CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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DEUX SCANDALES D’ÉTAT

6 septembre, 2024 (10:45) | Non classé

 

 

 

 

DEUX SCANDALES D’ÉTAT

« […]L’État est toujours incompétent en matière d’art »

Daniel-Henry KAHNWEILER

La pratique d’activités, notamment culturelles, est bénéfique pour les fonctions cognitives et la mémoire. C’est pourquoi le 19 septembre 2024, de 10h à 11h30, l’Agirc-Arrco vous invite à suivre une conférence en ligne intitulée « Stimuler sa mémoire à travers l’Art » centrée sur Léonard de Vinci.

PREMIER SCANDALE D’ÉTAT :

 

 

 

LA PEINTURE N’EST PAS UNE THÉRAPIE.

 

 

 

Chers Lecteurs,

Je viens de recevoir de la Caisse de retraite complémentaire

(qui me verse 80 €!!!!), une « invitation » mandatée par l’État, de m’inscrire dans des ateliers qui selon l’État servent pour activer et entretenir la mémoire « des vieux ».

Tout d’abord, il faut établir le barème, à partir de quel âge est-on VIEUX en France?

C’est une question à laquelle vous devriez être en mesure de répondre.

Laissons las femmes à la marge, car leurs avis fluctuent selon leurs complexes, une grande partie fort complexée, se considèrent « vieilles » à partir de ma ménopause qu’elles vivent très mal.

(Quand il devrait être le contraire!)

C’est logique, elles ont eu une jeunesse saccagée des fêtes, alcool, hormones, IVG et tous les adjuvants qui les ont rendues libres, maîtres de leur corps et graduées des plus hauts doctorats de « féminisme».

Il va de soi que tous ces excès ne peuvent qu’abîmer leurs corps et leurs visages, et qu’elles se voient laides et usées avant l’arrivée de la véritable vieillesse.

L’avis de médecins sérieux, la génétique et la forme de vie qui va dès la naissance à l’âge adulte, contribuera à la performance ou à la dégradation personnelle d’un corps, mais les médecins ont tout de même une réponse qui fait consensus, les 75 ou 76 ans, sont le signal qu’indique l’entrée dans ce qu’on nomme : la vieillesse.

Nous sommes le corpus d’un contexte génétique, de notre alimentation d’enfance, de notre environnement dans lequel nous nous sommes formés et grandis, et des mesures de santé adéquates ou nocives pratiquées durant notre vie d’adultes.

Les starlettes n’ont fait que brouiller les barèmes, faisant un ridicule mondial absolument majuscule, dans une attitude contradictoire, qu’il faut constater, parce qu’elles font croire ou bien à la jeunesse éternelle, s’exposant à leurs 71 ans bien passés où les signes de la vieillesse sont bien nets, ou bien en s’exposant avec des kilos en trop et de rides ineffaçables avec leur botox, déclarant qu’ils sont beaux et le signe d’avoir bien vécu.

Si pour elles l’obésité est belle et un visage ridé mérite des louanges, sachez que ce baromètre n’est pas le mien.

Il n’y a rien de plus répugnant qu’une femme obèse et ridée.

Je n’accepte l’exposition du passage criminel du temps que comme réflexion métaphysique faite peinture : les autoportraits de Rembrandt, parce que c’est de l’art suprême, dans la réalité humaine, la dégradation du corps et de l’esprit est un crime de la nature qui est imposé à l’être humain et qu’il doit assumer comme pressage de sa mort.

Bref, ce liminaire fait, passons à la critique du premier scandale d’État.

L’ART PICTURAL UTILISÉ À DES FINS THÉRAPEUTIQUES !

Selon l’État et ceux sui vivent à leur crochet, ces fonctionnaires qui appliquent leurs ordres, sans savoir rien de ce que l’Art veut dire, et moins encore de ce qu’est la PEINTURE, pensent, si à cet exercice exigeant qu’est la pensée, l’exercice de la raison était leur domaine de compétence.

