24 novembre, 2025 (21:57) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
CHERS LECTEURS,
JE ME FAIS VIOLENCE POUR ME CONNECTER À CETTE CHAÎNE, MAIS J’AI TOUJOURS ADMIRÉ SON COURAGE POUR DIRE LA VÉRITÉ SUR LE DONBASS ET SUR LE NAZISME INCRUSTÉ EN UKRAINE.
ENFIN!
IL FAUT LLE DIRE ET LE REDIRE MILLE FOIS POUR LES NULS
ET POUR LES HYPOCRITES.
ET CETTE PAUVRE FEMME QI COUPE LA PAROLE, QU’ELLE SE TAISE, JE VOUS EN PRIE !
TOUS FINANCÉS PAR LE GOUVERNEMENT TOUTE CETTE CHAÎNE EST UNE HONTE !
24 novembre, 2025 (18:02) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
Estimados Lectores de lengua hispana y extranjeros,
Dedico este reducido artículo à ustedes que me leen desde allá tan lejos.
Quise informarme pour la tele, par saber dónde estamos con el tango de Ginebra, y observo que todos les periodistas rusos traidores que se auto califican en « la oposición » tienen aquí en Francia el cobijo asegurado.
Estos singulares mentirosos, se instalan en Francia como « Pedro por sucasa »; acabo de escuchar una serie de mentiras a propósito de la corrupción, según él eso es algo « del pasado »(!), hasta que la periodista francesa que al parecer no estaba de acuerdo, no tuvo más que contenerse de responderle, bajó los ojos y pude ver en el rictus de su boca que decidió callarse, porque si le discute !pierde su puesto en LCU !
Estos periodistas rusos de « » la oposición » llegan a infectar con su presencia y mentiras, e invaden en este momento las plataformas de la televisión; ya conocemos la propaganda anti rusa; ahora esconden la corrupción generalizada en Ucrania comenzando por ese payaso crapuloso y esconden lo peor de ese régimen viciado que está corrupto desde la raíz.
Vemos que el PAYASO de YouTube se resiste y sigue lloriqueando en modo « internacional », todo este circo me repugna, pero qué puedo hacer?
Por el momento nada sin dinero, sólo esperar…
Ese payaso no quiere capitular aunque recolecte día a día muertos y amputados.
Pasemos en único mensaje que valga : CAPITULACIÓN !
24 novembre, 2025 (15:53) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
L’ENSEIGNEMENT DE LA LANGUERUSSE
À L’UNIVERSITÉ FRANÇAISE
Chers Lecteurs,
Quand on est arrivé à l’âge mûr et de profession « professeur », notre jugement intellectuel de ceux qui nous enseignent est rigoureux, exigeant et n’admet pas les demi-teintes. Pourquoi devrions-nous pardonner l’ignorance des professeurs universitaires qui sont devant nous chargés de nous enseigner ?
Pourquoi, et basés sur quel principe, un élève devrait-il supporter l’ignorance de son « professeur » quand ce sont eux qui attendent des élèves la perfection et qui notent en France selon ses états d’âme, ses concordances politiques et leurs affections ?
Non, je n’agis pas dans la vie munie de cette aberrante forme de penser. En France la déontologie pédagogique n’existe point.
Je suis diplômée de Professeur à l’étranger, quand bien même comme tous les professionnels étrangers qui arrivent comme « expatriés » en France, nous avons dû obligatoirement passer par les étapes de régularisation de nos diplômes étrangers, les méthodes françaises d’insertion professionnelle et d’enseignement sont très inquiétantes quand on ne connait presque rien de la réalité et que l’on vient d’arriver.
La France appelle ceci « faire les équivalences ».
C’est ainsi qu’en 1985, je me suis présentée en Sorbonne, j’ai fait les « équivalences » et j’ai obtenu ensuiteavec succès deux diplômes « français » le premier avec Mention Bien, j’ai un master et un D.E.A. avec une rédaction réussie de mon doctorat de l’ancien régime de 3è Cycle que j’ai rédigé comme « thèse-Essai» et qui devait être édité dans cette forme-là,suivant les ordres de mon Professeur Claude Couffon.
