CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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DES MALFAITEURS DE LA POLITIQUE – PARTIE I

16 février, 2025 (12:14) | Non classé

             DES MALFAITEURS

 

 

                   DE LA POLITIQUE

PARTIE I

 

 

 

Chers Lecteurs,

C’est depuis très longtemps que j’essaie de convaincre aussi bien les autorités politiques que les gens que je rencontre sur un sujet qui nous concerne, qui leur concerne en tant que être humains condamnés que nous sommes à mourir et à subir la mort de ceux qui nous aimons, en premier et unique lieu pour moi, la mort de mes parents.

Nous avons l’obligation de personnes d’honneur et détenteurs d’une morale de leur donner une sépulture digne.

Si vous n’avez pas conscience de ce « grave et difficile »sujet, vous êtes aux antipodes de ce que le sens du mot HUMANITÉ veut dire et si mon sujet vous fait tourner le dos et poursuivre votre raillerie à mon encontre cela veut dire que ceux qui me critiquent et se moquent éperdument de mes écrits, de mes avertissements et de mes appels urgents à la raison, vous êtes restés en état de barbares, à la marge de ce que vous réclamez avec tant d’insistance et de force: appartenir à une république humaine et fraternelle.

Que la loi funéraire en France exige un changement de fond en comble est d’une évidence incontestable admise et maintes fois qui a été publiée, or contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, cette dénonciation n’a pas été dite par les partis de droite, mais par les partis de gauche, entièrement laïques et antireligieux; voici la preuve que ma thèse et mes propositions ne sont point une thèse personnelle et attachée à mes propres convictions religieuses, cela n’est pas votre affaire et cela ne vous regarde point.

J’évoque le problème religieux dans mon essai, certes, parce que ce sont les autorités religieuses qui ont commandé et contribué par le passé, dans bon nombre de clauses qui furent inscrites dans les lois funéraires, toujours administrées par la République laïque.

En fait, les interventions des religieux ont eu une influence au sein de la société Française et Européenne, sans que pour autant leurs diktats furent obéis, bien au contraire, aucune des religions monothéistes agissant en France n’ont crée une association qui vienne en aide financière aux familles pauvres et endeuillées, cela m’a servi pour les condamner avec force et de manière implacable dans mon premier essai, le volume I.

Le dernier Concile s’est mis de pair avec les dirigeants européens donnant le feu vert aux fidèles et à leurs politicards respectifs, pour que la loi funéraire suive son cours de commerce funéraire, et faisant une « adéquation » ignoble de leurs Écritures en les violant et transformant ce qui jadis était formellement interdit, la crémation des morts, mais ils ont vu là une manière de faire des compromis avec tous les gouvernements européens, et ils ont convaincu leurs « fidèles » les obligeant à changer leur ancienne perpective de la mort, et en voyant la crémation comme une solution entièrement acceptable, surtout pour laisser de la place de libre dans les cimetières, transformés depuis en vulgaires terrains des habitations HLM ou les morts une fois décomposés de la chair, ils peuvent être délogés comme des vulgaires locataires mauvais payeurs! Et transférés par la lettre de cachet des maires qui ont le droit légal de violer les tombes qui se trouvent dans des concessions impayées.

C’est ainsi qui se passe en France si quelqu’un a un être cher enterré dans un cimetière où la concession n’est pas totalement payée. Le Code pénal châtie toute profanation des cimetières et des tombes, le respect des morts est inscrit dans notre Code pénal, sauf que quand il s’agit de nous usurper de l’argent, le Code pénal qui châtie de manière implacable la profanation des tombes et toute profanation aux morts reste inopérant !

Dans la praxis les maires face à toute concession impayée, ils donneront l’ordre d’exhumer le cercueil et le jeter à l’incinération comme un vulgaire sac poubelle; ils ont la liberté juridique d’agir de la sorte.

Je m’insurge de manière violente contre cette procédure implacable.

