CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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RÉPULSION

27 septembre, 2024 (08:52) | Non classé

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Réédition corrigée en préparation pour octobre.

CLARA

PAR HERNÁN GAZMURI

 

 

RÉPULSION

LE 18 OCTOBRE 2013

Chers Lecteurs,

Le 18 octobre 201 », ma mère a eu un infarctus, en rentrant de notre promenade journalière de tous les après-midis au café proche d’avenue de la République.

J’ai déjà raconté cet épisode tragique qui m’a transformée depuis en une morte-vivante. Mon Livre Script CLARA devrait devenir un film.

Son « docteur Traître-Tant » lui refusa les soins, avec perfidie, préméditation et circonstances aggravées et quand j’ai décidé de mon propre chef de l’hospitaliser, ces trois complices dudit hôpital, le pire du 20ème, reproduisirent le crime et finirent de l’achever sous leur complicité immonde.

Maman fut leur CIBLE choisie pour me mutiler moi, et elle a souffert une torture de huit jours, quatre chez nous (le taudis), torturée sans sédatifs, pour mourir sans soins sur un lit dur et froid, devenu était un cercueil ouvert qui l’accueillit quatre jours, pour mourir nécrosée sous les rires du Chef de Service qui se moquait d’elle face à son lit, où ria, où riant, l ‘air moqueur m’a dit ceci :

« Ha, ha, ha, elle n’est pas toute fraîche votre mère, ah ? …Ha, ha ha… ! »

La France a une justice ?

La justice française n’est pas laxiste ?

Les murs des hôpitaux sont étanches et cachent des bourreaux où des maltraitances atroces sont commises en catimini.

Mon livre -Script CLARA tout comme mon essai publié hier, se fondent sur mon cas « personnel » qui va vers l’universel, permettre aux malades conscients ou non, et à leurs familles de les défendre avec le droit qui doit changer en leur faveur et non en sens unique vers les médecins et leurs équipes, faisant valoir leur dignité, éviter leurs souffrances imposées et gratuites, et les préserver des maltraitances des faux médecins. C’est « mon affaire personnelle », n’oublions pas l’écrivain japonais Kenzaburo Oé.

Je me suis battue en justice, contre les conseils d’aucuns qui m’ont dit que mon combat serait « inutile. Un bon médecin m’a dit : « ne faites rien, je connais mon pays, ils vont vous massacrer ! »

C’est fut chose faite tel qu’il me l’avait prédit.

J’y suis allée seule au combat judiciaire, seule, j’avais été représentée par des pires avocats, j’ai dû changer trois fois, aussi incompétents les uns que les autres, naturellement, avec l’Aide Juridictionnelle !

Finalement, le Conseil du Désordre gagna facilement à l’aide d’un jury commandité par une mafia.

Ils interdirent un de mes avocats de plaider. Il aurait pu gagner.

Il était opéré d’un accident et de l’hôpital, il leur envoya un fax demandant un « renvoi » la cheffe du Conseil du Désordre, viola la loi, lui interdit le renvoi en ayant un arrêt de maladie !

LA FRANCE N’EST PAS LAXISTE ?

J’étais le seul « témoin oculaire », vous savez l’importance capitale qui possède dans un cas de crime un témoin oculaire, d’autant plus que j’avais été formée en soins d’infirmière à mon propre coût, et que j’étais la seule infirmière et aide-soignante de maman treize années durant, sans aucune aide extérieure.

La scène au sein du Conseil, salle sans public et composée du jury et des avocats de la défense des assassins et du bourreau de maman, étaient là. Mais le docteur « Traître-Tant », ne s’est pas présenté, caché sous les jupons de sa femme, resta chez lui…

J’y suis allée seule et j’ai suivi les conseils de mon avocat qui resta à l’hôpital privé abusivement du renvoi auquel il avait droit ! de renvoi ».

Il m’avait dit : « ne dites rien, ne plaidez rien, mais faites acte de présence ».

Cependant, la vieille Présidente me donna l’ordre de m’asseoir, et d’attendre la plaidoirie des avocats des assassins de Maman, je ne l’ai pas accepté et commencé à dire ce que mon avocat m’avait conseillé, mais la vieille Présidente cria, et contre sa volonté, je ne lui ai dit qu’une seule phrase, en me tournant vers l’assassin N°2 et sa complice des urgences, l’Assassin N°3 :  « vous êtes tous des assassins de maman, on se verra à la Cour d’Assisses ».

Il n’y a pas eu de jugement véritable, il n’y a eu que cette mascarade avec laquelle mon avocat fut outragé et interdit de renvoi et de plaider en défense post mortem de maman.

Il n’y a pas eu de Cour d’Assises.

La vieille présidente cria comme une démente et donna l’ordre aux huissiers de me sortir de la salle !

Ne me touchez pas ! J’ai crié !

Et j’ai dû sortir en supportant le renversement honteux et humiliant des rôles.

La France n’est pas laxiste ?

Le Conseil du Désordre gagna et les assassins de Maman sortirent libres sans aucun châtiment, ils sont au premier rang de DOCTOLIB, qui les abrite, car il ne fait aucune discrimination et devient ainsi un portail immonde.

J’ai été accusée de « accusation abusive ».

J’ai dû payer les frais de justice en étant au RSA !

Et ensuite retraitée de professeur d’espagnol en survivant d’une retraite misérable de 1000 €.

J’ai payé les frais de justice qui m’imposèrent ces assassins.

J’ai payé au Trésor Public jusqu’au dernier centime d’une somme de 3 000 €, et j’ai fini de payer en 2021.

J’ai dû payer seule 3 cercueils, j’ai subi seule, trois inhumations, trois exhumations, changement de cimetière, achat d’une concession qui me reste à solder, j’ai payé les caveaux, la pierre tombale, et toute cette horreur s’est déroulée entre 2013 et 2021.

Je n’ai jamais eu un seul mot de compassion.

Je n’ai jamais reçu un seul centime d’aide ni de « cagnottes ».

Je n’ai reçu que des attaques verbales.

La France n’est pas laxiste ?

Mes livres ne cesseront jamais d’inculper ces quatre assassins de Maman, ils devront se rappeler leur crime.

Le principal, le « Docteur Traître-Tant », il devra se rappeler son assassinat et de sa perfidie contre Maman jusqu’à la dernière minute de son « existence nauséabonde ».

Je m’en chargerai.

Et je ne cesse de chercher un cinéaste, ce serait un film magnifique qui ferait un carton !

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

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