C’est en 1985 que j’ai fait la connaissance de mon Professeur Directeur de recherches Claude Couffon qui était aussi poète de grand talent. Il m’a laissé entière liberté pour faire mes recherches en employant ma propre méthode acquise dans mon pays natal, parce que je me refusais à travailler avec la méthode « scolaire » française qu’exige surtout des thèses de compilation et les miennes étaient plutôt ce qu’on appelle « œuvre d’auteur », or, cette méthode de travail était, et elle le reste, une thèse rigoureuse, mais rédigée avec un écart notable dans le choix d’une part, dans le style de langue et d’autre part, dans la liberté de rédaction qui fut adoptée pour arriver à former un corpus de recherche au contenu libre qui laissait au doctorant la possibilité d’employer son système de recherche et d’expression à la limite des normes strictement académiques françaises qui sont en matière de sciences humaines, assez pauvres, restreintes et dogmatiques, paralysant la pensée du thésard.
Mon Professeur Directeur de recherches a trouvé mes thèses remarquables par la nouveauté de la thèse exposée, et à la fin, il m’a dit : « ceci est un travail très important qui doit être connu par Ernesto Sábato », le premier s’intitule : Le message romanesque et l’écriture dans Le Tunnel d’Ernesto Sabato, le second, mon doctorat : Les Sources Italiennes dans Le Tunnel et trois études comparatives ». Je suis spécialiste en l’oeuvre d’Ernesto Sabato.
Il faut savoir que toutes les exégèses du Tunnel qui se sont écrites en France et de par le monde sont erronées, il sont enseignées remplies d’équivoques dans les textes pour préparer le Bac et aussi celles destinées aux étudiants universitaires.
Ma thèse met fin aux erreurs et à la fameuse stupidité de classer le personnage central du Tunnel classé comme « énigmatique », nous rions à l’époque avec Couffon, la France nomme « énigmatique » l’ignorance !
Et, lors d’une des visites régulières qui faisait Sábato à Paris, nous avons été présentés, il a lu mes deux travaux de recherche, nous avons maintenu une correspondance régulière et il me donna bon nombre de conseils.
Concernant ce que j’ai du subir comme répudiation gratuite, faite de jalousie et sadisme du professorat de l’espagnol, spécialité des grands ignorants en France, qui se consacrent exclusivement au Siècle d’Or espagnol et restent stagnés-là, c’est facile, et il m’a dit « tout ce que vous subissez est une INFAMIE ».
Mon Professeur voulait mon départ en Espagne où j’aurais pu sous ses vives recommandations à une de ses collègues de l’Université de Madrid, trouver refuge pour mon développement académique, mais à ce moment-là et aussi par la suite, je ne pouvais pas faire subir à Maman une seconde expatriation, dans laquelle je n’avais plus l’appui financier très important de mon expatriation et arrivée en France qui m’avait permis de m’installer SANS JAMAIS FAIRE DE LA MENDICITÉ comme le font tous les réfugiés, et les expatriés, je suis arrivée avec mes propres moyens financiers qui s’épuisèrent en deux voyages, le premier, pour explorer le terrain, et le second définitif et, il s’est ajouté une année de vie à Paris en cherchant du travail.
Ceci dit, passons à l’essentiel après ce liminaire au contenu informatif.
Les gens ne peuvent pas deviner mon parcours et il suffit de dire que si nous ne sommes pas « français de souche » tout le monde vous allie à la vague de réfugiés et ensuite à la pratique de l’assistanat, c’est une bien malheureuse et restreinte manière de juger les personnes ; en ne nivelant que par le bas et ce qui est encore pire, les français croient qu’ils m’ont RENDU SERVICE en me laissant m’installer ici avec Maman sans rien demander à la France ! Quand cette descente aux enfers dans la banlieue aux accents criminels, pour commencer par le « bailleur social », il n’est que le fruit de l’appauvrissement programmé de ma personne, qi a été faite par les dirigeants académiques, de « l’éducation nationale de l’ignorance » et que dire des « autorités incompétentes » artistiques qui piétinèrent mes productions picturales et littéraires.
