidentée à l’hôpital, et probablement au cimetière. »
Mon handicap s’aggrave au jour le jour uniquement par cause des escaliers. Et ma vie est en péril avec tous les préjudices pratiques et financiers que l’éloignement de Paris m’impose depuis quatre années déjà.
Il faut être perverse, sadique et jalouse au point illimité pour me laisser en souffrance sans m’accorder la mutation vers Paris.
Toute ma vie de jeune femme, j’ai été victime des méfaits des femmes, de leur sadisme et de leur jalousie gratuite.
La jalousie des misérables femmes, leur détestation était compressible, ce phénomène de harcèlement des femmes contre ses congénères est connu, mais j’ai pensé à tort, qu’une fois devenue la vielle femme que je suis, leur jalousie prendrait fin.
Ça ne leur suffit pas que de me voir appauvrie et sans pouvoir les échapper. Non, leur incommensurable sadisme a trouvé chez moi, une voie de échappatoire à leur nature décomposée et en état de putréfaction mentale, seulement comparable à celle des porcs qui se délectent en goguette dans leur porcherie.
C’est ça VILOGIA et ses actions meurtrières à mon encontre.
Et, il l’est pareillement l’inertie et le manque de réactivité des gérants des HLM Parisiens !
Je forme des voeux pour qu’à la l’arrivée de mon livre – cadeau, leur paralysie mentale et leur manque de réactivité juridique auront un réveil et sortie de leur état comateux.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
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