CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

Mon atelier

LA FIN DES J. O.

PARIS LIBÉRÉ  !

« Je suis fière d’être française ! »

Chers Lecteurs,

Ce matin j’allume la télé et on nous annonce la fin des J. O.

Paris libéré !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Enfin me suis dis-je !

Depuis que le bus nous a laissé tomber le 28 août dernier à l’arrêt jardin du Luxembourg et que j’ai dû faire le marathon à pied de là jusqu’à la gare Saint-Lazare, je suis privée de Paris depuis, et je ne vais à Paris que pour faire une démarche ou une course uniquement aux alentours de cette gare, ne pouvant pas me déplacer en métro,

par cause des escaliers et absence d’ascenseurs, (demandez aux F. S. de VILOGIA pourquoi. Les 84 marches d’escalier de cet immeuble pourri que je dois franchir tous les jours, depuis l’entrée à la porte de cet appartement, me suffissent largement comme sport journalier, ce qui m’apporte grave préjudice duquel VILOGIA s’en réjouit !, et ce bailleur sait que la montée et descente des escaliers m’est formellement interdite. Encore un délit pénal de discrimination abusive de ce bailleur criminel).

Donc, mon unique moyen de transport est l’excellent réseau de bus parisien, que par ces J. O. a été supprimé, maintenant j’aurai à nouveau Paris pour moi, je vais le fêter, ce sera la fête parisienne !

De ce reportage télévisé matinal, une déclaration m’a interpellée, une dame a crié « Je suis fière d’être française par le succès des J.O. »

Moi, j’ai pensé aux motifs qui me feraient dire que je suis fière d’être française, pour ce fait, il faudrait faire un voyage rétrospectif de presque un demi-siècle, je viens de calculer le temps que j’ai dépensé comme « ancienne combattante » en France :

44 années

8 mois

28 jours

16.315 jours de souffrance.

Ce matin, j’ai une journée hyper chargée, donc je vais être brève, mais très concise et pour ce fait, je vais vous étaler la liste des motifs de la plus haute importance qui me provoqueraient une fierté sans limite d’être sérancés, la voici :

1. La France est vraiment solidaire et écarte l’avalanche des smicards qui survivent comme des esclaves modernes.

2. la France n’est plus classée comme le pays avec le plus haut taux d’échec scolaire.

3. Le ministère de l’Éducation de l’Ignorance, par un nettoyage de fond en comble, passe à devenir un véritable Ministère de l’Éducation nationale comme à l’époque de notre André Malraux.

4. Le ministère de l’E.N. est nettoyé des mafieux et des inspecteurs criminels.

5. L’effacement des concours pour le remplacer par un cursus de formation des professeurs d’État avec une durée de formation universitaire de cinq années et pratique pédagogique observé par le Directeur de thèse.

6. Les artistes sont évalués par leur formation et non par le taux de ventes et régulés par l’URSSAF, le peintre n’est pas un entreteneur, mais un ARTISTE.

7. La France n’est plus classée comme le pays européen le plus endetté.

8. Il n’y a plus de pauvres survivant avec des aides alimentaires.

9. Puisque « les pauvres, vous les aurez toujours » comme le disent les Écritures, des lois doivent exister pour aider les pauvres véritables et non cette classe de faux pauvres crée par l’État, les sous-payés !

10. Il n’y a plus des bureaux « des assistantes sociales » que pour aider les véritables nécessiteux, les délaissées, les veuves sans ressources, les handicapés en difficulté, les strates sociétales qui par des raisons de poids ne peuvent se suffire eux-mêmes, donc suppression d’une classe d’assistanat où c’est cette nouvelle catégorie dite professionnelle qui abuse nommé « assistantes sociales » les seules à évaluer le succès ou l’éventuel « échec » des citoyens qui ont de la valeur, et où devant ces dames, elles passent à la trappe quiconque est supérieur ; la plupart du temps ce sont elles les démunies d’intelligence et de valeur qui ne peuvent en aucun cas être autorisées à évaluer des personnes qui par leur situation financière et leur compétence professionnelle confirmée, dépassent leur manque de compétences d’évaluation.

