CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

                             LA FIN DE L’EHPAD MONDIAL

                                                              ET

                            LA FIN DU FINANCEMENT DES GUERRES

Chers Lecteurs,

L’économie entre les mains des femmes est une catastrophe mondiale.

La gérance d’un pays entre les mains des gens qui devraient être hébergés, par un EHPAD l’est pareillement.

Et vous savez aussi ma répudiation et dégoût viscéral que j’éprouve par les EHPAD, création insupportable de notre modernité sociale.

Vous savez, par mes écrits ce que je pense des États Unis, cependant il faut comprendre que tout ce qui comporte notre vie quotidienne, nous fait dépendants des Etats-Unis, qu’on le veuille ou non ; il nous est demandé d’acquiescer à son pouvoir. Les ordinateurs, que nous devons utiliser de manière quotidienne sont faits en Chine, mais il faut les remplir avec les logiciels en provenance des États-Unis, du contraire ils ne sont que des artefacts inutiles et vides. Je rêve qu’un jour la bureautique mondiale soit créée et dirigée par ma Russie, une preuve d’excellence et sleur anti-virus Kaspersky, le meilleur du monde et aussi puissant que leur dernier missile.

Cela dit, il faut se rendre à l’évidence que nous finissons une époque néfaste et que s’annonce la fin de la chute économique qui s’est produite dans ce pays qui représente la surpuissance mondiale et le pays qui dirige le monde et qui finance à l’infini les guerres ; à présent s’ouvre la voie de l’espoir de la fin des guerres.

Un écrivain a dit que dans la vie d’un Homme, dit dans le sens générique, il n’a que trois vie : la publique, la privée et l’intime.

Certes.

J’accorde droit de cité aux deux premières pour les ouvrir devant l’écrit, il est une nécessité impérieuse de l’écrivain, en revanche je défends avec des barbelés la troisième.

Il y a trois registres qui appartiennent à l’intime absolu : La Vie, l’Amour et la Mort.

Je les garde uniquement pour moi-même, cependant quand il y a viol et injustice, je me fais violence et j’écris et le dénonce et le crie sur les toits.

Cette question politique nous appartient.

Je suis la voie du tragique qui m’impose l’expérience décevante qui m’a donné la France de l’administration, en revanche dans la vie de tous les jours je suis sereine et je vis avec l’optimisme de ce qui se passe de par le monde : la fin des guerres ne peut que me réjouir, indépendamment de tout le tragique personnel ; aujourd’hui je garde l’espoir de ne plus voir ce fantoche pleurnichard en train de faire ses voyages touristiques aux Etats-Unis pour exiger des armes, des dollars et des euros à l’Europe qui est en faillite, ce grand paradoxe humiliant pour la France que de recevoir ce pantin qui crie pour « son indépendance » qu’il exige qu’elle soit financée par le monde entier.

Oui, je forme des vœux pour que cette élection des Etats-Unis marque la fin des guerres.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA