APPRENTISSAGE DE SÉMANTIQUE POLITIQUE

ACCÉLÉRÉ 

**

VOICI UNE NOUVELLE SÉMANTIQUE :

« GAUCHE RADICALE ET GAUCHE PROGRESSISTE »

« Antisémitisme ou antisionisme ?

Chers Lecteurs,

Je suis sans télévision, elle a rendu son âme hier, l’obsolescence est de rigueur !

Avec certitude l’on dit assez souvent que l’on ne finit jamais d’apprendre, les industriels programment la fin de nos appareils pour nous faire perdre de l’argent tandis qu’eux ne cessent de s’enrichir ; je me rappelle mon époque de jeunesse, quand mes parents achetaient des électroménagers, une radio et un téléviseur qui avaient une longue vie, de nombreuses années nous servaient sans besoin de réparations ou des remplacements quotidiens. Il faut assumer, c’est notre époque de vols assermentés.

En tout cas, je resterai bloquée parce qu’avec ma misérable retraite, il me sera impossible de m’acheter une autre télé, bien, ceci dit, Chers Lecteurs, ce n’est pas de cela que je tenais à vous parler ce matin, vous dire que je suis sans télé à de l’importance, parce que je ne peux voir qu’une seule chaîne, BFMTV sur un minuscule ordinateur de dépannage qui ne sert pratiquement à rien, c’est destiné aux lycéens, je ne peux que m’informer des nouvelles que sur une seule chaîne, BFMTV et la chaîne ARTE.

Je viens de regarder et d’écouter l’entretien qui a été destiné à interroger un ancien président de la République.  

Je découvre qu’il me faudra un nouvel apprentissage accéléré de politique française, parce que je découvre sa sémantique qui n’est pas la mienne.

J’apprends que, selon lui, en France, il y a deux gauches, l’une radicale, l’autre « progressiste », dont il se réclame.

Moi, je suis autogestionnaire et anarchiste intellectuelle.

Qu’est-ce que cela veut dire ?

Pour les ignorants, les anarchistes sont des poseurs des bombes et ils sont « contre l’ordre », or cette croyance laissons-la pour les crétins.

L’anarchisme est une voie de perfection et des plus exigeantes.

La résumer est très facile : Se conduire sans faire du mal à personne, et agir dans la vie et au sein de la cité en ayant une conduite parfaite, c’est celle-ci une pensée anarchiste, je suis capable de m’autoéduquer et de me conduire en indépendante.

Ceci en ce qui concerne ma conviction intellectuelle, voire spirituelle.

Le reste est une affaire intime qui n’intéresse que moi-même.

Pour l’organisation de la cité, je suis avec ceux qui disent la vérité et ne font pas de compromis, chose presque impossible quand ils font de la politique. Mais on arrive à trouver çà et là quelques-uns qui parlent vrai.

Revenons à la sémantique de Monsieur Hollande.

Qu’est-ce que c’est une gauche « progressiste », par contraste abyssal avec une » gauche radicale » ?

Je voudrais bien le savoir… À juger la chute frontale de la gauche progressiste et de quasiment toutes les variantes, elle est celle qui fait des arrangements et reste bien avec tout le monde, j’ai fini par la nommer :

« Politique MAZAMORRA ».

Pour moi, dire la vérité sans concessions, dans ce monde d’ici-bas, est suivant la signification de sa sémantique politique, elle n’est autre chose qu’« être radicale », parce que la vérité n’est qu’une, il n’y a pas de possibilité de compromis entre politicards, les mafieux dehors !

Il a ajouté que ceci est une « tradition française » et que ces deux gauches ont toujours existé.

Ah bon ?!

Je n’exprime ni mes convictions politiques ni religieuses, la vérité est mon leitmotiv.

La vérité est indépendante des lignes politiques et des partis, ceux qui dirigent les partis, mentent, trahissent ses propres coreligionnaires.

