LES TRICOTEUSES
LES GRAFFITIS
ET LES RESSENTIS SOCIAUX
DEUXIÈME PARTIE
LES TRICOTEUSES
DÉGUISÉES EN « BAILLEUR SOCIAL »
Une dame de l’administration m’a posé la question qui me pose quiconque prend connaissance de la persécution des « femmes -gérantes » du bailleur social VILOGIA.
« Mais pourquoi tant de haine? Pourquoi s’achernent-elles contre vous? »
UN BREF LIMINAIRE POUR LA BONNE COMPRÉHENSION DE CE RÉCIT, MON IDENTITÉ.
« AVANT » et, je maintiens à moitié ma réponse de jadis: « je ne suis ni psychiatre ni criminologue, ce sont deux champs que j’ignore et qui ne sont pas de ma compétence ».
Certes, de mon plus jeune âge, j’ai été formée uniquement dans deux champs de la connaissance, la peinture et la littérature.
Selon d’aucuns, les deux sont totalement inutiles pour gagner sa vie, (au regard de la masse ignorante de petits professeurs qui pullulent au sein de l’E.N., et les petits peintres barbouilleurs qui vendent, la question offre des variations), la peinture depuis que les maîtres tels qu’André Lhote sont disparus, et qu’un marchand cultivé, généreux et visionnaire comme l’état Daniel -Henry Kahnweiler est disparu, la gloire de la peinture française est disparue à tout jamais. Aucun maître, aucune théorie que le barbouillage et la pratique obscène de la vraie peinture font qu’un véritable peintre formé sérieusement ne peut que vivre l’invisibilité, le mépris et la misère.
La littérature? Développée comme « un gagne pain » dans l’enseignement, en France est une indécence, par un acte volontaire se mutiler à vie, devenir un paria, et programmer une vie misérable, insérée dans le pire des systèmes pour envisager une vie indépendante; devenir professeur de secondaire en France est acquiescer dans sa propre destruction et vivre comme le disait Horckeimer « une bête à somme » parce que exerçant une profession méprisée et attachée à l’État, n’étant pas le professorat une profession libérale, elle gagne d’avance son statut « d’esclavagisme moderne » et dépendante des décisions d’État, je me réjouis que les jeunes qui aiment les domaines de la connaissance humaniste aient déserté l’Éducation Nationale, ils ont compris que leur vie financière serait brisée à tout jamais dans l’échelle la plus basse de la société; le respect en France se gagne uniquement par la puissance de l’argent et non par nos acquis de performance intellectuelle.
Les postes à pourvoir au sein de l’E.N. restent vides et le resteront quand bien même ils se décideront un jour à faire une misérable augmentation de quelques euros.
C’est la méthode de l’esclavage moderne, ils les tiennent comme une couche professionnelle rabaissée et servile à l’État, les jeunes étudiants sortis avec une simple Licence de la facult, sans études de pédagogie, ils savent à présent choisir et se diriger munis de leur capital intellectuel, vers d’autres champs pour travailler, et le plus éloignés possibles du terrain mafieux et dangereux qui est devenu l’Éducation de l’Ignorance Nationale.
Non, nous ne sommes pas dans les pays Nordiques qui paient un salaire de 5000€ à un professeur qui avant de commencer sa trajectoire professionnelle, il doit se former pendant cinq années en faculté, tel que le fait depuis toujours le pays du tiers monde où je suis née.
Laissons, à la fin de ma vie, j’ai compris qu’il y a une série des sujets qu’il faut laisser dans le néant, parce que même si un jour il y a un changement politique, les nouvelles générations ne pourront plus jamais redresser ni l’ignorance institutionnalisée, ni les bas salaires, et ne reviendra plus jamais l’époque où c’étaient les maîtres, les théories et une pratique de l’art pictural sérieux, et une pratique de la littérature sérieuse, ceux qui redonneraient le rayonnement de la France en matière artistique.
Ils découvrirent que devenir peintre est si facile, il suffit d’avoir beaucoup d’argent pour acheter le matériel qui est des plus chers, barbouiller des toiles intuitivement et surtout, se faire soutenir par des parents fortunés ou bien, une autre solution très rentable est celle de faire intervenir le statut de « mariées » pour qui soient les maris qui financent leur art, il intervient aussi le fait de devenir riches par la voie d’une succession.
En 1981, la collaboratrice de l’Académicien René Hugues m’a donné un belle « Leçon Française » je ne l’oubliera jamais et je le lui remercierai toujours sa clairvoyance, de ceci il y a déjà plus de quarante années, c’est fut la leçon de ma vie en France , nous étions au restaurant, nous parlâmes d’art et de mes difficultés pour peindre, j’étais venue en France en « mission artistique » comme me l’avait dit Monsieur René Huygue et sa collaboratrice m’aidait du mieux qu’elle le pouvait, à l’époque elle était mon mécène elle me disait toujours, « je vais contribuer ! Je passerai à l’histoire » c’est lors de ces conversations qu’elle m’a dit :
« Florence, ici en France, les seules qui peuvent pratiquer la peinture en paix, sans soucis, ce sont les femmes mariées ou celles qui ont reçu un héritage »
Un femme seule comme moi je l’étais depuis mes vingt-cinq ans quand j’ai perdu mon père, en gagnant ma vie avec un salaire de misère et de surcroît victime d’une injustice administrative de la mafia du département d’espagnol du rectorat, avec une Maman à charge, je ne pouvais que signer mon arrêt de mort pour finir mon parcours vers une vie de retraitée misérable.
Mais, quand la vocation d’artiste-peintre est ancrée dans nos gênes, et qu’une passion est si forte comme elle l’est chez moi depuis mes seize ans quand mon père commença à m’enseigner et à me révéler les merveilleuses théories sorties des « Invariants plastiques » d’André Lhote, je ne pouvais pas démissionner de la peinture et étouffer cette passion qui restera vivante jusqu’à ma mort, tout comme la littérature, c’est ainsi que je suis liée, attachée à vie entre la peinture et la littérature sans que je puisse donner une préférence ni classement de valeur entre les deux, les deux me ravissent et maintiennent leur flamme allumée dans mon esprit et, ma pratique sera inébranlable jusqu’à ma mort et, rien ni personne ne pourra les diminuer ni n’éteindre ma volonté de continuer à peindre et à écrire.
LE CRIME DE VILOGIA
Elles connurent mon curriculum et ma trajectoire, tout locataire est connu et son dossier et parcours professionnel est inscrit à tout jamais sur les dossiers administratifs, jamais dans le détail bien entendu, mais celle que j’ai été, celle que je suis, n’est pas ignoré.
Les mafieuses gérantes d’ici et de là bas resteront soumises à ramper comme les serpents et à distiller leur venin, mais sans que jamais leur venin ne puisse jamais m’atteindre, jamais; elles pourront poursuivre leur persécution jusqu’où leur permettra leur position des protégées de l’État, je ne réagirai jamais comme la pègre qu’elles protègent, car je ne suis pas des leurs et je n’entamerai plus jamais aucun procès en France.
Si j’ai dû écrire des lettres aux « autorités compétentes » pour dénoncer la discrimination du bailleur VILOGIA et les préjudices qu’elles me provoquent avec l’intention de me tuer, ceci je l’ai fait forcée par les administrations devant lesquelles je suis débitrice et responsable, l’une d’entre elle est celle qui paie une partie de mon loyer, l’APL est envoyée directement sur le compte de VILOGIA ! et, je leur doit la vérité de ma situation à ces gérantes, du contraire je n’aurais rien écrit.
Je laisse faire et ma pratique est le silence devant toutes leurs provocations.
J’ai compris depuis 2013 quand LE SICAIRE a torturé et assassiné Maman lui refusant les soins et que la « justice » française est restée inerte, j’ai compris que tout procès en France est voué à l’échec.
Si j’eus une exception unique, et que j’i gagné mon procès contre une hyène crapuleuse, c’est fut par une situation heureuse du destin, j’eus une avocate d’excellence, mais une hyrondelle ne fait pas le printemps.
Il y a une exception, les victimes doivent avoir des moyens financiers de taille pour faire appel aux meilleurs avocats. À la fin de ma vie, sans argent, je n’ai ni le temps ni ne peux dépenser mon temps et mon énergie à me battre contre des individus qui ont l’aval de l’État, aucune de ces gérantes n’oserai me persécuter de la sorte si elles n’étaient pas sures que l’État les défendra toujours, l’aval du gouvernement leur est assuré et nécessaire pour attaquer en toute impunité.
Il serait un miracle que les dénonciations officielles que j’ai faites soient entendues et que les autorités arrivent au secours de la victime que je suis, et non en se laissant influencer par les criminelles.
VILOGIA n’oserait jamais attaquer les locataires qui sont des leurs.
Chaque fois q’un locataire dénonce un dégât dans leur appartement, elles envoient ipso facto les ouvriers pour intervenir.
Un nouveau locataire arrive?
Elles s‘empressent de rendre et mettre dans l’état l’appartement !
Je vois accumulés à l’extérieur des immeubles des cuvettes WC, d’éviers, des décombres sortis de la rénovation des intérieurs, etc.
C’est seulement cette HLM, la seule qui me fut donnée dans la dangerosité et l’immondice la plus absolue.
Pourquoi?
Et je reviens à l’introduction de cette deuxième partie de mon article.
Parce que elles connaissaient ma trajectoire professionnelle et de vie, ils m’ont dit ceci: « Nous n’avons jamais eu ni un prof ni un artiste peintre dans cette « CITÉ – BEAUREGARD ».
Alors, il fallait me détruire.
Tels que les ressentis sociaux salissent des murs impeccables et des portes à peine peintes, ce personnel dépourvu de « savoir- faire et de -savoir-vivre » n’a comme unique intention maladive que celle de m’annihiler. Quels sont les moyens dont dispose un « bailleur social » pour anéantir un locataire sans faute ? , elles ne peuvent pas m’accuser de ne pas payer mon loyer, elles ne peuvent pas m’accuser d’aucun délit ni d’aucune nuisance, donc elles font appel à leur abus de pouvoir !
Leurs moyens de me nuire se divisent en deux éléments :
- La pression financière, elles jouent avec le « loyer YO-YO »
- La rédaction et usage des faux, elles inventent des fausses factures de dépassement des charges que chez moi sont fausses et inexcusables.
J’ai fait les vidéos, il est impossible de m’imputer un dépassement d’eau froide, je ne me sers pas de la baignoire, mes genoux me le l’interdisent et, je n’ai pas de lave-linge, deux éléments qui dévorent de l’eau froide.
Le dépassement de chauffage est aussi un mensonge et une fraude de me l’imputer, c’est depuis mon arrivée que je n’avais pas de chauffage dans ma chambre à coucher et le radiateur du salon et de la salle d’eau n’ont jamais eu de « désembuage » et ils ne chauffent que la partie haute.
Après 4 ans sans les clés plastiques de régulation de chauffage qui furent volées par l’ancien locataire, en juin 2024, Vilogia a envoyé enfin, un ouvrier qui a sorti la « tige » de radiateur, a placé un clé plastique et le radiateur de la chambre a commencé pour la première fois en 4 ans à fonctionner très faiblement.
Pourquoi? Parce qu’il est sale, tout comme les deux autres, et l’intervenant m’a dit tout comme le chauffagiste : « j’ ai mis les clés de régulation, mais nous ne ferons pas le désembuage, car il faudrait envoyer deux intervenants et utiliser une machine ». Les radiateurs restent en fonctionnement défectueux. C’est leur affaire.
L’autre moyen de me détruire est très simple pour elles de l’appliquer: L’INERTIE, ne pas réparer les dégâts des artefacts qui sont chargés dans un logement de donner l’hygiène et la propreté. Le refus de VILOGIA a changer le tuyau du chauffe-eau, a deux intentions criminelles des plus claires et ostentatoires, elles sont deux éléments incontestables de l’intentionnalité criminelle du « bailleur social »
Laissant le tuyau de sortie du gaz vers le chauffe-eau en état de dangerosité accrue, parce qu‘il n’ pas de fonctionnalité dans les normes, il restera « hors service » et, sachant pertinemment que la fuite de « particules fines » entrainera incontestablement un préjudice notable à ma santé, le but de me rendre malade et de me tuer est clair et incontestable.D’une part, les « particules fines »m’ont irrité les poumons et ensuite les bronches, ces particules fines ne sont pas détectables par le détecteur de gaz ce qui m’a obligé à demander au GRDF de couper le gaz pour éviter l’aggravation des préjudices sur ma santé.
