CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

ELLE EST UNE NULLITÉ COMPLÈTE

Chers Lecteurs,

Quand bien même les USA ne sont pas ma tasse de thé, il faut savoir ce qui se décide là-bas. Leurs influences et leur ingérence sont incontestables, c’est pourquoi il a été fort intéressant d’avoir pris connaissance de ce débat.

Nous prenons comme principe que la politique est basée sur le mensonge bien construit, cette méthode est manifeste lors des campagnes électorales, où chaque candidat se construit une panoplie de projets faits programme qu’une fois élus restent dans la carpette, tandis que le peuple est pour la énième fois déçu.

Nous n’avons pas dire si sûrs de nous ce qui convient le mieux pour ce pays, à différence des quatre éditorialistes de LCU, non-pardon, je me trompe, LCI, qui déployèrent une défense de la prétendante à la présidence des États- Unis sans la moindre réserve, ils la croient déjà gagnante.

L’adversaire de cette candidate lui a fait assumer l’état catastrophique de l’économie du pays, avec les preuves qui ont provoqué sa chute, en ouvrant les portes grand ouvertes au commerce chinois au détriment des industries américaines, ceci à titre d’un seul exemple.

Elle a déroulé son papyrus pour son peuple, elle pense les convaincre avec l’ouverture de frontières, une Sécurité sociale adaptée une considération des vieux au sein de la société, et concernant l’économie, oh combien importante ! elle pense corriger l’inflation par le moyen (nous les connaissons ici en France), la répartition de chèques-cadeaux pour les couples qui reçoivent leur premier enfant, cela est si attendrissant, quel américain ne pourrait devenir sensible jusqu’aux larmes si l’on lui promet de protéger leurs enfants !

Elle promet aussi des chèques-cadeau considérables pour « les jeunes » qui veulent s’installer avec une petite entreprise, car les États-Unis sont une nation d’avenir, de gloire, elle leur donnera tout l’amour présidentiel dont ils en ont tant besoin.

Elle ne sera ni raciste, ni sectaire, (comment pourrait-elle l’être, elle n’avait aucun besoin d’insister) et elle s’est vantée d’avoir été d’une justice sans faille quand elle occupait son poste de procureur.

Les guerres que les États-Unis financent ?

Leur ingérence que nous, qui sommes nées dans un pays du tiers monde qui a connu leurs agissements, meurtriers, leur ingérence grâce aux dollars, nous ne sommes pas dupes, qui le soient, ceux qui veulent cacher leurs vices et turpitudes, notre passé est rempli des preuves en l’espèce.

Laissons…

Ce qui a été décisif, ce sont les dernières phrases de son adversaire, et je ferme mon article, cette brève participation avec ce qu’il a dit, c’est le plus décisif et le plus important, c’est ce qu’il a dit à la fin, en mode de clôture.

« Et, pourquoi tout ce que vous faites comme promesses aux Américains, vous ne l’avez pas fait tout au long des années où vous avez été aux commandes ? »

Aucun besoin d’ajouter une réponse, la question restera comme augure d’une femme perdante, et faisant preuve d’une nullité complète dans le débat qui n’en était pas un, car rempli des promesses exposées de manière ostentatoire et ridicule ; la politique des promesses est une mise en scène des plus misérables de politiques ; qui se dérobent de leur responsabilité première qui n’est autre que l’action, et non les promesses, la mise en actes efficace et rapide des mesures pour le bien commun, ce que les pantins de la politique ne font jamais pendant toute leur période présidentielle où le peuple leur a donné leur confiance et notre analyse reste valable pour tous les gouvernements de par le monde. C’est notre commentaire de ce que nous avons écouté et vécu.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak