CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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HOMMAGE AU PEINTRE HERNÁN GAZMURI-DIAZ

18 novembre, 2024 (13:38) | Non classé

                                       HOMMAGE

 

                                        AU PEINTRE HERNÁN GAZMURI

 

 

 

 

 

Le 20 novembre 1979 décéda le peintre Hernán Gazmuri-Diaz à Santiago du Chili.
Peintre d’esthétique uniquement Française, il appartient officiellement à l’École de Paris et à présent, il est de la connaissance de tous qu’il fut le meilleur disciple du peintre André LHOTE, lors de son séjour dans L’Atelier Libre de Lhote à Paris en 1928.

Depuis que sa veuve Clara Cherniak-Gazmuri a rendu des Services Éminents à la France avec la « Donation Gazmuri », sous les hauts conseils de l’Académicien Monsieur René Huyghe, Hernán Gazmuri fut accueilli dans les Collections Permanentes du Musée d’art Moderne de la ville de Paris.

 

LA DONATION GAZMURI AU MUSÉE D’ART MODERNE

DE LA VILLE DE PARIS

Hernan Gazmuri est entré en 1983 dans le Patrimoine de la France.
Je ne crois pas à la formule inscrite dans l’imaginaire collectif qui dit « qu’on fait son deuil ; ».
Je ne ferai jamais mon deuil de la mort de mon père et de l’assassinat à Paris de Maman. Jamais.
« Faire son deuil » est pour moi une grandiose banalité offensante vis-vis de nos morts.
Le 20 novembre prochain, je serai très occupée, je n’aurai pas accès aux outils pour écrire, raison pour laquelle je poste cet article en Hommage à la mémoire du peintre Hernán Gazmuri qui fut mon maître en peinture.
La meilleure façon de lui rendre hommage est de publier un article qu’il publia dans le Journal chilien Las Últimas noticias, que j’ai traduit pour la publication de mon livre que j’ai publié en 2006 et que je vais rééditer en version corrigée et augmentée en janvier 2025.
Cet article qui publia Hernán Gazmuri en date du 12 avril 1973 dit long sur la persécution infâme qu’il a dû subir sa vie durant au Chili.
Les raisons du sadisme n’ont été motivées que par les complexes d’infériorité et par la jalousie des mafias de l’officialité chilienne.
Le critique d’Art Victor Carvacho l’avait clairement dénoncé dans ses articles de presse ; je place ici une petite photo.
Qu’ils ne viennent hypocritement se réclamer ni de souvenirs ni de commentaires, je leur réclame la décence de rester en retrait, en silence et de pratiquer l’arrêt définitif de leurs mensonges post-mortem.
Mon livre est le seul document sur sa vie et son œuvre que les véritables chercheurs auront comme document de première main pour s’informer de la vérité.
Je suis la seule disciple que le peintre Hernán Gazmuri a laissé, je poursuis dans mon travail pictural les théories éternelles que Lhote a transmis à Gazmuri, je les ai faites miennes depuis mes seize ans, et je poursuis mon travail en total solitude et indépendance. Tout comme mon père a développé son art d’après l’enseignement qu’il a eu dans sa jeunesse à Paris, je l’ai reçu de première main du peintre Hernán Gazmuri, ce qui m’a fait devenir la seule héritière encore en vie de l’École de Paris.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

Bourse Tortueuse

 

 

Le critique de Victor CARVACHO dénonce dans un articile de presse les raisons de la persécution infamante de l’officialité chilienne contre le peintre Hernn Gazmuri

P.S. le 20 prochain, le site www.hernan-gazmuri.com
Où j’ai ma propre galerie virtuelle, présentera mes derniers travaux récents.
Je vous invite à faire une visite programmée pour l’anniversaire de sa mort.

 

 

 

 

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