Les maires se métamorphosent en charognards, Ils sont à tel point des bourreaux que le Trésor Public, si bienveillant pour accorder des échelonnements aux citoyens asphyxiés des dettes, et que parfois ils ne peuvent payer leurs impôts, en une seule fois, le Trésor Public accorde après étude, la possibilité de payer par échelonnement, or aucun citoyen français n’a le droit de demander une échelonnement pour solder une concession funéraire.

Dans mon cas personnel, pour solder la somme qui manque pour payer la concession de Maman, je n’ai aucun droit de demander un échelonnement.

Et, je me trouve figée dans l’impossibilité de résoudre cette obligation financière qui m’impose l’Etat Français, parce que l’Etat Français interdit toute possibilité d’échelonnement.

Pour mon cas personnel cette solution serait des plus heureuses et bienvenues, parce que je suis exonérée aux impôts et survivant d’une retraite au « seuil de pauvreté » qui n’arrive même pas au Smic, je n’ai que 950€ mensuels et 81€ de « retraite Agirc Arcco, donc payer en une seule fois 8279.53 € m’est financièrement impossible.

Or, il faut savoir que les maires augmentent annuellement la somme de 852,06€ le prix des concessions funéraires, ces prix sont soumis à des augmentations en accord à « l’inflation » selon d’aucuns c’est totalement justifié, mais le plus important est ce que des fonctionnaires du terrain m’ont avoué, ce système de hausser significativement le prix des concessions est un stratagème du gouvernement pour décourager les citoyens dans tut projet d’achat des concessions, et pour qu’ils se voient interdits de programmer des tombes dignes pour leurs êtres chers. Je n’arrive pas à concevoir la mise en place d’une politique immonde, agir de la sorte est une politique de charognards, cette configuration mentale  de l’‘Etat Français je ne pouvais pas la deviner quand j’ai programmé mon exil.

Face à cette ignominie, nous nous trouvons insérés dans un piège  funéraire-financier qui ne prend pas fin car, si nous arrivons à épargne r au bout de 12 mois, en janvier de l’année suivante, notre épargne reste déficitaire encore de ces 852.06€ !

Vola ma thèse proposée dans mon essai, dans le premier volume, j’appelle l’Etat et ses décideurs à étudier la possibilité d’exonérer automatiquement, les personnes qui doivent payer des sommes exorbitantes au Trésor Public pour une concession funéraire, dans le cas unique et précis où ces citoyens soient exonérés à vie de l’impôt sur le revenus.

Mais après réception de mon livre, aucun ne m’a répondu.

Le plus concerné et qui aurait dû me répondre et m’accorder l’entretien que je lui ai demandé, puisque c’est lui précisément l’auteur du Rapport qu’il avait envoyé à la Présidence de la République libre, égalitaire et fraternelle !

J’ai laissé passer un mois après la réception de ma lettre accompagnée de mon livre.

Sa secrétaire m’a éconduite d’une très désobligeante manière, me disant que je n’avais pas le droit à une réponse écrite et qu’elle me la donnait par téléphone, après plus un mois d’avoir bien réceptionné mon livre.

Le mépris scandaleux de ce élu de la République est visqueux et nauséabond.

Dans ma configuration éthique, aucune autorité n’a le droit de laisser sans réponse une lettre et la réception d’un livre d’une citoyenne française.

Je prends attache aux découvertes des anthropologues pour clarifier ma thèse, je le redis, pour ne pas faire appel aux considérations privés, qui touchent notre sensibilité puisque la MORT est une faire de l’intime absolu.

Que disent les prêtes catholiques depuis le dernier Concile ?

L’incinération est totalement admise, parce que « l’âme monte au ciel et la dépouille d’un mort, ne vaut rien ».

Le sacrilège est arrivé aux extrêmes paroxystiques, les catholiques orthodoxes grecs ont laissé exhumer des cercueils après trois années et non en respectant les cinq années légaux. J’ai vu le reportage, dans un cimetière grec orthodoxe où les familles s’insurgeaient contre le prêtre en pleurant. Rien n’obtinrent de lui les pauvres malheureuses.