Mais, je ne continue plusà « me battre » comme j’étais obligée à le faire quand j’étais jeune, cette position face à la France a pris fin, je continue à TRAVAILLER mon art à contre-courant, dans l’invisibilité forcée dans laquelle « la France » m’a laissé, en vivant ici comme un APATRIDE sans aucun droit à mon développement artistique.
Pourquoi je continue à travailler sans aucune reconnaissance?
Parce que je suis convaincue qu’un jour, cet enfer prendra fin et pour toujours. Pour un être humain qui subit les attaques gratuits de la société où il vit, il a l’obligation de fuir pour se faire respecter, personne ne doit à cette époque subir des humiliations et se porter complice de la barbarie, gagner contre l’adversité sociétale pour obtenir son bien-être, ne serait ce que quelques années ou quelques jours de ce qu’on nomme « bonheur » , il est un gain mérité et ces peu d’années d’une belle vie seront précieux, peu importe l’âge, notre pensée axiologique doit être comprise et appliquée non en nombre exact d’années, calculée comme mesure chronologique, mais en gains spirituels qui ne sont pas mesurables.
Je reprends les éléments essentiels que je dois et que doit obligatoirement employer un professeur soit-il jeune ou âgée comme il est mon cas à présent, et qu’il décide dans sa maturité professionnelle d’apprendre une langue étrangère.
Les universités françaises qui enseignent le russe emploient un système et méthode unique.
Le cursus ne dure que trois ans, à différence des pays étrangers qui forment les professeurs dans une durée de cinq ans. Ici en France le seul but es de donner une formation pour déboucher dans l’enseignement du secondaire. Avec le mal fameux Capes.
Les élèves à peine sortis du lycée rencontreront là l’université que je nomme: Le Lycée BIS !
Le niveau est très bas.
Les élèves d’un amphithéâtre sont sortis du secondaire le mois dernier pour se concentrer dans la médiocrité. L’échantillon étudié est le suivant, d’une centaine, il n’y a pas plus de sept acceptables. Le ministère a constaté que les hordes qui sortent des lycées, formés sous l’idéologie de « Le Bac pour tous » ne saventrien, son incultes, et l’université leur donne des tutorats pour apprendre la langue française, car ils font 30 fautes par page.
Les méthodes de compréhension de texte, d’analyse, d’exégèse, de prise de notes, et de recherche universitaire qui doivent s’apprendre en Terminale ne sont pas dispensées dans les lycées publics, alors c’est l’Université qui remplit le rôle d’une dernière année de lycée, que devrait commencer classe de seconde, parce que ce sont les trois dernières années du secondaire les décisives pour entrer à l’université bien préparés et autonomes. En France il n’existe pas cet acquis pour les élèves qui entrent en Licence, il faut savoir que la Sorbonne n’est pas une université d’excellence comme l’est par exemple l’École Normale Supérieure ou les grandes Écoles d’ingénieurs, le Polytechnique et, les universitésscientifiques, les « intellectuels » regroupés en l’étude de sciences humaines sont d’un niveau execrable, parce que les professeurs quand bien même de qualité, ils doivent diminuer à la moitié le niveau d’exigences.
Pour moi, c’est franchement désespérant !
J’ai fait des crises d’hypoglycémie là dedans !
Ceux qui veulent devenir traducteurs ou bibliothécaires sont contents, parfois ils choisissent le tourisme, c’est pourquoi à présent, pour élargir les possibilités de travail, la fac exige de s’inscrire, mis àpart l’apprentissage du russe, dans le choix d’une deuxième langue et aussi il faut choisir OBLIGATOIREMENT une « option » d’une autre « culture ».
L’apprentissage d’une deuxième langue étrangère est en première année de licence, une seconde aberration pédagogique, au lieu de donner le plus possible d’heures À L’APPRENTISSAGE ETÀ LA PRATIQUE ORALE DE LA LANGUE RUSSE, que nous ne pratiquons jamais, restant assis en train de copier les regles grammaticales et …De phonologie. mais, passons !
