CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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LA VÉRITÉ SUR LA SPOLIATION DE LA COLLECTION HERNÁN GAZMURI AU CHILI: UN VOL ABOMINABLE À SA VEUVE ET À SA FILLE ET SEULE DISCIPLE

2 décembre, 2024 (11:30) | Non classé

 

 

AUTOPORTRAIT HERNAN GAZMURI

TOILE VOLÉE

À PRÉSENT C’EST MOI LA SEULE PROPRIÉTAIRE ET DE TOUTE LA COLLECTION.
DEPUIS 2013. CONVENTION DE BERNE.

 

 

  LA VÉRITÉ SUR LA SPOLIATION

 

 

DE LA COLLECTION HERNÁN GAZMURI AU CHILI

 

LE CHILI N’EST PAS LE PROPRIÉTAIRE DE LA COLLECTION PICTURALE

 

DU PEINTRE HERNÁN GAZMURI.

 

 

 

 

J’ai fait un cauchemar. 

Je ne rêve presque jamais depuis l’assassinat de Maman, j’ignore la raison. 

Mais, cette fois-ci m’est venu à l’assaut un cauchemar: mes parents ressuscitaient, ce qui ne devrait pas être un cauchemar, mais au moment de mon réveil en sursaut, il l’est devenu, parce que tout était faux, et cela m’est insupportable.

Mon père, arriva sur terre pour me défendre, comme il l’avait toujours fait. Personne n’oserait comme à présent, poursuivre leur persécution; aucun SERPENT de VILOGIA et les autres fonctionnaires de Paris qui leur obéissent, ils n’oseraient pas poursuivre leur indigne injustice à mon encontre, si elles le font c’est uniquement parce qu’elles savent que je lutte seule et c’est la conduite uniforme et de par le monde de tous les mafias qui se caractérisent par leur lâcheté.

La lâcheté est à l’origine de tout délit.

La lâcheté est ce qui motive les monstres inhumains à s’empreindre à ceux qu’ils croient « faibles », c’est ainsi que l’on devient leur CIBLE, c’est « LE MOBBING » .

 Dans mon cauchemar, mon père arrivait pour me défendre de cette horreur française, et  mettre de l’ordre contre cette officialité chilienne qui nous a dépouillées Maman et moi de tout notre héritage pictural.

Je crois que ma situation de fausse « pauvre » a fait que dans mon cerveau que je contrôle avec une précision minutieuse d’horloge, m’a trahi, l’inconscient est arrivé pour me répondre ce qu’au jour le jour j’essaie de contrôler pour avancer et ne jamais me laisser abattre. 

Mon père, s’il voyait ces voleurs, qui ont spolié ma mère en 1993 lui usurpant tout l’héritage des toiles que mon père lui laissa dans un Testament Olographe, il  leur laisserait tous ipso facto hors jeu. 

Ils le savent, et depuis cette date, ces voleurs chiliens indignes et  au comportement criminel, se vantent de posséder la Collection des toiles du peintre Hernán GAZMURI, or  leur possession est une FRAUDE, le monde entier doit savoir que tout ce que les musées chiliens ont en leur possession est le résultat d’une spoliation, d’un vol de bas-fonds, il y a une frauduleuse transaction d’achat-vente illégale qui aurait dû être annulée.

la Convention de Berne fut bannie, la veuve du peintre fut i trahie , volée de son héritage pictural que son mari lui laissa, ce pdélit que Maman a subi fut d’ordre pénal.

Moi,  je l’ai souffert conjointement à maman, et nous n’avons pas pu récupérer notre héritage, faute d’argent pour payer les honoraires d’un avocat d’excellence, expert en jugements internationaux de vol des oeuvres d’art.

Nous avions entamé un jugement international, mais avec l’Aide Juridictionnelle il est devenu une entreprise vouée à l’échec dès le début.