Le second préjudice ne mérite pas trop d’explications, le fait de priver à la dame que je suis de son droit à l’eau chaude et à prendre ses douches journalières, elles savent que je serai démunie de mon droit les plus élémentaire depuis mon statut de LOCATAIRE SANS FAUTE, alors elles m’obligeront à prendre des mesures extraordinaires pour palier au manque d’eau chaude.
Me priver d’eau chaude sera une manière des plus efficaces et spectaculaires de me rabaisser, j’imagine leurs rires des bas-fonds dans leurs bureaux de Montigny les Cormeilles, j’imagine leur réjouissance des misérables dans leurs longues heures de pause, en causant comme des « petites commères » égales à ces « tricoteuses » minables de la Place de la Concorde; au lieu des tricots, elles se servent de leurs ordinateurs, de leurs smartphones et de leur mauvaise langue maudite faite des calomnies à mon encontre; je ressens la nausée à observer la véracité de ma comparaison et de leur exploit et du succès d’avoir laissé « LA GAZMURI » privée d’eau chaude.
Elles se savent gagnantes d’avance, parce que pour agir impunément de la sorte, leurs appuis doivent être des plus forts, je sais de leur pouvoir pour laisser « sous influence » ses pairs, du contraire aucun assassin ne tue impunément. C’est notre nouvelle société administrative de laquelle une personne sans argent ne peut pas s’en défaire, ici en France, les victimes de l’administration ne pourront jamais obtenir gain de cause, parce que tous les abus sont fait avec l’aval de l’État qui laisse las mafias agir en toute impunité.
L’État a choisi d’aider une province étrangère en « guerre » au lieu de s’occuper d’aider les français et d’éradiquer cette nouvelle mafia qui est devenue une strate sociétale protégée. Elle est la plus abusive au sein de la France et de l’administration : « les bailleurs sociaux ».
Pour ma part, je subis, je patiente, j’ai de l’espoir, je ne peux que vous dire ceci: ces misérables pourront poursuivre sa voie criminelle à mon encontre, jamais elles n’obtiendront ma défaite, jamais elles n’obtiendront que je sombre dans la véritable déchéance, elles attendent que je me suicide, le même but qu’eurent les « inspecteurs d’espagnol » du rectorat, au lieu de pleurer, je ne pleure jamais, ils me firent éclater de rire! Tout comme rirent mes collègues et mes élèves face au ZÉRO , non mesdames, messieurs, je ne suis pas une candidate au suicide !
Les gérantes-criminelles de VILOGIA refusèrent ma mutation vers Paris et m’obligent à monter et descendre 84 marches d’escalier sachant que mon handicap s’aggrave dangereusement et elles se réjouissent de leur discrimination abusive, elle savent que c’est un délit pénal, mais elles le maintiennent parce ce qu’elles cherchent désespérément est que je subisse enfin un accident définitif et irréversible dans les escaliers.
Je ne peux pas me défendre de cet attentat terroriste. Ça c’est vrai.
Elles sont gagnantes, je ne peux pas rester enfermée sans sortir et tous mes médecins restent ahuris face à ce crime, je continue à descendre avec mon lourd déambulateur chaque marche, douloureusement, en descendant une à une chaque marche d’escalier très lentement et de retour, en montant « le Mont-Blanc » très difficilement, ces maudites 84 marches d’escaliers immondes.
Mes docteurs? Ils ne sont pas décideurs et leurs pauvres Certificats médicaux restent lettre morte face à une administration politisée.
Chez moi, à différence d’autres victimes, je suis blindée, je suis devenue invincible, jamais je ne serais capable de porter la main sur moi, ni sur personne, parce que le suicide me dégoute, une personne qui sait de sa valeur et qui a son cerveau en parfait état depuis sa naissance, ne tombera jamais dans la déraison.
En revanche…
Je tue par la parole, je tue le mensonge, la médisance des commères, et je tue les attaques criminelles qu’elles pratiquent en lâches qu’elles sont toutes, lâches et criminelles toutes, de la plus haute gérante de l’échelle administrative de VILOGIA, jusqu’aux plus minables de leurs pions à leur service qu’elles envoient se moquer de moi, je reste débout, par le pouvoir de la parole de vérité, rien ne pourra m’atteindre, après l’assassinat de Maman, rien ne peut plus m’atteindre, rien ni personne.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
NADEZHDA
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