CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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LOCATION ET CRIME – CHAPITRE IV -PEINTURE-LITTÉRATURE-LOCATION HLM-HANDICAP- TOUT EST LIÉ- ANALYSES

18 septembre, 2024 (09:48) | Non classé

 

CHAPITRE IV

Peinture – Littérature – Location HLM- Handicap

TOUT EST LIÉ

Analyses

Mon Essai, La Mort en France : politique funéraire de la Terreur, je le publie en auteur indépendant, sans vendre un seul exemplaire. Je crois qu’il sera prêt avant le 28 septembre. Et, je continue à attendre un mécène.

Je ne perds jamais l’espoir.

Le 14 octobre, je publierai LOCATION ET CRIME, et nous serons quittes.

Mes pensées matinales vont vous éclaircir plusieurs sujets qui ont une réponse subjective ; en matière de « nature humaine », il n’y a rien de définitif, tout devient conjectures, parce que le comportement « humain » est sournois chez la plupart des humains, il a été déjà maintes fois analysé, A sera une personne donnée avec B, et encore bien différente avec C et D.

George Simmel a très bien analysé le mensonge comme mode de comportement sociétal, le mensonge est nécessaire pour maintenir un certain équilibre ; alors, il va de soi que les analyses de la victime de A, appelons-la B, et que le bourreau A, la soumet aux pires préjudices, cette personne A , qui est nonobstant si bien considéré par C, et D, car le bourreau A, ne se conduit pas en criminel avec C et D.

Donc l’accusation de criminel qui nous donne A, elle n’a de validité que pour elle-même et ceux qui voudraient bien la croire, parce qu’au moment de notre analyse, nous n’avons que C et D dans le jugement de la personne A.

Donc, ces deux autres personnes, et moi, la victime B, ne peuvent que donner sa version avec des « preuves en l’espèce » de cette personne A, qui dans la forme, apparemment,  elle ne se conduit comme sadique et perverse qu’uniquement avec moi.

Mais dans le cas du bailleur social VILOGIA les choses évoluèrent très différemment, car son comportement délictuel est apparu dans les médias et BFMTV s’est bien chargé de montrer ce bailleur abusif et illégitime à la lumière des caméras, pour que la France entière regarde son comportement délictuel, alors à partir de ce moment-là , je suis crédible.

J’exulte.

Pour la première fois de ma vie en France, l’un de mes bourreaux est signalé comme une organisation hors la loi.

Parce que laisser un adolescent paraplégique privé de sortir trois mois durant et poursuivre dans leur inertie de ne pas s’inquiéter pour les résidents qui handicapés ou non, restent sans ascenseur trois mois durant C’est faire preuve d’une « nature humaine » en décrépitude et habituées à ne pas recevoir de l’État aucune sanction.

Priver une personne de sortir de son appartement et ne pas réparer un ascenseur est d’une méchanceté innommable du point de vue purement humain et du point de vue juridique cela se traduit pas manque de déontologie à laquelle se doit de respecter tout bailleur, et encore plus grave encore s’il est un bailleur social.

Un bailleur social se doit d’œuvrer de manière immédiate, sans aucune excuse et tout faire pour réparer tout éventuel dégât de l’immeuble ou de chaque appartement des locataires, pour que tous les locataires maintiennent un niveau de vie normal ; il est inscrit dans le bail, les responsabilités qui incombent aux deux parties.

Dans le cas ici cité, il ne s’agit d’aucune demande traitement de faveur, mais d’une obligation méprisée, du non-respect du bail et d’une violation flagrante de la loi.

Ensuite Vilogia s’est permis de mettre à la disposition du jeune garçon handicapé un studio « gratuit » qui a plusieurs marches d’escaliers infranchissables pour son gros et lourd fauteuil roulant.

J’ai écrit sur cet épisode macabre et comparé le comportement délictuel de Vilogia à la fable du renard et de la cigogne.

Moi, dans le cas de ce jeune garçon j’aurais eu une crise, puisque je suis claustrophobe et rester enfermée trois mois, sans pouvoir sortir, il me serait une épreuve insoutenable.

Macabre comportement délictuel d’un groupe de gérantes, car sont toutes « des femmes », cela dit long sur la nature inhumaine féminine.

Moi, qui croyais qu’elles m’attaquaient sans répit parce que je suis seule, pauvre et avec un handicap qui leur produit des rires et de la satisfaction, non, je me suis trompée, ce garçon a une famille, des parents jeunes et il est très bien entouré, donc ma théorie tombe à l’eau ; il va falloir analyser ces malfaiteurs autrement.