Tout d’abord, il faudrait leur faire savoir que l’art véritable en général, et la peinture en particulier, n’est ni une thérapie ni un passe-temps, pour que les « vieux » exercent leur mémoire.

Cette fonction utilitaire de l’Art qui N’EXISTE POINT, c’est l’État qui l’a créé, l’Art ne remplit en aucun cas aucune mission de « bien-être » ni de thérapie.

J’ai été scandalisée et effondrée à la réception de cette invitation.

J’aurais voulu leur répondre, mais bien malines qu’elles sont, le mail dit : « ne répondez pas à ce message ».

Elles se sont sauvées d’un de mes mails incendiaires !

Si l’État pensait réellement que l’Art doit être compris et pratiqué par les vieux, pour entretenir un « bien-être », alors, moi qui suis une artiste peintre d’excellence, l’État devrait m’augmenter le pourboire de retraite, et mieux encore, au regard de mes mérites picturaux, il devrait de manière spontanée, par un jugement esthétique qui lui fait grave défaut, me verser une mensualité d’au moins 2000 €, pour pouvoir m’acheter tout le matériel de peinture dont j’ai besoin pour réaliser tous mes projets picturaux que j’ai en croquis et que le manque d’argent m’empêche de mener à bien.

Je crois avoir dit l’essentiel.

Qu’ils se gardent leurs ateliers de pacotille.

DEUXIÈME SCANDALE D’ÉTAT.

Rentrée scolaire : le scandale des contractuels peu formés envoyés en banlieue

En panne de titulaires, les académies de Créteil et de Versailles recrutent des contractuels peu formés, alimentant la spirale du déclin. Histoire d’un désamour.

Par Erwan Seznec

Publié le 03/09/2024 à 18h30, mis à jour le 04/09/2024 à 18h20

Je vous ai parlé à maintes reprises des facteurs qui sont les responsables de l’ignorance nationale, de l’échec scolaire, du manque d’esprit critique ; tout ce conglomérat de défaillances ont une raison d’être et il y a des responsables ce vice et faute grave dont l’État est le garant de cette catastrophe nationale, elle s’est installée depuis des décennies, il ne sera pas possible d’en mettre un terme.

Pourquoi ?

Parce qu’il y a une mafia interne qui siège au ministère de l’éducation nationale, elle est cachée, sans nom, il ne s’agit pas ni de changer de gouvernement ni de changer de programme politique, cette mafia est « invisible », elle gère dans les plus profondes strates de ce ministère, et incompétents qu’ils sont, ils s’opposeront toujours à qu’un changement radical ne vienne assainir les usages aberrants qui produisent la dégradation absolument scandaleuse du système scolaire français.

Quand j’étais jeune professeur exerçant sur des postes des lycées, avec mes missions de former les classes de terminales littéraires, et qui devaient réussir leur Bac espagnol, aucun de mes élèves ne fut recalé.

J’eus des félicitations des parents. Des élèves d’autres classes venaient à mes cours, parce qu’ils savaient que je formais très bien pour les prépa-bac.

Ceci était insupportable pour les inspecteurs.

En plus, j’appartenais au COLLECTIF DE NON-TITULAIRES

Nous luttions à l’époque pour l’éradication des concours, et plaidions pour la titularisation après trois années d’exercice avec succès.

La mafia de l’Éducation Nationale nous a fait une telle quantité des misères que finalement les collègues laissèrent tomber, il faut un caractère rude comme le mien, et éduquée par un père combatif comme le mien,  pour ne pas claudiquer et faire face aux mafieux.

Me collègues ne l’étaient point et je ne pouvais pas poursuivreune lutte en solitaire.

Ils veulent faire l’Europe ?

Grande contradiction.

Au Royaume-Uni, les élèves notent leurs professeurs. Au bout de trois ans d’exercice réussi, les professeurs sont titularisés.

En France, le CAPES en espagnol est une honte.