Et risible de par son inefficacité, ce jugement est devenu à l’époque un absurde juridique, parce qu’en faisant appel à un ignorant dans la matière, le premier avocat, et un voleur indigne et fraudeur le second, notre « faux jugement international » était voué à l’échec dès son début. 

Le monde entier devrait censurer l’officialité chilienne.

 Aucun pays ne devrait accepter que le Chili dise officiellement que la collection des toiles du peintre Hernán GAZMURI leur appartient!

Il n’y a aucun document officiel qui le prouve. Bien au contraire j’ai le TESTAMENT OLOGRAPHE de mon père !

La Collection qui  reste au Chili est le produit d’une SPOLIATION, à présent comme par le passé, la Collection de mon père m’appartient. 

Je devrais la récupérer et dans sa totalité. 

Les toiles qui ont été achetées en ventes aux enchères sont des achats-ventes frauduleuses qui devraient être annulées.

 J’ai pris connaissance par une personne qui est venue en France, et qui nous a rendu visite Maman et moi à Paris du comportement délictuel du conservateur, elle lui a rendu visite dans son bureau.

Elle a été témoin que conservateur du musée qui est reçu ici avec des honneurs, décorait son bureau avec l’autoportrait du peintre Hernán Gazmuri !

Un vol ostentatoire de ce type indigne au comportement mafieux.

Ce type abominable  qui a commis vol et un  affront de cette nature devrait  être motif d’un scandale judicieux. C’est pourquoi je dénonce publiquement que le Chili est un pays indigne parce qu’il a commis une fraude, une spoliation jusqu’à présent impunie.

Les Présidents se sont succédés depuis, les conservateurs en chef des deux musées pareillement, mais le vol reste ineffaçable, le vol, la spoliation indigne qu’ils ont pratiquée à notre encontre fait du Chili un pays immonde qui a des pratiques mafieuses indignes. 

Mon père fut persécuté sa vie durant. Mon livre démontre avec des documents à l’appui, l’infamie de l’officialité chilienne à son encontre, mais, le paradoxe a été établi par la reconnaissance que Gazmuri avait obtenu entre 1942 et 1972 au sein de l’Université, cette reconnaissance rééquilibrait sa situation, il était reconnu comme une valeur qui dépassait les frontières, admiré et reconnu comme le meilleur Professeur d’histoire de l’Art, de dessin et peinture, mais entouré à l’extérieur de l’Université, d’une détestation sadique sortie de leurs bassesses et complexes d’infériorité, inspirées tous d’une jalousie et sadisme qui sont tous les deux, les motivations  certaines et reconnues par les critiques , je cite Victor CARVACHO, qui l’a écrit publiquement, comme étant les éléments qui motivèrent l’ignoble et seul motif de leur persécution, et qu’il subir sa vie durant mais je suis née pour le défendre est je le ferai  sans relâche, jusqu’à la fin de ma vie.

 Le peintre Hernán Gazmuri n’était pas inscrit dans le « Patrimoine chilien ». Dès que le gouvernement à su que sa veuve, ici à Paris, elle  avait rendu des Services Éminents à la France avec « La Donation Gazmuri » qui fut accueillie au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris, l’officialité chilienne s’est précipitée avec toute leur abominable conduite à l’intégrer très vite dans le Patrimoine pictural du Chili, intégration post mortem forcée.

Cette intégration n’avait que des motivations illégales et arbitraires, ils croyaient qu’avec cette mesure sa veuve et moi-même, les seules héritières de l’oeuvre du peintre Hernán Gazmuri, nous resterions à la marge et dépouillées à tout jamais, et qu’en dépit d’entamer un jugement international, nous ne pourrions jamais récupérer notre Collection de toiles du peintre Hernán GAZMURI. Mais, la Convention de Berne est claire, précise et inviolable, dans son texte.

Aucun conservateur de Musée de par le monde ne peut méconnaître les fondements de cette Convention qui nous défendait et qu’après le décès de la veuve de l’artiste, l’héritage se transmet automatiquement à sa descendance. 

