IMBÉCILES  !

« Disent les imbéciles… »

Apprenez la rigueur de la sémantique.

Chers Lecteurs,

Je me suis jurée de ne plus dépenser mes ressources ni mon temps en  écrivant des articles de critique sociale, parce que quand ont vieilli, ce temps qui a été toujours notre plus grande préoccupation pour bien le « dépenser », il devient encore plus précieux et la critique sociale de cette France… Cela nous oblige à le perdre encore plus tragiquement. Mais, en dépit de mon serment intellectuel que je vais trahir pour quelques heures, j’ai décidé de contribuer avec un bref article, je l’effacerai plus tard.

L’assassinat perpétré par cet « assassin adolescent » est le produit d’une société malade, et les sparadraps qui mettent le gouvernement ne servira pas pour éradiquer cette gangrène.

Le « manifeste » que ce criminel s’est permis de divulguer est ou bien, une création de la maudite l’IA, le crétinisme artificiel et bien réel, ou bien, il a été commandité par des terroristes.

Pour avoir travaillé dans ma jeunesse au sein de l’Éducation Nationale, je peux affirmer qu’un jeune de seconde n’est pas capable de rédiger quinze pages en bonne due forme, à l’exception des adolescents bien guidés par des parents intellectuels.

À présent, l’IA sort de l’embarras de l’ignorance et du manque d’intelligence les postulants aux doctorats, alors cette malédiction qui nous submerge ne produira que des effets de plus en plus néfastes, mais les « adultes » sont les imbéciles et les plus coupables.

À les entendre, ces journalistes spécialisés, je confirme mes présomptions de jadis, comment est-il possible qu’en plein période du deuil des parents soumis dans la douleur la plus atroce qui ne peuvent ressentir des parents qui ont subi l’assassinat de leur fille, ils nomment ce criminel de « gamin » ? !!!

Il n’est pas « un gamin ! », il est un criminel, non mesdames, messieurs, cet individu n’est pas un adolescent fragile, il est un assassin et il faut clarifier la sémantique, dans notre société savoir nommer les choses, c’est contribuer à la reconstruction de l’humain, qui est pour l’heure déshumanisé, il est de la plus haute importance savoir imposer par la parole des lignes définies et définitives de conduite. Les « adultes » ont laissé faire et des générations se sont adonnées au laxisme et à la déconstruction, ces nouvelles formes de vivre ensemble, nous ont donné ce résultat de décomposition familiale d’abord, de déconstruction sociale ensuite, et tous les vices que nous subissons sortent de ce relâchement, de ce « laisser faire » et le résultat, vous le constatez au jour le jour.

Si l’on a le projet de fonder un socle vertueux dans la société, ils devront un jour se rendre à l’évidence qu’ils se sont trompés de fond en comble et ils persistent dans l’erreur.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA