CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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ENCORE UN AUTRE MENSONGE D’ÉTAT : NOUS SOMMES COUPABLES DE JETER DES MEDICAMENTS!!!

10 février, 2025 (12:13) | Non classé

 

ENCORE UN AUTRE MENSONGE D’ÉTAT

Des médicaments non utilisés par les assurés
C’est une perte financière pour la Sécurité sociale !

 

MESSAGE AU GOUVERNEMENT :

ARRÊTEZ DE NOUS CULPABILISER DE VOTRE TURPITUDE DANS LA GÉRANCE DE VOS

 

INSTITUTIONS !

 

Chers Lecteurs,

Encore un autre mensonge d’État abominable qui a été fait cirque télévisé par les « Éditorialistes » mandatés par le gouvernement ; question de préparer une justification aux restrictions en matière de remboursements et culpabiliser toujours les assurés, qu’il soit bien clair, tout comme la supposé fraude à la Carte Vitale, il est impossible pour nous de sortir des médicaments gratuits pour ensuite les jeter.

Je vais vous donner les « preuves en l’espèce ».

Par chance, je ne suis pas consommatrice de médicaments en dépit de mon âge, je suis en excellente santé. Je le redis, mon handicap aux genoux, gravissime par cause des escaliers de cet immeuble maudit avec 84 marches d’escaliers, je ne suis pas malade, en revanche, j’ai une expérience solide en matière d’administration et des lois de la Sécurité sociale, parce que pendant toute la vie de ma mère ici en France, je me suis occupé d’elle et de ses ordonnances. Quand une personne suit un traitement, ou plusieurs traitements, quand bien même l’ordonnance dit pour 12 mois, car il s’agit la plupart du temps des traitement pour des doléances qui doivent se traiter « à vie », la pharmacie ne délivre que pour un mois, et au dos de l’ordonnance reste indélébile la date de la délivrance. Il est formellement interdit pour la pharmacie de nous délivre plus d’un mois de traitement, donc il n’y a aucune perte des boites non utilisées ou jetées !!!

Les journalistes ont fait un cirque nous montrant un immense sac plastique transparent, rempli des boites des médicaments, selon ces laquais du gouvernement, c’était la preuve de l’irresponsabilité des assurés qui faisaient perdre des sommes EXORBITANTES à la Sécurité sociale. La preuve en l’espèce est archi fausse, au regard de cette argutie sémantique et mensonge si bien structuré, j’ai été scandalisée.

Ce qui est un SCANDALE est de nous accuser d’irresponsables et des assurés coupables du déficit de la Sécurité sociale.

BASTA de mensonges !

Aucun médecin ne délivre des ordonnances multiples et j’insiste sur le fait que les ordonnances sont faites pour un mois de traitement, parfois renouvelables, mais strictement contrôlé par la pharmacie.
La fausse fraude à la Carte vitale est un autre mensonge monstrueux du gouvernement.
Nous accuser de fraude de la Carte vitale est grossier et absurde.
Notre carte vitale est personnelle, unique et intransmissible. Quand bien même nous la perdions, quiconque voudrait l’utiliser, elle est bloquée.

Notre Carte Vitale est plus sécurisée qu’une CB, ou bien, elle est vide, comme en ce moment la mienne,  ou bien elle est bloquée si quelqu’un d’autre voudrait s’en servir.

Je suis en ce moment SANS DROITS, parce que la « connexion informatique » qui devait se faire entre mon Assurance Santé Solidaire que je paie,  et la CPAM, reste encore morte, ma Carte Vitale est pour l’heure sans connexion et je ne peux pas m’en servir. Encore une preuve que la Carte Vitale est commandée par les fonctionnaires de la CPAM, et uniquement vérifiée et contrôlée par ce personnel. Personne ne peut y intervenir pour faire fraude.

Si je la perdais, personne ne pourrait s’en servir, en plus au recto se trouve la photo de l’assuré et dès qu’elle entre dans un décodeur, il y apparaît tout notre historique.

Mensonge d’État détruit.

Il est de même pour les supposés médicaments jetés.

SI, et je le souligne au conditionnel, il y a perte de médicaments, cela pourrait se produire de manière très limitée et sans incidence dans les statistiques, il pourrait exister un 0.05% des malades qui ne veulent pas suivre un traitement et qu’ils se sont repentis après avoir acheté l’ordonnance, cas rarissimes, mais ceci reste aussi improbable.

Une statistique infime n’est pas prise en considération pour faire un constat réel.

Je pense qu’il y a dans ce cirque du gouvernement, une volonté de faire diversion pour tenter de passer outre les dysfonctionnements meurtriers aux Urgences hospitalières, le manque de lits, les difficultés du personnel, la pénurie de médecins et leur budget aussi défaillant dans leur gérance de la Sécurité sociale.

Chers Lecteurs, ne tombez plus dans le piège du gouvernement, ces « preuves en l’espèce » sont fausses et préfabriquées

pour cacher leur incompétence de politicards MAZAMORRA.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

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