Ce vol de l’officialité chilienne s’est amplifié.

Il est venu se greffer un autre vol, s’est greffé à la spoliation, la spoliation de la pension de survie qui me revenait en toute justice et elle était composée de la retraite de toute la vie de travail de mon père. Au Chili un descendant célibataire du géniteur légal doit recevoir à vie la pension post mortem de son père, à une seule condition, que le descendant reste célibataire et sans descendance. 

C’était et c’est mon cas particulier.

J’ai subi donc deux spoliations. 

Une seule chose doit rester indélébile et de la connaissance de tous les experts en matière d’Art international:

Le Chili a commis une spoliation contre la veuve et la fille et sa seule disciple qui a laissé le peintre Hernán Gazmuri. 

La Collection du peintre est le produit d’un achat-vente frauduleux.

Le Testament olographe du peintre que j’ai en ma possession est accablant pour le Chili est sa bande de voleurs à haute échelle.

Juridiquement le Chili n’est pas le propriétaire de l’oeuvre du peintre Hernán Gazmuri, parce que elle est le produit d’une spoliation faite à sa veuve et à sa fille et disciple: moi-même.

Toutes les toiles qui se promènent ça et là et qui passent  entre les mains de divers propriétaires comme le résultat des ventes aux enchères frauduleuses, doivent se considérer comme nulles, et les vendeurs et les acheteurs condamnés pour vol des oeuvres d’art achetées de manière illégitime.

Une seule vérité est en place et que j’ai pu obtenir  avec mon arrivée à Paris, elle est le couronnement heureux de ma « mission artistique » comme l’a défini l’Académicien René Huyghe, et que j’ai gagné pour la mémoire du peintre Hernán Gazmuri. 

Je cite Monsieur René Huyghe: « La Donation Gazmuri est venue compléter la Collection de l’École de Paris.  «

Le peintre Hernán Gazmuri est entré en 1883 dans le Patrimoine pictural de la France et il est ad vitam aeternam un peintre qui appartient esthétiquement à la plus prestigieuse École de peinture moderne Française: l’École de Paris. 

J’ai réussi à faire valider ce que mon père a voulu faire valoir et ce qu’il a voulu inscrire comme la seule vérité esthétique de sa création, et sans obtenir d’écoute sa vie durant: il n’a aucun lien avec la « peinture  chilienne », car elle est inexistante, il l’a dit et redis jusqu’à la fatigue, je le cite:

« Je suis  arrivé à Paris en 1928 étudier avec mes propres et faibles recours pécuniaires dans l’Atelier de LHOTE, non à me « perfectionner », en peinture, mais à prendre connaissance de la révélation de la peinture  moderne Française ».

Ce que j’ai réussi à obtenir est que le peintre Hernán GAZMURI soit éternellement reconnu comme appartenant à l’École de Paris.

Ceci aucun autre peintre ne l’a obtenu.

Les propriétaires  de ses toiles sont frauduleux.

Ces achats-ventes doivent être annulées, parce que fabuleuses.

 Ces toiles m’appartiennent par loi. 

Et, je devais laisser ce témoignage de vol dont je suis victime et qui est une des raisons de poids de mon appauvrissement qui jusqu’à présent devient irréversible.

Si je pouvais récupérer mon héritage qui me revient en toute justice, il va de soi que je changerais de statut, je quitterais ipso facto la misère où je m’engouffre, je fuirais cette commune infernale, je pourrais me libérer de la misère et de la persécution des ces mafias des HLM de l’administration française. 

C’est ainsi que ma vie en France s’est partagée dans un combat contre la mafia chilienne et les mafias françaises du Ministère de l’Ignorance Nationale et des gérantes mafieuses des HLM.

J’ai tout dit. 

Voici mon cauchemar.

Carmen Florence GAZMURI CHERNIAK

 

 

J’ai fait un cauchemar

IN, MEMOIRES: MA VIE LITTÉRATURISÉE

DU CHILI À LA FRANCE.

En écriture.

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