Ce qui est certain est que quand on trouve un malfaiteur, et qu’il nous prend pour CIBLE, il est rare qu’il agisse contre nous à titre individuel, un serpent ne laisse jamais ressortir son venin une seule fois, celui qui est pervers ne l’est pas à titre exceptionnel, il l’est toujours et de manière irrépressible.

Il est absurde demander que la victime B laisse passer les préjudices qu’elle subit, ou que la victime B, efface les comportements délictuels du bourreau A. Nous sommes devant un fait accompli, et je ne le laisserai point passer cette fois-ci ; il n’est pas véridique que le bourreau A, soit délictuel uniquement avec la victime B et de manière exceptionnelle.

La conclusion n’est pas du ressort sociétal, dans un cas comme le mien, deux branches d’experts, sont appelées à donner leurs analyses et leur verdict, d’une part les psychiatres, et d’autre par les juristes, et je fais appel exclusivement aux juristes, parce que les avocats sont en France une spécialité pareille aux médecins, ils sont des fonctionnaires qui ne cherchent qu’à monter comme des plantes rampantes et « laisser passer » les délits, pour ne pas trop indisposer les juges, c’est cette attitude que j’ai trouvée chez tous les avocats, à une seule exception, l’avocate espagnole qui m’a défendue de manière excellente et avec l’aide juridictionnelle ; le proverbe « une hirondelle ne fait pas le printemps » s’est avéré exact dans mon cas particulier, ces perles rares ne se rencontrent qu’une seule fois dans la vie, et quand j’ai gagné mon procès contre Madame Y  La hyène Crapule de Colmar, j’ai pris une décision, je me suis dit, plus jamais de procès, dans le peu d’années qui me reste à vivre, je ne trouverai pas encore une fois, une avocate de cette supériorité, alors, quoi qu’il arrive, je me promets de ne plus entrer dans le jeu des provocations, pour que je me voie forcée à me défendre par le moyen d’un procès, le pauvre en France, il est toujours perdant.

L’aide juridictionnelle sait très bien faire son travail, sauf une exception rare, les greffiers désignent des jeunes avocats qui sortent de l’École de droit sans aucune expérience. J’eus une qui ne savait mème pas rédiger, faisait des fautes pires que moi-même, j’étais bien capable de lui corriger son rapport, une honte, et, plus grave encore, je lui avais confié mon Rapport juridique qui décrivait l’assassinat de Maman en détail, confier un dossier de cette importance à une incapable a été une de mes plus graves erreurs.

J’avais rédigé ce Rapport en solitaire, il contenait plus de 300 pages. Et avec un dossier complet à sa disposition, elle était si nulle, parce qu’incapable de se préparer dignement devant la mafia du Conseil du Désordre.

Un autre jeune exemplaire a eu le culot de me dire : « Et vous pensez que je vais lire vos 300 Pp. » ? » Alorsil m’a demandé de réduire le rapport, moi, imbécile, je l’ai fait. Il y a sept ans, j’étais encore une imbécile à moitié, pas totalement, car je n’ai pas cédé à ses autres exigences et envoyé sur les roses ces deux exemplaires.

Le pire des châtiments sera qu’ils devront garder mon cas exceptionnel au fond de leurs consciences, si quelque peu de conscience ils en ont, et tout comme les assassins de Maman, s’ils ont un peu de souvenir, ils se rappelleront ce qu’ils ont fait avec ma pauvre Maman, la souffrance et agonie de Maman les persécutera le reste de leurs vies et au moment où ils seront en train d’agoniser, leur crime sera une épouvante qui accentuera les souffrances de leur fin, car il est bien rare qu’on meure paisiblement, ce sont les riches qui s’administrent des sédatifs qui leur apportent la fin en douceur.

L’autre type d’avocats, ceux qui savent, ils ne travaillent point si l’on n’ouvre pas le chéquier. Ils envoient leur secrétaire nous dire « qu’ils sont débordés ! »

Ceux qui ont été désignés par le BAJ (Bureau d’Aide Juridictionnelle) Ils laissent les dossiers avec Aide Juridictionnelle pour la fin et trois jours avant l’audience rédigent à la va-vite, et la plaidoirie est une lecture bien pire que les discours oraux qu’ils ont faits pendant leur époque d’étudiants devant l’amphi ; j’en ai vu des cas horripilants depuis mes quarante années de combattante en France ; dans ce pays tous les conflits se résolvent devant les tribunaux, c’est la spécialité de la France où tout le monde qui se querelle, se dispute et subit des fraudes, fait appel à la justice, les tribunaux sont débordés, et les avocats s’enrichissent, que la société soit en état de décomposition ? Les avocats se réjouissent, plus d’argent ils gagnent.