J’ai tant écrit sur cette catastrophe dans l’enseignement de langues étrangères en France que je me suis décidée à ne plus y revenir détail en donnant des cours virtuels.
Sans enseigner la pédagogie, le cursus d’apprentissage des langues étrangères se consacre aux matières spécifiques de la discipline, elles sont concentrées surtout sur l’histoire et la littérature, sauf que dans l’université que je viens de fuir il y a un mois,aucun intérêt de la nommer, elles sont toutes égales dans la mauvaise gérance des programmes, mais il y a une EXCLUSIVITÉ majeure dans celle-ci qui n’existait pas en 2017, quand je m’étais inscrite et que j’ai dû quitter aussi, mais grâce à qu’il y avait une remarquable professeur de littérature russe, je suis restée un semestre et j’ai obtenu un 18/20. Cette professeur m’avait bien expliqué en 2017 qu’en France je ne trouverais jamais le type d’enseignement de la langue russe qui est enseigné en Russie pour les étudiants étrangers.
En 2025, je me suis réinscrite en pensant que les programmes s’étaient améliorés, mais non, ils se sont aggravés !
J’avoue que c’est ma faute d’être idéaliste qui m’a fait tomber dans des pièges insurmontables.
Voici l’innovation du programme.
La première annéede licence ne dispense plus le cours de littérature russe, parcequ’il se trouve que il y a eu un changement malheureux, il est arrivée uneprofesseur qui se prend par un « prix Nobel » ; elle vient d’arriver là etelle est devenue détentrice de trois chaires !
Ceci a été pour moi l’épouvante que je n’avais pas encore expérimentée, elle a jugé qu’il fallait balayer les cours de « Littérature Russe », pour les remplacer par« L’Histoire de la Littérature Russe » et, elle s’est permis de créer, selon elle, un autre cours qui s’appelle « Histoire du Visuel » (on peut ajouter le mot RUSSE à tout, mais il faut d’abord maîtriser le contenu)or, ne connaissant RIEN en matière picturale et le comble, le titre qu’elle avait donné à son cours, L’INTERMÉDIALITÉ VISUELLE, cette dame professeur a donné le titre,en ignorant le nom de l’auteur de cette découverte, il s’agitde l’historien allemand remarquable, expert en Histoire de l’Art, qui s’appelle Jurgen Ernst Müller, elle ne connaissait pas l’auteur de la théorie qu’elle « enseigne » ! Et quand je le lui ai posé la question « elle m’a répondu devant les élèves qu’elle ne savait pas, mais qu’elle «allait se renseigner, » alors je lui ai répondu ceci: «Madame le Professeur, ne vous dérangez pas, je vais vous le donner… »
Elle s’est complètement déstabilisée.
Cette catastrophe mal nommée intellectuelle est ce qui admet une université Française, en nous mettant comme Professeur de trois chaires obligatoires une ignorante de taille qui accapare à son avoir trois chaires où il n’y a pas d’autres professeurs pour choisir et lui échapper ?!
La voici l’information ! elle aurait pu la chercher sur Wikipédia avant d’arriver en cours !
Jurgen Ernst Müller
L’intermédialité est un champ de recherche apparu à la fin des années 1980. Le professeur Jurgen Ernst Müller, de l’université d’Amsterdam aux Pays-Bas, est l’un des premiers théoriciens à avoir introduit le concept.
Jürgen Müller (né en 1961) a fait ses études à Bochum, Munster, Paris, Pise et Amsterdam. Après une maîtrise d’histoire de l’art à Bochum et un doctorat d’État, il enseigne à l’université de Hambourg, en tant qu’assistant, ensuite professeur invité à Marburg, Berlin et Paris et, enfin, titulaire de la chaire d’histoire de l’art moderne à Dresde (2002-2021). Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur l’art et le cinéma. Sa spécialisation est la Renaissance du Nord de l’Europe, le cinéma et la photographie.
J’ai continué dans mon exposé et j’ai profité pour lui dire, Madame le Professeur, je ne peux pas ne pas faire une liaison comparative avec l’intertextualité découverte par notre BAKHTINE alors elle m’interrompt et me dit NON! C’est Julia Kristeva qui a découvert l’intertextualité et non Bakhtine. Je voulais poursuivre me ne m’a pas laissé poser une !
Le problème n’est pas que conceptuel, Julia Kristeva a « francisé » le concept de « dialogisme » de Bakhtine, mais à quelques différences qui n’a pas lieu de développer ici, il s’agit de la découverte de Bakhtine.
Ayayay ! Oh là là
J’ai étudié les textes littéraires espagnols pour faire mes exégèses à l’aide de Bakhtine au Chili !
Et, ici en France il n’est plus dans les programmes universitaires d’études russes et il n’est plus réédité !!!!
Ensuite quand une élève lui a posé une question de peintre qui est de la plus haute importance dans l’analyse d’un tableau, que cette professeur a mis comme exemple d’un peintre russe du XVIII s. Elle lui a répondu en faisant une gaffe gravissime, (en espagnol l’on dit: UNA PACHOTADA) pour cacher une ignorance, alors elle lui réponde: « Ah, cela il faut que vous le demandiez au peintre ».
À ce moment là, je me suis dit, je quitte demain cette université.
Mais, avant je me suis rendue au secrétariat pour voir si je pouvais changer de professeur.
« Je voudrais, changer mon inscription de cours et de professeur. »
Non, me répondit le secrétariat, vous devez rester avec elle, c’est obligatoire.
Est-ce que je peux changer d’université, je voudrais aller à Nanterre?
Non, avant vous devez réussir avec succès un semestre ici, après votre dossier passera « en commission » pour voir si il y a de la place et si vous êtes éligible.
Oui, mais nous venons d’arriver nous n’avons eu qu’une semaine et demie de cours !
Encore un non catégorique du secrétariat. Alors je lui ai dit: Vous savez, l’université est en pleine dictature politique et elle s’est transformée en une véritable caserne ».
Tout est loi, protocole et obéissance, une caserne quoi !
Si j’avais décidé de rester, cette exemplaire m’aurait pointé trois zéros; je connais bien les professeurs qui se vengent avec l’abus de pouvoir et font appel aux notespour abattre une élève à leur guise sans que l’élève ne puisse s’adresser à aucune autorité,ensuite, si je reste, il y a un deuxième inconvénient qui m’est encore défavorable, je devrais lui donner des cours de peinture avec mes réponses et ça pour rien au monde, elle détient trois chaires et dirige en plus le département, faisant croire avec sa carte de présentation qu’elle est un génie !
Et moi, qui dans ce duel administrativement je ne suis RIEN, et encore plus grave, je ne parle pas le russe, dans un cade déjà négatif, dévalorisant pour moi, je ne vais lui donner mes connaissances en matière d’art pictural !
JAMAIS !
Et, pour quelqu’un qui est maître dans une matière de la connaissance, il n’est pas possible de camouflerson savoir, pour ne pas « accabler » un professeur ignorant, donc le mieux estde partir sans donner aucune explication, parce que dans le système français l’élève est un pion qui doit se taire, parce qu’il n’est pas encore formé et parce qu’il n’a pas été reçu ni n’est détenteur du diplôme.
Ne croyez pas qu’après les choses évoluent, regardez la situation des professeurs du secondaire, et des « contractuels », bon c’est la fin de mes expériences universitaires en France pour étudier la langue russe.
Donc, je me suis dit,à mon âge et à tout âge, la question du TEMPS est capitale.
Dès mon adolescence, mon père qui était obsédé par le temps et la mort, m’a dit ceci : « Je suis vieux, je peux partir à n’importe quel moment, je veux te laisser avec un diplôme qui te permette de lutter dans la vie, de gagner honorablement ton pain, et que jamais personne n’arrive frapper à ta morte parce que tu est « débitrice ».
Ne pas perdre mon temps a été la devise qui m’enseigna papa, et qui est restée comme une obligation indélébile à respecter pour moi et j’ai ne l’ai jamais trahi.