L’excuse était « le manque de place dans les cimetières » comme s’ils n’avaient pas de terrains vides pour construire des neufs, qu’avec le vieillissement de la population Européenne, cette mesure s’impose comme une mesure d’intelligence à prendre de toute urgence, mais l’intelligence est devenue une vertu rarissime en France et en Europe.

Construire de nouveaux cimetières, il devient une nécessité absolue et urgent de tout point de vue.

Drôle de tergiversation ds Ecritures.

Les anthropologues qui n’ont rient de religieux nous ont donné des informations de grand valeur, grâce à leurs découvertes nous savons à présent que les ossements restent intacts, conservant leur ADN après des millénaires.

J’ai présente ma thèse en laissant à la marge les composantes religieuses, et en prenant comme socle unique ces éléments d’ordre naturel et scientifique, pour qu’ils restent ad vitam aeternam comme preuve de respect des morts, du respect que nous devons à la dépouille des morts fondé précisément sur une théorie factuelle, et scientifique.

Je cite encore Vladimir Jankélévitch: 

« Celui qui a été ne peut plus désormais ne pas avoir été, désormais ce fait mystérieux et profondément obscur d’avoir vécu est son viatique pour l’éternité »

L’irréversible et la nostalgie

Les dénonciations politiques s’arrêtent à la critique de la pratique du commerce capitaliste de « Pompes funèbres » qui par le moyen des barèmes des prix exorbitants pour la vente d’un cercueil et des services annexes quand bien même les moins chères, sont des sommes exorbitantes que les personnes pauvres, sans revenus confortables ne peuvent pas débourser jour où l’inhumation de leur mort exige débourser des sommes très élevées.

Cette contrainte financière est motif d’un accablement terrible pour les familles pauvres et endeuillées qui subissent dans le moment d’effondrement absolu qui signifie la perte irrévocable d’un être cher,  elles doivent penser et s’adonner à résoudre très vite une exigence financière pressante qui arrive les détruire et rompre encore plus le déséquilibre complet que la mort veut dire comme expérience ontologique.

LE RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES

Il y a deux ans il y a eu un Rapport de la Cour des Comptes qui fut publié dans le Journal officiel et envoyé à la Présidence de la République.

Il devait être utile pour obtenir une solution à ce tragique problème funéraire, il va de soi qu’en l’envoyant à celui qui nous gouverne c’était pour obtenir enfin une solution. Ce évènement fut annoncé dans le journal télévisé.

L’Élysée n’a pas donné de réponse et le Président  est resté inactif.

Le Président de la République est me semble-t-il atteint de surdité.

Mais nous n’avons pas pris connaissance de que celui qui gouverne la France ait cet handicap, alors je suis en droit de penser que il est atteint de « surdité métaphysique» une tare précise de notre époque, dénoncée dans ses essais par George STEINER. Oui, cette surdité métaphysique, est une incapacité généralisée dans notre société qui a fait de la MORT une banalité, donc toute préoccupation pour les morts et les exigences obligatoires pour les inhumations et l’accomplissement formel des exigences funéraires et des lois imposées par l’Etat qui incombent les dispositions dans les cimetières; la plupart des citoyens préfèrent les ignorer. Cependant j’ai constaté que ce qui règne est « la loi de l’entonnoir », parce que tous ceux qui me critiquent et qui me disent que « une fois qu’on est mort tout c’est fini et que c’est stupide de se préoccuper du néant», pour leurs propres morts, ils ont obéi aux lois funéraires, ils ne se sont pas dérobés, et tous ceux qui me critiquent, ils ont donné une sépulture à leurs morts. Les critiques que je reçois sont mal intentionnées avec le but sadique et incompréhensible de détruire mes propositions et anéantir toute possible de discussion pour changer la loi actuelle.

Leur attitude reste pour moi incompréhensible, je dois avouer que mes compétences sont très limitées et je ne suis compétente que dans deux champs de la connaissance qui ne sont pas opérationnels pour l’analyse de cette étrange opposition de s’adonner volontairement à une dialectique.

Il est certain que mes connaissances ne servent à rien.

