LA LOCATAIRE D’UNE HLM À POISSY SE TROUVE SANS EAU CHAUDE POUR LA DISCRIMINATION ABUSIVE ET HARCELEMENT SOUTENU DU BAILLEUR
RÉSUMÉ ET SYNOPSIS
La locataire, arrive de Paris, sa ville d’attache où elle a toujours vécu, son dernier logement dans le 13ᵉ arrondissement était une chambre HLM de 16m2, obtenue après le décès de sa Maman en 2023, morte par refus de soins d’urgence, sa maman fut tuée par Le Sicaire.
Cette chambre HLM était parfaite de propreté, elle n’avait jamais eu de problèmes avec le bailleur social, l’intérieur impeccable, le jour de son arrivée, les lieux venaient d’être repeints et les sanitaires n’avaient aucune imperfection, le voisinage était gentil et paisible, l’immeuble était moderne, un tout petit immeuble de six étages avec ascenseur, elle habitait le premier étage, son immeuble se trouvait tout proche du commissariat, derrière la Place d’Italie, mais elle ne pouvait même pas circuler dedans, le Préfet de Paris dans le cadre DALO, avait décidé qu’une personne vieille, appauvrie est bonne à mourir et une retraitée selon son haut critère de haut fonctionnaire pensait que « la locataire » qui n’était qu’un numéro de dossier, n’avait besoin pour finir le peu d’années qui lui restaient à vivre que de 16 M2 pour placer un lit, la télé, une table et une chaise. Un mouroir.
La locataire avait sa vie à Paris, mais l’exiguïté de la chambre ne lui permettait pas de survivre dedans. Après huit ans de lutte pour obtenir une mutation, elle décide de faire un deuxième procès DALO et se présente seule devant le juge, le juge ne croyait pas ses yeux à l’entendre plaider sa cause sans avocat. Le juge lui refusa la mutation qui aurait été très facile de Paris à Paris, mais, on lui a dit que les juges n’aiment pas les demanderesses qui se présentent seules, sans avocat.
Trompée par une gérante, accepte une mutation qui lui permettrait de reprendre son travail pictural, mais cette HLM de Poissy s’est avérée un piège macabre, le jour de son arrivée en avril 2021 l’appartement était rempli de crasse, immondices, inhabitable et dangereux, l’expert du GRDF coupe le gaz, et quinze jours après le bailleur SOCIAL décide de rafistoler le chauffe-eau, qui n’a jamais été changé, il fuit de particules fines qui produisent des préjudices sur la santé de la locataire démontré par des examens, alors, en dépit de demander le changement du tuyau entre 2021 et 2025, le bailleur social ment, trompe, calomnie, ordonne des pièges, organise des complots des bas-fond, pour dilater à l’infini l’improbable intervention qui devrait mettre un terme à un dégât qualifié d’indécent et dangereux et impropre à la vie d’une personne dans un appartement social.
Vilogia se refuse à intervenir.
Le 20 juillet 2024 arrive un expert du GRDF son propre chef chez la locataire pour faire une inspection, et lui envoie par courrier un RAPPORT TECHNIQUE qui met en évidence la dangerosité du tuyau de conduite de gaz, le niveau de dangerosité est au niveau 2, le niveau 3 signale une explosion imminente.
Le bailleur social reste inactif jusqu’à septembre 2024.
Elles ne font que dilater l’intervention, l’attente pour une réparation définitive a durée cinq ans, VILOGIA emploie des nombreuses tactiques très raffinées pour tromper la locataire, lui apporter préjudice et rendre sa vie quotidienne insalubre et inconfortable.
Ses méthodes sont très sophistiquées, les gérantes envoient la « gardienne » qui lors de « sa visite de courtoisie » prend les photos du tuyau du chauffe-eau et de tous les dégâts qui persistent depuis 2021.
La locataire continue à subir les préjudices de la fuite des particules fines du tuyau.
En février 2025, encore une nouveauté, le Service partenaire de VILOGIA l’appelle par téléphone pour lui annoncer « qu’enfin, ils allaient changer le tuyau », mais « les conseillères » lui demandent de leur envoyer des photos par mail. La locataire s’empresse et quatre mails sont envoyés par ses soins, mais le service ne répond jamais par écrit pour ne pas « laisser des traces » tout est bien organisé.
Au lieu de lui répondre, elles continuent les appels comme seul mode de dialogue, jusqu’à qu’enfin, elles lui donnent la date de passage du chauffagiste, non sans lui exiger de vider la cuisine et de leur laisser la place de libre pour qu’il puisse travailler ; la durée de l’intervention était prévue d’environ une heure.
Le jour de la visite, la locataire lui ouvre la porte et le regarde arriver sans aucun outil de travail dont l’escabeau et sa valise d’outils sont de mise.
Il arrive agressif et disposé à la bagarre, mais il trouve une locataire impassible.
Elle se dit dans son for intérieur : « ce type cherche la bagarre, me provoquer, il va partir bredouille »
Le chauffagiste n’avait qu’une tablette à la main et fait des photos, et lui dit d’un ton de voix délibérément déformée : « qu’est-ce est-ce qui se passe ici?! Moi, je viens DIALOGUER »
Monsieur, vous n’avez pas reçu les ordres de votre chef pour intervenir ?
Je crois que vous deviez venir travailler, on m’a dit de vous laisser la place de libre, vous voyez ? J’ai tout sorti de la cuisine vers le salon.
Vous pouvez commencer. Vos collègues m’ont donné l’ordre de vous libérer la cuisine pour que vous travailliez librement.
Alors il insiste furieux : je viens DIALOGUER
Monsieur je ne sais plus DIALOGUER.
Je vous le redis, je vous ai laissé la place de libre pour le changement de tuyau.
Ah non ! Je ne vais pas vous changer le tuyau, parce que NOUS, nous n’avons pas ce tuyau.
Il lui présente la tablette et lui dit :
« Signez-moi ici ! »
La locataire fait un C, comme unique signature, et le chauffagiste, furieux de n’avoir pas pu obtenir aucune réaction d’impolitesse, quitte les lieux en criant en descendant les escaliers.
Celle-là est hallucinante, hallucinante ».
La locataire éclate de rire, devant tant de bêtise accumulée par les gérantes de VILOGIA.
Le lendemain, la locataire se voit obligée à téléphoner son fournisseur de gaz et lui explique qu’en dépit d’être très satisfaite de leurs services et des tarifs, elle ne pourra plus continuer à se servir du gaz pour l’eau chaude par cause de la dangerosité du tuyau. Elle leur adresse les photos et le rapport de GRDF, trois jours après l’expert de GRDF se présente chez la locataire pour couper le gaz.
La locataire se trouve sans eau chaude depuis le 15 mars.
Elle a dénoncé par voie administrative cette situation à toutes les autorités « compétentes ».
En citoyenne responsable et depuis sa situation de locataire sans faute, elle a été obligée à faire savoir aux autorités des graves injustices et discriminations qu’elle subit depuis 2021 de la part de ce bailleur social.
Elle a fait une dénonciation distincte sur la nécessite d’être mutée à Paris, vers un immeuble adapté à son handicap, les médecins indiquent que sa mutation présente un caractère d’urgence absolue par des raisons d’aggravation de son handicap d’un immeuble sans ascenseur et l ‘éloignement de Paris.
La locataire attend paisiblement.
Obtiendra-t-elle gain de cause à ses demandes pour que la réparation de ces dégâts dangereux soit faite ?
La locataire restera-t-elle sans écoute et sans que justice soit faite par les « services compétents ? »
« Resteront-ils ad vitam æternam « sous influence » d’un bailleur criminel ?»
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