Je me suis dit, d’une part, avec cette jeune professeur, nouvelle arrivante dans cette fac, je vais perdre 3 ans sans rien apprendre, et d’autre part, en aucun cas je vais continuer assise ici sans rien faire en russe, je ne vais me laisser juger intellectuellement par une inférieure.
Elle est une fausse intellectuelle, ce qui la définit comme une ignorante-érudite certes,dans la matière qu’elle a choisie pour son doctorat, mais j’ai déjà dit que n’importe qui arrive à faire un doctorat, il suffit de passer les années de licence et ensuite de master, calmement, obéissants, soumis et consacrés à obéir aux diktats de recherche académique de COMPILATION, mais arriver à trouver une idée qui va révolutionner l’exégèse littéraire, est une affaire dans le domaine littéraire, extrêmement rare en Europe et inexistant en France.
George Steiner a dit après ses années d’expérience et dans les meilleures universités de par le monde, jamais à « la Sorbonne », qu’il n’y a que « des commentaires sur des commentaires » et il a ajouté que ce qu’il a vu n’est qu’un : Un marécage grisâtre des thèses universitaires »
Il a tout dit.
Revenons au balayage du cours de littérature russe en première année de Licence de russe.
Une novice ou une personne ignorante peut avec légitimité croire que c’est « pour donner un socle historique » à l’enseignement de la littérature. Ceci est faux, le « contexte historique » d’un auteur, d’un écrivain quel qu’il soit, (appartenance d’époque, de nationalité et dans toutes les cultures) doit s’étudier précisément de manière globale, en intégrant l’auteur à son contexte historique et culturel. D’autant plus stupide est ce balayage et séparation de l’étude littéraire que le cursus de Licence a un cours qui s’appelle HISTOIRE DE LA RUSSIE, donc les élèves ne sont pas du tout ignorants de l’histoire russe, il ne fallait pas rajouter ce cursus vide de sans où le professeur parle à une vitesse immodérée lisant ses fiches, et les lèves face aux portables Apple, écriventà la même vitesse que le profparle lisant ses notes, croyant que copier les mêmes mots du professeur leur fera « connaître » et avancer.
Ce jeu d’écoouter le cours et d’écrire à la lettre la lecture des notes d’un faux professeur qui ne maîtrise pas « par coeur » son cours est handicapant pour le cerveau, il empêche de PENSER pendant le cours et naturellement qu’il est une excellente méthode pour les professeurs incapables, cette méthode leur sert pour tenir l’amphi sans parler, et sans lui poser des questions, donc le professeurignorant sauve avec succès ses deux heures de cours de Professeur des universités ou de « Maître de conférences » (le salaire pour chaque chaire est de deux Smic, pour commencer) faites le compte ! Et moi, pendant ces deux heures, je suis restée accablée, démolie et ennuyée à en mourir ! Avec ces deux heures i il m’a suffit, pour tout quitter.
L’histoire de la littérature enseignée de manière abstraite et isoléedes textes littéraires, est un choix arbitraire et maladroit, il révèle un manque de pédagogie, de sensibilité et de savoir faire.
Le Professeur qui y enseigne l’Histoire de la Russie est très connu, ils est un vrai érudit et il est écrivain qui publie des livres monumentaux sur l’histoire de la Russie.
Il nous avait demandé un travail que nous devions lui rendre avant décembre, un petit travail de type scolaire dont nous avions le choix sur des nombreux sujets. Le nombre de pages exigé était de mémoire entre 5 ou 7 pages, moi, j’avais commencé pour choisir le sujet et je lui avais donné un titre à mon travail:
Le Saint Alexandre Nevsky- La religion en Russie et une approche comparative contemporaine.
Je suis à la vingtième page de ma rédaction, et suivant ma devise, je pense que je ne peux pas perdre ce travail et je vais le poursuivre, je me dis qu’un jour, je trouverai un professeur qui me lise, me juge et me donne son verdict.