Je me réclame profondément humaniste et suivant une ligne de conduite d’autogestionnaire propre d’un anarchisme intellectuel, auquel je suis fidèle depuis mon adolescence ; il se réduit à une prémisse simple : je ne me laisse commander par personne, je suis autogestionnaire et ma ligne de conduite va vers le chemin de perfection que tout être humain doit pratiquer dans sa vie. Si tous les citoyens suivaient cette doctrine, nous serions dans un monde idéal. Je reste dans cette utopie personnelle, la mener à bien tout au long de ma longue vie de 70 ans, faisant la soustraction de l’enfance, c’est déjà pas mal, n’est-ce pas ?

Bien, je vais vous analyser l’autre problème sémantique qui a soutenu ce matin l’ancien président de la République.

Il répondait aux questions de la journaliste, qui insistait sur les convictions de « la gauche radicale » cataloguée de radicale parce qu’elle nourrit son électorat grâce à ses idées d’antisémitisme, le problème surgit là, est-il de l’antisémitisme ou des idées apparentées à l’anti-Israël et à l’antisionisme ?

Vaste sujet qui selon mes convictions doit être résolu facilement avec une dose minime de culture générale, or, ne la possèdent-ils pas ou font-ils semblant d’être des francs ignorants dans la matière ?

Je vous laisse juges.

Parce que si une partie de la gauche « radicale » veut défendre les peuples attaqués par Israël, alors ils doivent changer de fond en comble leur sémantique, les arabes sont aussi sémites, alors quand ces illustres politicards, se mettent à parler et critiquer la « gauche radicale » de parti antisémite… La rigueur sémantique s’impose pour rester sur un terrain de vérité politique.

Je crois que si l’on commençait pour ne plus faire cette faute, nous avancerions de manière considérable dans nos débats.

D’après ce que nous avons pu comprendre de cet entretien, Celle qui est nommée « gauche radicale » est antisioniste et par conséquent « anti-Israël », mais en aucun cas un « parti antisémite.

Je vous conseille bien vivement de réviser vos cahiers d’histoire, si vous les avez gardés, parce que c’est bien dérangeant d’entendre des vieux personnages politiques qui tombent dans le piège journalistique qui revient sans cesse vers le slogan de l’« antisémitisme ».

Certains politiques de gauche critiquent la politique du « peuple élu » qui basé sur une théocratie et de surcroît, d’extrême droite, profondément racistes, vaniteux, en se croyant supérieurs et uniques au monde, usurpent les terres des Palestiniens, en pratiquant depuis leur installation en Palestine, le bannissement, le vol, le pillage et les meurtres.

Le dire, le critiquer, le dénoncer est une position antisémite ?

Non, absolument pas.

Lisons cet article.

SOURCE : L’Humanité.

Pour le rabbin Arik Ascherman, « on ne peut pas effacer la colère d’un peuple opprimé »

Le rabbin Arik Ascherman né aux États-Unis et résidant en Israël depuis 1994 évoque la situation au regard de sa foi et de son engagement comme militant des droits humains opposé depuis des décennies à l’occupation de la Cisjordanie.

Publié le 2 novembre 2023 Mis à jour le 3 novembre 2023 à 15:43

Christophe Deroubaix

[…]

Le Rabbin Arik Ascherman qui a subi la prison pour défendre les Palestiniens est-il « antisémite » ?

Le médecin Rony Brauman est il antisémite ?

Noam Chomsky qui n’a fait qu’écrire des essais remarquables sur l’Occupation sioniste, et écartant le mot « conflit », il a mis à la disposition du monde sa thèse qui définit et nous impose une nouvelle perspective pour ne plus faire la faute et il nous demande de penser comme il se doit pour être dans le vrai sur l’usurpation illégale des terres aux Palestiniens.

Sa thèse éclairante est la sagesse de pensée nécessaire à tous les européens qui ne savent que s’exprimer par le moyen des slogans ternis par le temps

Alors, Noam Chomsky est-il antisémite ?

Il va falloir corriger votre sémantique si vous voulez devenir crédibles comme politiques, parce qu’à vous entendre, et je m’adresse à toutes les couleurs politiques et partis, vous faites une si triste figure qu’on a du mal à vous supporter avec tant des fautes sémantiques.

Changez de sémantique, vous êtes franchement fatigants !

Carmen Florence Gazmuri Cherniak