DROIT DES FEMMES ?
DROIT DES FEMMES ?
Mesdames,
J’ignore d’où sortez-vous ces slogans que vous osez crier de partout en France en réclamant plus de droits, vos droits citoyens en tant que femmes, sont-ils bafoués par ces vilains hommes ?
Il est encore plus grotesque le fait de vous entendre crier justement maintenant « qu’il faut défendre les femmes de la puissance patriarcale et capitaliste ! »
Vous mettez le vice du capitalisme et du patriarcat dans vos luttes de manière forcée et arbitraire.
Le patriarcat n’existe que dans certains pays dictatoriaux aux régimes d’ordre théocratique, mais pas en Europe, laissez à la marge les féminicides, au regard des statistiques, ils se produisent chez des couples mixtes ou « les hommes » ne sont pas d’origine européenne, oui la faute aux femmes que devraient exercer l’estime de soi et la sauvegarde des principes pour l’heure inexistants, si elles sont si intelligentes comme elles disent l’être, elles devraient commencer pour employer l’intelligence pour savoir choisir avant de former un couple avec des spécimens non méritoires, donc je trouve que les mobilisations de notre époque sont erronées et je suis convaincue qu’il vous serait nécessaire de réfléchir sérieusement où se trouvent les vices sociétaux actuels, ceux qu’une fois visés, ils devraient par logique vous faire changer la direction de vos luttes politiques.
Les femmes ont acquis un pouvoir absolu.
Les administrations sont dirigées uniquement par des femmes.
Le caractère des femmes en général et en particulier s’est développé, intégrant à leur genre des composantes manifestes d’une virilité crue et sauvage.
Elles ne sont plus de femmes, un nouveau genre est né.
Un genre sans sexe, il faut les nommer autrement pour ne pas entamer le véritable genre féminin auquel je suis si heureuse d’appartenir en reproduisant et prolongeant l’héritage de ma mère.
Ce nouveau genre est formé des spécimens remplis de vices cachés, mal dissimulés tels que la haine, le sadisme, les mesquineries qui forment une palette remplie de corruptions multiformes.
Les femmes qui ont conquis le pouvoir dans le monde du travail, l’exercent de manière brutale, abusive, et discriminatoire, et les méfaits de leurs délits sont dirigés exclusivement contre d’autres femmes ; c’est ici qui doit se centrer l’étude sociologique actuel.
Je n’oublie pas une émission dans laquelle Madame Badinter fut interrogée, elle a dit une phrase que je n’oublie point : « les femmes ne sont pas de chérubins ».
Certes, on leur a donné le pouvoir pour qu’elles se métamorphosent en éléments mortifères, en développant des aptitudes insoupçonnées pour commettre de délits contre ses propres congénères dans les lieux de travail où l’exercice du pouvoir s’exerce sans limites et pour l’heure sans aucun contrôle.
Je pourrais donner des exemples, ils sont nombreux.
Par conséquent, les vices que vous ne cessez de ressortir pour vos manifs sont obsolètes, ni capitalisme ni patriarcat, il y a une nouvelle masse féminine qui s’est surpassée de manière négative dans l’exercice du pouvoir, et qui n’a pas su l’assumer dans le monde du travail.
Elles auraient dû construire une société équilibrée et juste, précisément en partageant intelligemment avec les hommes leurs différences pour s’unir harmonieusement, formant une société duale en enrichissante.
Elles ont raté l’émancipation produisant une transformation génétique chez les hommes qui ne le sont plus, ceux qui travaillent à leur service et qui se situent en vassaux serviles et en obéissance totale à leurs cheffes de service ne sont pas des hommes, mais des pusillanimes efféminés sans valeur.
Cette mutation génétique est, ici en France, tragiquement irréversible.
Quand il y aura une manifestation contre les femmes qui abusent de leur pouvoir de manière délictuelle et mortifère, je prendrai la première place dans la manif, pour former bloc avec des femmes désabusées qui ne veulent que travailler en paix et gagner leurs vies entourées de justice, justice qu’elles se sont vues usurper précisément et paradoxalement par ces mal nommées féministes de pacotille.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
NADEZHDA
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