LA PEINTURE EN FRANCE 1928-1979 HERNÁN GAZMURI- 2022 FLORENCE GAZMURI -DERNIERE HERITIERE DE L’ÉCOLE DE PARIS
QUELQUES UNS DE MES TRAVAUX DE MA PROCHAINE EXPOSITION VIRTUELLE 2023
FIGURES A LA GRANDE CHAUMIERE ARBRE EN DEUIL
|Huile sur toile 2022]
[Huile sur toile 2022]
Huile sur toile 2022
MON MAÎTRE LE PEINTRE HERNÁN GAZMURI
HERNÁN GAZMURI DANS L’ATELIER DE LHOTE PARIS 1928
HERNÁN GAZMURI DANS L’ATELIER DE LHOTE – PARIS 1930
FIGURE 2 A LA GRANDE CHAUMIERE
[ Huile sur toile 2022]
CARTE D’IDENTITÉ -HERNÁN GAZMURI PARIS 1928
CARTE D’ENTRÉE AU MUSÉE DU LOUVRECARTE HG ITALIE
L’ARTISTE PEINTRE EN FRANCE
1928-2022
FLORENCE GAZMURI
Dernière Héritière de l’Ecole de Paris
EL ORGULLO CIENTÍFICO
«Hemos hablado de la humildad científica que conviene al método de investigación y lectura de los textos. Ahora hablaremos del orgullo científico que concierne el esfuerzo de la redacción final.
No hay nada mas irritante que las tesis (y a veces ocurre también con los libros impresos) en que el autor avanza continuamente excusationes non petitae.)
“no estamos calificados para afrontar el tema, de todas maneras, querríamos avanzar la hipótesis de que…”
¿Para qué no estáis calificados? ¿Habéis dedicado meses y quizá años al tema escogido, habéis leído posiblemente todo lo que había que leer sobre él, habéis reflexionado y tomado apuntes? ¿Ahora os dais cuenta de que no estáis calificados? ¿Entonces qué habéis hecho durante todo este tiempo? Si no os sentís calificados no presentéis la tesis. Si la presentáis es porque os sentís preparados y, en todo caso, no tenéis derecho a excusaros. […]
Vosotros sois el funcionario de la humanidad que habla en nombre de la colectividad sobre ese determinado tema. Sedes humildes y prudente antes de pronunciar palabra, pero cuando ya la hayáis pronunciado, sed altaneros y orgullosos”
UMBERTO ECO
Como se hace una tesis P. 292
Chers Lecteurs,
Le peintre Hernán GAZMURI, qui apparient au Patrimoine de la France comme peintre de l’Ecole de Paris, arriva par ses propres moyens financiers à Paris en 1928 pour suivre l’enseignement d’André LHOTE à Paris. www.hernan-gazmuri.com
Je suis arrivée en France, par mes propres moyens financiers, la vente de notre maison, appartement et tous mes biens qui me laissa mon père, pour venir à Paris en « mission artistique » en 1981. www.armajeur
Ma galerie des toiles en vente.
Je suis la seule disciple qui laissa le peintre Hernán GAZMURI comme dépositaire de l’enseignement d’André LHOTE, Hernan GAZMURI (1900-1979) peintre de l’Ecole de Paris qui est entré dans le Patrimoine de la France en 1983, date où furent reconnus officiellement les Services Eminents de sa veuve, la pianiste Clara Cherniak, ma mère, qui a offert l’œuvre capitale de son mari Hernán Gazmuri au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris.
Je suis la seule héritière de l’Ecole de Paris qui est encore en vie, mais pénalisée par les illustres autorités de la mairie de Paris qui n’ont jamais voulu reconnaître mes valeurs et qui m’ont systématiquement refusé toute possibilité de développement pictural et ils me refusèrent tous les faveurs qu’ils octroient à leurs protégés, bourses, séjours à la Villa Médicis, ateliers, salles d’exposition, achats etc, etc…
Savez vous ce que les autorités, de la Préfecture de Paris me demandèrent lors de la convocation et interrogatoire administratif nécessaire pour qu’ils m’octroient ma nationalité française ?
Nous étions en janvier 1989.
« Vous êtes artiste-peintre, est-ce que vous nous assurez que quand vous, serez reconnue, vous allez laisser en France les impôts de vos gains et vos œuvres ? »
J’ai répondu : Bien entendu, cela va de soi !
Je suis devenue française en 1989 par mérite, d’une part, parce que j’ai poursuivi des études supérieures en Sorbonne et j’ai obtenu avec succès deux diplômes français et parce que je suis artiste-peintre et disciple du peintre Hernán GAZMURI.
Depuis la date de ma naturalisation française en 1989 se sont écolés
32 ANS
11 MOIS
21 JOURS
2 MINUTES !
Dans le plus total dénouement et ne comptant que des revenus au seuil de pauvreté, une retraite de professeur d’espagnol, (jamais titularisée en France) qui n’est qu’un pourboire qui me jette l’Etat français, somme ridicule de 900€ qui ne peut pas servir à faire de la peinture qui est l’art le plus cher de tous ; je poursuis avec des sacrifices surhumains mon travail d’artiste peintre.
Je vous montre un échantillon de mes travaux actuels que j’exposerai en « galerie virtuelle » en 2023.
Alors, si un véritable mécène me lit et chose extravagante de l’imaginer, qu’il saurait apprécier mon art et, que tel qui le ferait notre D.H. Kahnweiler, voudrait bien devenir mon Mécène,
Voici mon message :
Je ne fais pas de la peinture pour m’amuser elle n’est pas pour moi un passe-temps !
Ce n’est pas non plus un « travail alimentaire », je poursuis à contre-courant mon travail d’artiste-peintre, car c’est une « mission » et que je dois perpétuer l’héritage de mon maître Hernán Gazmuri, qui m’a légué les Invariants Plastiques de l’enseignement d’André Lhote.
Je ne fais pas de la mendicité avec mon art, ni avec la peinture ni avec l’écriture, Daniel-Henri KAHNWEILER découvrit Picasso et tous « ses peintres », ce ne sont pas eux qui mendièrent leur survie avec leur art.
Vous pouvez me contacter par intermédiaire de la page de contact.
Vous auriez le privilège d’être le premier à me découvrir et à défendre mon art.
Merci de m’avoir lue.
Florence GAZMURI
- S. J’ai trois prénoms et deux noms de famille, mais pour signer mon travail pictural je porte le prénom qui m’a donné mon père, FLORENCE, prénom qu’il a choisi pour moi, par amour à la ville italienne qu’il adorait, il me disait : « no puedes imaginarte su belleza ! »
- Plus tard, une collègue vénitienne, m’a dit : « l’italien ne donne pas des noms des villes, ton père aurait dû t’appeler Fiorenza.
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