La première devise d’un professeur qu’il faut apprivoiser pour toute notre vie professionnelle,je l’ai apprise à mes dix-sept ans: un Professeur de Pédagogie nous avait dit:
« Un Profesor debe saberlo todo y aún más, porque si un día un alumno les pregunta algo que ustedes desconocen, va a dejarlos desnudos ante todos ! »
« Un Professeur doit savoir tout et encore plus,parce qu’un jour, il se peut qu’un élève vous pose une question et si vous ne connaissez pas le sujet, il va vous mettre à nu devant tous ! ».
Voila la descente aux enfers intellectuelle de la France.
Pour le moment, il faut continuer comme « autodidacte » et attendre d’avoir beaucoup d’argent, puisque l’argent ouvre toutes les portes, il fautinclure celles de la véritable connaissance pour laisser hors de toute possibilité de nous nuire les ignorants, les fraudeurs et les imposteurs intellectuels.
Traduction DE SA FILLE « ANALPHABETE » SELON « LA FRANCE » DE L’E.N.
MA PREMIÈRE PUBLICATION EN 2005
Le critique Victor Carvacho est le seul à dire publiquement que la seule raison
de la destitution de son poste est la jalousie, disant que « c’est seulement là
qu’il faut chercher la raison des leurs haines et de leur sadisme ».
(Extrait de mon livre)
DE VICTOR CARVACHO, LE SEUL QUI AVAIT OSÉ DE DIRE LA VÉRITÉ SUR LA PERSÉCUTION DES L’OFFICIALITÉ CHILIENNE CONTRE LE PEINTRE, DANS UNNE LANGUE ESPAGNOLE SOLIDE, IL AVAIT UN C-VASTE CONNAISSANCE PLASTIQUE POUR POUVOIR DEVENIR LE MEILLEUR CRITIQUE D’ART.
Pour rendre hommage à mon père et maître en peinture, j’ai aidé Maman à donner l’œuvre capital du peintre à la France en 1980, j’ai écrit un livre en 2005 pour « en finir avec les mensonges de la mafia chilienne » : LE PEINTRE HERNÁN GAZMURI : L’HÉROÏSME DU PEINTRE VICTIME D’UNE INFAMIE.
Ce livre est une monographie qui dit la vérité sur sa vie et son œuvre, parce que tout ce qui est dit chez Wikipédia et ailleurs EST FAUX, je ne lis plus rien sur le net, car je veux rester à l’abri de toute possibilité d’affaiblissement spirituel, et lire les mensonge sur lui m’accable au plus haut point.
Je suis arrivée au comble du supportableque de me voir obligée à répondre aux infâmes et je ne me prêterai plus jamais aux conflits et bagarres ni chiliennes ni françaises.
Et, pour y parvenir, j’ai décidé de VIVRE en bonne santé, et depuis 2017 je vis en ermite pour me sauver de devoir continuer des luttes stériles.
En 2016, au nom de Maman, j’ai fait la dernière donation au MMOMA de Moscou, et quelques toiles et dessins, passèrent à la restauration, je leur remercie infiniment leur acte de respect, je ne l’oublierai jamais, et en complément du don, j’ai leur ai donné tous les documents originaux du peintre, je n’ai gardé pour moi que les photocopies, et son testament olographe original qui fut trahi et violé.
Ces documents et photos sont presque tous dans la monographie que je dois rééditer quand j’aurai de l’argent.
Ce soir, je ne publie que ces trois articlesdont le plus important est celui publié par le peintre lui-même qui devait se défendre des mafieux qui ne cessèrent de le persécuter par jalousies et sadisme, tout comme fait la France avec moi.
Celui GAZMURI ET L’ADVERSITÉet celui qui annonce la vente aux enchères furent publiés dans la presse juste après sa mort.
Hernán Gazmuri fut inhumé dans notre concession perpétuelle dans le cimetière catholique de Santiago, mais il n’y a plus de place.
Je publie les trois articles.
Le second est la preuve de la spoliation abominable que la mafia et un monstre chilien commirent en 1994 contre la veuve du peintre, ma mère, quand les musées réalisèrent un achat-vente frauduleux.