11. La France nettoie de fond en comble de Conseil du Désordre qui n’a comme rôle que défendre leur confrérie.

12. Les murs des hôpitaux cessent d’être étanches et une nouvelle loi, que je propose dans mon Livre-Script CLARA, permet aux agents d’inspection qui doivent siéger 7/7, 24/24 dans des bureaux du Procureur, avec un numéro vert, où les victimes de maltraitance ou leur famille peuvent appeler au secours si des médecins criminels sont en train de maltraiter une patiente avec des circonstances aggravantes, que des crimes pourraient être stoppés ! et il va falloir autoriser aux forces de l’ordre, formées pour ce fait, tout particulièrement pour évaluer les maltraitances hospitalières comme le sont à présent pour les déclarations de viol, d’arriver aux services hospitaliers s’il y a une maltraitance qui est en train de se commettre.

13. Le personnel hospitalier n’est plus libre de commettre des crimes en catimini, ni de maltraiter une personne en souffrance jusqu’à la mort, donc le jargon médical et la loi actuelle sont bannis pour laisser la place à la charte du patient, afin qu’elle soit plus que jamais efficace et qu’elle cesse d’être une décoration inutile accrochée aux portes des hôpitaux.

14. Les EHPAD seront contrôlés de manière accrue et seuls les vieux impotents sans famille seront admis.

15. Une loi devra obliger des enfants, la famille à ne pas déloger ses vieux parce que grabataires, des mesures doivent être placées pour que soient les enfants, la famille la seule responsable et qu’une fois que mères et pères qui ont tout donné à leurs enfants soient respectés par leurs enfants, et qu’une fois vieux et impotents, ils ne soient pas délogés de chez eux pour que des organismes commerciaux prennent la relève et abusent de leur incapacité physique et / ou mentale.

16. Il doit se mettre en place par tous les moyens dont l’État doit disposer, aussi bien de budget que du contingent humain, un ratissage profond et immédiat des trafiquants de drogue installés dans les immeubles, c’est une honte pour la France que l’État se déclare lui-même impuissant en déléguant toute responsabilité sur des excuses risibles comme celle de dire que c’est un phénomène mondial impossible d’éradiquer, ceci est un mensonge.

17. La mise en œuvre immédiate des constructions des prisons.

18. Une réforme véritable de la justice. Ils savent en quoi cela consiste, budget, personnel et vous le savez… que cette classe de profession libérale cesse de fonctionner comme « les médecins ! » Pas besoin de plus d’explications !

19. Mettre en place des peines incompressibles pour tous les assassins et violeurs, cette mesure s’impose et ne mérite même pas une discussion. PEINE INCOMPRESSIBLE DE PRISON pour tous ceux qui ont osé tuer et violer. Point à la ligne.

20. L’administration change ses critères d’évaluation et enfin, les véritables valeurs d’un citoyen seront prises en considération, et non radiés, par des « règlements » et « protocoles » inhumains. Éradications des slogans des fonctionnaires « sans qualités ».

21. Je serais fière de vivre en France si ces dégénérés qui tuent à bout portant, n’avaient pas le droit de cité, dont ils jouissent à présent, et qui peuvent en toute liberté tuer à bout portant des citoyens sans défense.

22. Établir une nouvelle loi funéraire concernant les cimetières qui possèdent encore ces « concessions perpétuelles » ; mon dernier essai qui sera publié les jours à venir, propose un changement radical de la loi existante.

23. La Mort en France : politique funéraire de la Terreur.

Je sais qu’il me reste encore des éléments à déclarer.

VOICI MA PÉTITION :

Si vous le pouvez, je vous serai infiniment reconnaissante de bien vouloir transmettre ma liste à Monsieur le Premier Ministre.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

• Professeur d’espagnol.

• 5 années de formation pédagogique dans l’Université U.T.E. de Santiago.

• Deux diplômes français en sorbonne Mention bien.

• Et, artiste peintre, la seule héritière encore en vie de « L’École de Paris ».

• Poète-écrivain. Auteur indépendant.

Arrivée à Paris : 1980 à 2024, luttant sans répit pour survivre et sans la reconnaissance méritée comme combattante parisienne.