Les inspecteurs, français qui ont appris l’espagnol et très mal, ils sont les « fonctionnaires de l’interdit » (Giorgio Manganelli) leurs complexes d’infériorité les accablent et haïssent un professeur qui leur fait face et qui ne s’amoindrit pas intellectuellement.

Est-il intelligent de demander à un professeur de s’amoindrir ?

C’est ce que me conseillèrent certains proviseurs.

Je leur ai répondu :

Monsieur le Proviseur, j’ai été formée pour donner un savoir, ma mission commence et s’arrête-la.

Si je ne fais pas preuve de compétence, alors que fais-je devant mes élèves ?

Je ne suis pas une modératrice de télé, je suis celle qui a poursuivi cinq années d’études universitaires de pédagogie en espagnol. Ensuite, je poursuivis, par obligation, des études supérieures en Sorbonne, maîtrise et DEA.

AVANT

Avant cette période sinistre où l’Éducation Nationale est au dernier cercle de l’enfer, avant, à mon époque, aucune étrangère n’était habilitée ADMINISTRATIVEMENT ni autorisée pour exercer en France sans faire les équivalences et faire des études supérieures en Sorbonne pour obtenir des diplômes français. Après mon Bac, et plus huit années d’études, croyez-vous, sérieusement, que je vais accepter qu’un fonctionnaire de pacotille et ignorant vienne me crier et insulter gratuitement et de manière préméditée pour me punir, car il a constaté ma supériorité intellectuelle, ma réussite auprès de tous les élèves ?

LES INSPECTEURS D’ESPAGNOL SONT DES CRIMINELS EN PUISSANCE.

Récemment, à Nice, j’ai l’article de presse, un de ces inspecteurs d’espagnol avec sa méthode criminelle a fait qu’une jeune collègue professeur d’espagnol se SUICIDE !!!

La pression de ce type criminel a été à tel point mortifère, critiquant cette jeune collègue, elle se croyait à tort nulle, décida de se donner la mort.

Si j’avais été dans sa ville et dans son établissement, je l’aurais prise en charge pour lui donner des cours de résistance, car je ne peux doute de son savoir, ce que lui a critiqué ce criminel d’inspecteur est sa façon d’enseigner.

Elle était une jeune professeur d’espagnol, mariée et mère de deux enfants !

Des crimes comme celui-ci se produit à répétition, mais personne n’en parle, c’est l’omerta.

Il faut que vous sachiez que ces crimes se produisent à répétition seulement dans la discipline la plus défavorisée en France : l’espagnol.

Pourquoi ?

Parce que c’est une deuxième langue que les élèves ne choisissent pas de bon gré.

Parce que les inspecteurs sont les plus méprisés par leurs collègues des autres disciplines « bien vues » comme la philo, le français et les maths.

Je doute que cette avalanche de suicides se produise dans ces autres disciplines.

L’espagnol, classé comme discipline dite mineure, sans presque aucune importance pour « la moyenne », si l’élève a choisi l’espagnol au lieu de l’allemand qui est en hausse, ces fonctionnaires médiocres ont choisi de se faire valoir par la terreur.

Ils se sont trouvés face à un bloc de béton devant moi. Ils se trouvèrent avec une femme professeur, sûre de sa compétence. J’étais indestructible. Alors, le seul moyen de me détruire était de me refuser la titularisation administrative et de me noter avec un ZÉRO au concours et à l’inspection et en me criant que « je me croyais en Sorbonne devant mes élèves. » 

« Vous vous croyez en Sorbonne ici ?! »

Il s’écria le criminel sadique, étouffé de rage.

Non, je lui ai répondu calmement.

« Non Monsieur l’inspecteur, je me crois en pré-universitaire tout simplement, et mes élèves sont bien formés et ils vont réussir leur bac.

Ledit inspecteur, en me criant de la sorte, il se faisait son autoportrait et faisait l’étalage des complexes réels ; il était un type très connu et téméraire au sein des inspecteurs d’espagnol parisiens.

J’espère qu’il est déjà bien mort ou en EHPAD !

