CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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FÉMINISME PARADOXAL

24 mars, 2025 (20:10) | Non classé

 

 

FÉMINISME PARADOXAL

 

 

Chers Lecteurs,

Je ne suis pas féministe, je ne l’ai jamais été. Je ne le serai jamais.

En revanche, je suis une partisane sans faille de THÉMIS.

Mon attachement à la loi est complet.

Cette affirmation explique tout et je crois que le dire évite toute ambiguïté sur ce sujet. Il n’y a pas besoin de faire l’historique de la naissance du féminisme, de son histoire, de ses revendications et épargnons-nous de faire l’étalage des événements que les médias nous obligent à recevoir.

J’irai aux faits sans préambules.

Le procès contre l’acteur Gérard Depardieu m’effraie. La seule rengaine qui reste des féministes et leur cri qui perdure depuis la naissance de leur mouvement, c’est leur égalité avec les hommes.

Donc si elles se disent ÉGALES aux hommes, il faut suivre leur raisonnement !

Il ne doit pas être admis aucun signe de FAIBLESSE ; car ce qui caractérise un homme est sa force physique et morale. Je pense l’opposé. Je ne suis l’égale de personne, nous naissons différents en tout ordre de choses et depuis notre naissance cette évidence se confirme par des faits mesurables et incontestables.

C’est une vérité qui n’a aucun besoin d’être démontrée. Ce qui est un principe à défendre contre tout obstacle est notre égalité unique devant LA LOI, c’est la seule égalité qui forme partie de ma configuration mentale et nous avons des Codes sur lesquels nous sommes libres de faire appel pour notre défense.

Les subterfuges en matière de loi ne sont pas valides, la justice s’obtient par le moyen des preuves en l’espèce, aucune accusation ne sera acceptée sans preuves, au contraire, les faits dégénèrent en vices de procédure et dans ce vulgaire « parole contre parole ».

Ce qui me paraît scandaleux est que des femmes osent faire un scandale qui dure déjà très longtemps et qu’à les écouter nous sommes obligés à nous former un cadre imaginaire dudit procès, nous ne sommes pas en connaissance du dossier et le tribunal médiatique s’introduit chez nous pour nous forcer à délibérer, nous forger une idée sans preuves et finalement à juger virtuellement et à prendre parti. Je me suis déjà fait « une idée » sur les accusations de ces « faibles féministes » qui accusent monsieur Depardieu d’agressions et de viols !

La plus fabulatrice est celle qui l’accuse de viol et qui veut son incarcération, elle dit l’avoir rendu visite et qu’au cours de cette visite elle fut « violée ». La réponse de monsieur Depardieu est crédible, il ne nie pas les faits, mais nie le viol qui est un acte criminel.

La vérité de ce qui s’est passé chez lui ne fut qu’un acte consenti.

L’élément déterminant de l’accusation de viol qui ne sera pas jugée dans ce procès, c’est sa déclaration qui a fait suite à ce premier fait qui remonte je crois à l’année 2022 , la « victime » a fait un film devant les caméras, bien préparée, à l’aide de son avocat et des journalistes reporters « police-justice » qui violant toute déontologie se sont permis et continuent à le faire, de prendre parti contre l’acteur sans respecter d’une part leur déontologie et d’autre part la continuité du procès en cours et donnent aux spectateurs leurs prises de position, quand la seule chose que nous attendons ce sont des nouvelles en toute neutralité !

La « pauvre victime » déclare lui avoir rendu visite une seconde fois, le lendemain, « pour lui faire face ». Aucune femme violée et agressée, n’est capable d’aller « rendre visite à son violeur » une seconde fois le lendemain du viol !!!

Cet épisode ne mérite pas plus de commentaire et je forme des vœux pour que son avocat mette en exergue précisément cette déclaration de la « victime » qui, nous semble-t-il, agit en parfaite fabulatrice avide de notoriété.

À les entendre devant les caméras, je ne peux pas en douter de l’excellence de sa plaidoirie !

Qu’un homme soit grossier, vulgaire et qui ait des comportements déplacés, mérite-t-il que des féministes orchestrent ce scandale pour le détruire et le faire incarcérer appuyées sur des accusations que ne sont pas des « preuves en l’espèce » et dont la culpabilité première réside dans leur propre comportement osé ?

Il y a dans toute cette affaire des accusations improbables, des faits invérifiables et un procès disproportionné qui n’aurait jamais dû avoir lieu. Des hommes grossiers, maladroits et insolents qui se croient tout permis, il y en aura toujours, mais quand une femme a reçu une éducation ferme de ses parents, dès petite et dans son âge adulte, ne s’exposera jamais aux situations troubles qui peuvent dégénérer. La plupart du temps il suffit d’une gifle, d’une parole et une menace directe, pour que ce monstre soit mis à écart, à ne pas confondre avec les assassins et les vrais violeurs qui pullulent çà et là et que dès nos jours « la justice » les laisse faire, ceci est un véritable sujet, la condescendance de l’État vis-à-vis des vrais violeurs lâches qui pullulent dans les banlieues et à présent dans tous les quartiers sans aucune distinction, et qui s’en prennent aux femmes qui ne font que vivre tranquillement dans la cité.

Ce procès a été monté de toutes pièces, je pense qu’il devrait rester comme un fait à la marge et comme le produit de cette nouvelle génération de féministes virulentes. Je les ai vues et entendues, elles sont effrayantes, leur parler redoutable et leurs attitudes inhumaines parce qu’elles qui se croient tout permis puisqu’elles sont « FEMMES ».

Les « femmes » occupent tous les espaces de la cité, font la guerre et après crient devant la justice contre ces hommes « grossiers et aux comportements déplacés » et elles, en pauvres victimes, crient leur faiblesse et leur incapacité totale pour défendre leur corps.

Elles disent être TRAUMATISÉES !!! Avant de fermer cet article, je poserai ma question : Je veux qu’on m’explique le paradoxe féministe qui proclame que la femme est égale à l’homme.

Donc, au moment où un monsieur devient grossier et trop avenant, pourquoi n’agissez-vous pas, vous, en toute ÉGALITÉ pour vous défendre ?

Je pense que cette question s’impose.

Et vous ? Qu’en pensez-vous ?

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

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