Je ne suis qu’experte que dans deux seuls domaines, la littérature et peinture, deux disciplines que comme l’a dit si bien Vladimir Jankélévitch à propos de la philosophie : « À  quoi sert la philosophie? À rien? Sauf que sans elle l’on ne vit pas si bien»

La psychiatrie n’est pas mon domaine de compétence.

Quand bien même dans mon cursus de profession pour devenir pédagogue dans mon pays natal, j’ai étudié la psychologie de l’enfant et de l’adolescent pendant quatre années de cinq de mon cursus,  et aussi nous avons fait un semestre de « psychologie clinique »; je confirme qu’à présent je me vois confrontée face à un dilemme que la société française en général me présente dès que j’évoque le sujet funéraire.

Ou bien, je parle avec des gens du pouvoir et habilités à proposer un changement de la loi et des LOIS dans le sens le plus large, ou bien je m’adresse aux gens sans pouvoir, le résultat est le même :mépris, sadisme et raillerie.

J’eus l’intention de contribuer par le moyen de l’écriture à un changement de la loi funéraire. Je suis professeur, et j’accorde une valeur sans limite à la force de la parole écrite et orale.

Il y deux ans, ayant échoué pendant des années à essayer de « sensibiliser » la société par le moyen de mes lettres aux autorités, je me suis rendue à l’évidence que « les autorités françaises» restent à la défensive et silencieuses.

Je déteste me faire violence pour faire a appel à une demande dite « personnelle», mais réfléchissez, le fait d’insister pour arriver enfin à changer la loi funéraire, et effacer définitivement la souffrance financière des personnes pauvres et endeuillés, est-ce vraiment « une affaire personnelle?», ou sommes nous confrontés à un problème sociétal des plus humains et des plus tragiques qui mérite tout notre effort de gnose pour qu’il soit résolu de toute urgence?

J’ai été par le passé et je continue encore maintenant à me faire violence et à interpeler ces « personnes du pouvoir ».

Je confesse de ressentir une révolte sans limite, mais à quoi me sert de me révolter face à cette situation?

De rien.

Adopter le rôle de « demanderesse » me répugne, intellectuellement je suis anarchiste et autogestionnaire. Les gens confondent  l’anarchisme intellectuel avec l’anarchisme politique, je les ai toujours séparés, mais je n’ai aucune intention ici de donner de cours, tout simplement de vous avouer ma souffrance intellectuelle face à mon échec de convaincre, et mon accablement face à ce que je devrais faire pour enfin dans mon programme de deux années de famine très organisée, afin d’être en mesure de donner la totalité d’argent qui m’exige la mairie de Paris.

Les découragements que je viens de recevoir sont multiples.

Dans ma jeunesse, une amie m’a dit ceci: «Sache Flo que les meilleurs conseillers ne sont pas le meilleurs payeurs »

Et après avoir fait le bilan suite à la publication de mon livre LA MORT EN FRANCE: POLITIQUE FUNÉRAIRE DE LA TERREUR volume I, je suis en train de rédiger simultanément le volume II qui fait le récit de mon sacrifice pour payer ce que j’ai dû construire mon une tombe définitive à Maman, en 13 années j’ai dépensé 14.000€.

Le volume II et dernier, fera le rescrit en mode de « journal » ma vie quotidienne de famine organisée.

Le mépris des autorités m’ont forcé à prendre des mesures drastiques que personne ne croit que je pourrai maintenir jusqu’à la fin, parce que ils méconnaissent  ma capacité et ma force de volonté inébranlable pour tout ce qui touche à mes parents.

« Les gens » ne savent pas  qu’entre 2013 et 2019 j’ai déjà épargné avec des sacrifices innommables et surhumains, la somme de 14000€ pour construire une tombe digne à Maman. Il y a eu plusieurs inhumations et exhumations que j’ai dû payer sans être solvable.

Depuis sa mort en octobre 2013, qui fut un assassinat du « Docteur Traître-Tant » qui lui a refusé les soins pour la faire souffrir jusqu’à lui donner la mort avec des circonstances aggravantes, je me suis confrontée seule à réaliser dans la totalité trois inhumations, trois exhumations, chancelle nt de cimetière après cinq ans et une journée, achat des trois cercueils, construction des caveaux et pose finale de la pierre tombale.

Il ne me reste que solder sa concession funéraire et je le ferai en adoptant mode de vie d’ermite encore plus profonde et encore plus exigeante en matière de privations quotidiennes.

« Ils » ne peuvent pas comprendre, que je ne le fais pas par « masochisme» rien de plus loin de mon esprit!

Ils croient que j’aime la souffrance, pauvres misérables. Une artiste n’aime ni les privations, ni la misère ni les sacrifices.

L’exigence de toute pratique artistique exige précisément le contraire.

Et l’Art a ses propores exigences qui nous exigent non seulement un sacrifice journalier, mais de l’héroïsme.

Des sujets que j’ai cessé de traiter publiquement, puisque «  la société du mépris » (Axel HONNETH) dans la quelle nous vivons est parfaitement étanche à ces sujets «  difficiles », sauf quelques rares exceptions.

Cette époque qui exclut tout sacrifice spirituel et financier pur des causes qui sont devenues  d’une rare étrangeté, comme l’est la préservation des tombes.

C’est une époque où tout le monde ne cherche que la facilité et « le bien vivre ».

CONCLUSIONS

Au regard de cette indifférence à mes propositions de changement des lois funéraires, je décline toute poursuite de sensibilisation sociale.

Je décline par la même occasion toute intention de convaincre les autorités.

Elles m’ont déjà a assez méprisée et cette situation de méprise et raillerie ne peut plus durer.

J’ai cru dans le pouvoir de ma parole. À tel point j’étais crédule que je me suis adonnée à faire des recherches et à étudier sérieusement les lois funéraires, décrets, livres et publications diverses.

Je me sis sacrifiée de manière notable pour rédiger mon essai et le publier à mes frais, naturellement.

Une fois envoyé, et n’ayant pas de réponse de ceux qui devaient réagir, je ferme ma porte à double tour. Ils ont gagné en m’oppressant financièrement.

Les plus sadiques attendent ma mort, que je me voie encerclée et prise en otage. Ils ont raison, mais seulement sur un point.

Je garde ma santé et ma vie aux point le plus extrême. Je suis en parfait état de santé.

Mais mon point faible est ma misère.

Sur ce point , « ILS » ont entièrement raison.

il sera une véritable prise en otage, apparement « volontaire», mais non, détrompez vous, rester enfermée en famine organisée n’est pas une décision volontaire, mais une obligation, car toute fille qui n’est pas un monstre, et qui est née avec une « bonne nature», ne laissera jamais que le cercueil de sa Maman soit exhumé par une misérable administration assassine, l’administration de la mairie de Paris, qui organise la prise des concessions impayées.

En donnant l’ordre par une lettre de cachet que la tombe soit violée légalement, pour exhumer le cercueil et le jeter aux four pour l’incinération.

Cette horreur funéraire ne m’arrivera point.

Cette horreur funéraire ne lui arrivera jamais à Maman.

Je suis prête déjà à débuter ma prise en otage volontaire.

Je suis déjà en DORMANCE.

Alors mon programme a débuté.

Nous  réglerons nos comptes.

Nous passons trop vite par le temps…

Je n’oubliera jamais tous ceux qui m’ont méprisé et qui ont oublié volontairement qui était Maman.

La veuve du peintre Hernán GAZMURI que grâce à ses Services Eminents à la France en 1980, le peintre H. GAZMURI, ancien disciple d’André LOTHE et appartenant esthétiquement à l’Ecole de Paris, il est entré en 1983 dans le Patrimoine de la France: « La Donation Gazmuri » qui est au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris, ville qui 43 ans après, s’apprête à violer la tombe de la veuve du peintre.

Quelle mascarade du destin…

Soyez certains qu’un jour vous serez surpris…

Votre programme de destruction échouera.

Personne ne touchera la tombe de Maman. Personne.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

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