Imaginez une société idéale, où le Mal et la méchanceté n’existaient plus, les avocats et les juges périraient au chômage, et dans cet état de vie sociétale, ils se savent nécessaires et abusent, sauf avec moi, la pire des fautes ce serait non d’avoir été trompée par mégarde, mais de poursuivre dans l’erreur quand on a connaissance de cause de nos erreurs.

Donc plus jamais de procès.

Celles qui m’attaquent resteront seules dans leur immonde projet de m’annihiler.

Je ne ferai absolument rien.

J’ai déjà averti toutes les autorités responsables ou non, les autorités parisiennes, la Caf, mon Assureur, le GRDF est venu de sa propre initiative faire une inspection parce que j’avais coupé le gaz en juin 2023, et la norme est que le GRDF fasse des inspections dès qu’une coupure de gaz dépasse les six mois.

Le GRDF a écrit un rapport à l’intention de Vilogia qui lui demande de changer le tuyau de conduite du gaz, car il est défectueux, Vilogia s’en moque. Leur service partenaire, Proxiserve dirigé encore par une plateforme, des petites fonctionnaires à leur service, sans vergogne, m’a demandé de changer moi-même le tuyau, quand cette dépense est à la charge du bailleur. Le tuyau ne coûte que 40 €,et pour ce qui est de la plomberie, les dégâts et les préjudices ne se feront pas tarder.

Personne ne pourra m’accuser de négligence, ce sont des travaux qui dans tout contrat de location, sont à la charge du bailleur.

S’il y a une inondation par manque de siphon du levier de la cuisine, qu’elle s’inonde.

Et s’ils ne réparent pas les radiateurs, peu m’importe, je pourrais bien vivre en Groenland ou en Sibérie, ma génétique russe me défend !

En tout état de cause, je me suis préparée.

J’ai acheté une couette chaude, somptueuse, et demain je vais m’acheter une bouillotte, je me prépare pour l’automne, si pas malheur, je n’obtiens pas encore mon HLM à Paris.

Et, sans chauffage ce groupe de bandits m’envoie une facture de « dépassement de chauffage », à mourir de rire !

Et pour le dépassement d’eau froide, il faudrait le démontrer, elles ne le peuvent point.

Elles n’ont pas de compteur individuel.

Les huissiers de Poissy les connaissent fort bien. J’ai déjà dit qu’un bailleur social de Carrières sous Poissy, fraudait pareillement tous ses locataires, ils se sont battus quatre années durant !!!

De la pure folie administrative.

Mais dans quel pays peut-on accepter une situation d’escroquerie pareille ?!

Mes lecteurs de l’étranger vont prendre connaissance de comment vivent les pauvres en France ; il y a deux groupes, les locataires mafieux pareilles aux bailleurs, et les autres, comme je le suis moi-même, locataire pauvre et sans faute qui vit dans l’austérité pour ne pas dépasser mes dépenses et ne jamais rien demander à personne.

C’est cela qui les rend furieuses, qu’elles ne peuvent pas m’accuser de rien, je paie mon loyer et suis respectueuse de tous mes engagements, je ne fais du mal à personne et je vis cloîtrée.

Alors elles inventent des fautes.

Les locataires de Carrières sous Poissy ont obtenu gain de cause, et le bailleur social a dû leur rembourser 400 000 €. Ils n’auraient dû jamais payer.

Moi, j’ai ma défense, elles n’en ont aucune.

J’ai fait preuve de n’avoir pas de lave-linge.

J’ai la preuve de ne pas utiliser la baignoire pour mon handicap aux genoux, une baignoire garde 1000 litres d’eau.

Toute ma défense de ces misérables devient ridicule.

Et parce que je ne vais pas leur démontrer que je ne suis pas un poisson, comme le passage du roman de Milan Kundera, l’affaire est close !

LA PEINTURE

Ceux qui me refusèrent l’achat de mes toiles j’ai su après le pourquoi.

En tout cas de figure, ce n’est pas parce qu’ils ne me répondent et qui me laissent soumise au silence qu’ils vont entrer dans l’histoire de la peinture !

Cela ne se commande ni ne se décommande pas au caprice d’acheteurs.

De par le monde il a des ventes aux enchères d’artefacts et des monstruosités de mauvais goût exécrables, ce n’est pas pour autant que ces faux peintres obtiendront la reconnaissance d’appartenir à une École ou à une lignée esthétique, moi, j’ai la chance de l’avoir grâce à la formation qui m’a donné mon maître, le peintre Hernán Gazmuri : www.hernan-gazmuri.com, cette garantie picturale de formation sérieuse, ils ne l’ont point.

Mon père a commencé ma formation picturale à mes 16 ans, on ne peut pas se former avant, car il faut que les capacités fonctionnelles du cerveau, de l’œil et de la main soient entièrement développées, à différence de tous les autres arts, le peinture ne peut se commencer avant.

Bien, celui-ci est un autre vaste sujet. Je ne développerai dans ce chapitre que le mépris vis-à-vis de mon art pictural et la raison pour laquelle je n’obtiendrai jamais de la reconnaissance en France.

J’ai déjà contacté les tous ces « personnages hauts placés », qui se consacrent au commerce de l’art. S’ils accédaient à me prendre en charge comme agents, ils vont démériter les autres qui n’ont pas de formation, alors se produira un conflit et leur commerce se verrait abîmé.

Personne ne connaît les lois qui s’imposent pour devenir peintre professionnel en France.

Quand je suis arrivée en France et que j’ai pris connaissance de cette horreur, je ne l’ai pas cru et demandé des explications, alors les fonctionnaires me répondirent ceci :

« Ce sont les peintres qui nous exigèrent un statut administratif, alors s’est créé un contrat URSSAF qui fonctionne lié aux impôts et ils ont établi une loi, un protocole ».

Vous allez voir en quoi consiste cette exigence !

Avoir eu une formation picturale sérieuse ?

Non.

Appartenir à une École esthétique ?

Non.

Avoir obtenu une formation au sein d’un Atelier dirigé par une peintre de valeur ?

Non.

Il suffit de se déclarer peintre, de s’inscrire à l’URSSAF et de s’inscrire à la Maison des Artistes et vous serez considéré « artiste-peintre » professionnel !

Vous sortirez du Régime entéral de la Sécurité sociale et vous appartiendrez à la catégorie d’entrepreneur de votre propre art !

Bonjour l’escroquerie qui se prépare.

L’exigence de l’administration, de l’URSSAF et des impôts et que le peintre doit VENDRE OBLIGATOIREMENT, et il va de soi que le peintre doit déclarer les gains minimes imposés à l’année qui lui permettent de vivre indépendant, de se payer la Sécurité sociale et sa vie courante et il devra déclarer ses ventes aux impôts.

L’URSSAF ne vous donne que 12 mois de gratuité pour que vous vendiez vos toiles.

Vous devez être le gérant de votre propre art.

Le problème qui se pose est que si le peintre ne vend pas au bout d’un an il devra payer UNE AMENDE à l’URSSAF.

J’ignore qui peut accepter un protocole de la sorte, si ce n’est pas un mafieux ou une personne chanceuse avec des appuis reconnus, du contraire, c’est placer sa tête sous la guillotine volontairement ou se vouer au suicide comme nos pauvres agriculteurs !

Il a été balayé le métier de galeriste à la manière de Kahnweiller, tout fut détruit de fond en comble et la prostitution de la peinture s’est faite légale, la prostitution de la peinture a trouvé son lieu le plus exécrable de développement ; c’est en France que la prostitution de la peinture s’est créé et qu’elle prolifère avec un vent en poupe pour les peintres les pus ignorants.

Ce monde immonde n’est pas le mien, alors sans mécène, il ne me reste que poursuivre avec héroïsme ma voie d’artiste-peintre et de brandir en solitaire jusqu’à ma mort le drapeau de combattante et de dire haut et fort que je suis la dernière héritière encore en vie de la plus prestigieuse École de peinture moderne française à laquelle j’appartiens pour être la seule disciple qui a laissé le peintre Hernán Gazmuri, ancien disciple du peintre français André Lhote.

Ce mérite sorti de mon héritage pictural et de la formation, personne ne peut me l’enlever. Les médiocres pourront me mépriser et me laisser reléguée au silence, ma peinture qui n’est que silence, parlera en silence l’unique vérité uqi compte, parce que la peinture est une écriture silencieuse.

Et mon devoir et ma mission que j’ai et que je ne cesserai de pratiquer jusqu’à ma mort est celle qui m’a fait venir en France, et je mènerai à terme ma promesse que j’ai faite à mon maître et père, je ne cesserai jamais de peindre.

LA LITTÉRATURE

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