Je m’opposais aux concours et j’étais une des plus ferventes militantes. Mais avant ce criminel, j’avais eu une inspection avec une inspectrice ESPAGNOLE.

Elle était scandalisée de me voir dans un état d’infériorité administrative et avec des compétences pédagogiques manifestes. Assez indignée, elle m’a dit :

« Comment est-il possible que seule avec votre mère, vous ne changiez pas de statut ?! Mais qu’est-ce que vous nous faites ?! »

« Vous allez vous inscrire au concours tout de suite, les inscriptions sont encore ouvertes, vous aurez votre CAPES immédiatement ».

Je lui ai obéi.

Mais… l’inspecteur français, m’a mis un ZÉRO et avec une inspection lapidaire, je ne pouvais pas obtenir la titularisation et tout fut programmé pour que se présente une fin de carrière misérable, la retraite de 1000 € que je reçois et qui ne me donne qu’une vie de misère ad vitam æternam.

À moins que je trouve un autre Kahnweiler.

Mes collègues ont fait un tollé et mes élèves firent grève !!!

Le Proviseur a demandé mon dossier.

Ahuri du résultat de son professeur qu’il appréciait par ses résultats.

Mais, l’inspecteur est arrivé à sa convocation avec mon dossier VIDE !

La mafia de l’Éducation nationale, section espagnole, a jeté mon dossier à la poubelle.

Afin que je me voie interdite de leur faire un procès administratif. Après avoir consulté des avocats, aucun n’aurait voulu prendre mon dossier sans preuves, et de surcroît, ils ont été unanimes :

« Madame, entamer un procès à l’État français, c’est le perdre d’avance, l’État a toujours raison, même s’il a tort. Je ne fais pas de procès à l’État, nous les perdons tous »

Pour que l’échec scolaire prenne fin, il n’y a qu’une seule mesure à prendre : Créer un double cursus universitaire de pédagogie, égal à celui que j’eus dans ma jeunesse, dans mon pays natal, pays du « tiers monde » à l’époque » mais qui formait des professeurs de secondaire d’excellence, grâce à ce cursus et tous nos professeurs universitaires étaient de Docteurs formés dans des universités européennes.

Le peintre Hernán GAZMURI fut le fondateur de l’Institut de Pédagogie attaché à l’U.T.E. Université Technique d’État (Université de Santiago)

Mon père fonda cet institut de Pédagogie en 1942, il y avait trois chaires universitaires, d’Histoire de l’Art, dessin et peinture. Il n’avait pris sa retraite qu’en 1972, à ses 72 ans.

C’est dans cette Université où je me suis formée comme professeur.

Avec cette formation d’excellence, je ne pouvais pas imaginer que j’éveillerais automatiquement un tsunami de détestation et de jalousie parmi les « inspecteurs d’espagnol !

Croyez-vous que j’allais trembler devant des assassins ?

Le double cursus de formation de professeurs doit avoir une durée de cinq ans, et la dernière année, se fait la pratique observée par le même directeur de thèse et ces cinq années sont couronnés par le diplôme d’État qui titularise à vie le professeur pour exercer au sein des lycées. Les concours n’existent point.

Cette méthode de formation et de titularisation ne sera jamais acceptée en France, où la formation double n’existe pas, et où le programme de formation pédagogique est inexistant.

Croire que l’on peut former un professeur dans trois ans et qu’il pourra exercer avec une simple licence est une aberration française.

Maintenant les jeunes qui ont compris de quoi est faite l’administration éducationnelle en France… Ils la fuient !

Ils obtiendront des postes sûrs et bien payés avec une simple licence de trois années.

L’article paru dans Le Point décrit ce nouveau scandale au sein de l’Éducation Nationale, les rectorats recrutent des parfaits ignorants sans aucune connaissance des matières principales à enseigner et des ignares attitrés en matière pédagogique.

La catastrophe sera abyssale.

Qui restent en train de nager dans leur marécage.

C’est moi, maintenant qui me moque d’eux éperdument.

Carmen Florence GAZMURI CHERNIAK

 

 

 

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