Je ne reviendrai pas non plus sur ça, il suffira de voir que la spoliation ignominieuse nous a laissés Maman et moi-même dépourvues de tout notre héritage pictural.
Les toiles de Hernán GAZMURI sont depuis vendues aux enchères, le conservateur du Musée s’est approprié de l’autoportrait de Gazmuri pour « décorer » son bureau! C’est une doctorante qui lui a rendu visite qui me l’a raconté.
Ce mafieux est reçu ici en France. Double ignominie de deux pays coupables, tandis que je crève ici, quand c’est d’abord Maman qui aurait dû bénéficier de tout ce que mon père lui avait laissé en héritage, cet acte de fraude l’a laissée abattue; la spoliation s’étant produite en 1994, il ne serait pas faux de penser que ce soit pour ça qu’elle a eu en 1999 sa maladie neurologique.
Et, après, c’est moi qui aurais dû prendre les toiles de mon père à ma charge et il me revenait en toute justice de pouvoir le défendre et de me protéger de la misère, et pour me sauver de la deuxième mafia qui me persécute ici, ce ne serait que JUSTICE, parce que je n’aurais aucun souci pécuniaire et la menace de violation, par la France de la tombe de Maman n’existerait point.
Je laisse donc ces trois publications à la connaissance de tous, en hommage à mon Maitre : le peintre Hernán Gazmuri décédé le 20 novembre 1979.
23 novembre, 2025 (16:06) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
Chers Lecteurs,
Ce qui nous dit ce monsieur: CHARLES, est toute la vérité, je le suis dès que je l’ai découvert sur le net et ne manque aucune de ses superbes vidéos.
Il a entièrement raison que pour un français qui a toute sa famille en France, qui a ses biens et son travail en France qui est français de souche et qui est bien installé ici doit être très difficile de s’expatrier, mais tout change selon la cas personnel, nous sommes tous différents, quand bien même la France veut de force convaincre le monde entière que nous sommes tous égaux (devant la loi oui et avant d’être jugés !)
D’aucun p’ont fity que ce qui me sauve du mépris de la France est ma dérision.
Je crois qu’ils ont raison, j’ai un grand sens de l’humour et un caractère de fer et à toute épreuve.
basée sur ces deux principes je vais vous dire ce que je pense, ne soyez pas surpris parce que mes origines sont basques espagnols du coté de mon père (l’Académicien René Huygue :’a enseigné que je ne devais plus croire aux ioridgines mystérieuses des basques il m’a di: vous avez des origiens Cetes !
du coté de Maman toute ma famille était Russe, donc je suis hybride et la moitié de ma génétique me fait ADORER LA RUSSIE, et aimer le froid devant lequel j’ai une grande résistance.
Ceci dit ,il me faut des tonnes d’argent car ma retraite est MIS2RABLE, mais pas d’inquiétude, ne rêvez pas de penser à ma mort pour venir faire une descente mafieuse et venir prendre mon atelier, NIET !
MON TESTAMENT JE L’AI RÉDIGÉ ET PERSONNE dDICI N’AURA RIEN !
Etant donné que je n’ai jamais été mariée et que pour cetTe raison je n’ai pas eu de descendance et que je n’ai plus aucune famille au monde, je n’allais pas être stupide de ne pas penser à mon testament !
VOUS ÊTES FICHUS !!
Bien , quels sont mes désavantages?
Je ne vois aucun autre que l’âge !
Mais qui enferme es soi un grand avantage, je ne chercherais pas de travail !
Mais, il faut savoir que la Russie ne souffre pas de jeunisme comme les Français, à 40 ans ils disent qu’une femme est « vieille ».
La génétique m’a beaucoup aidée, selon les personnes qui me voient, je ne fais pas mon âge, mais ce qui compte et qui dit la vérité, c’est une prise de sang, c’est la prise de sang qui dit en quel état se trouve une personne, la mienne pourrait être publiée, car elle fait état de mon excelente santé; oui, je sais ce que l’on dit : »L’on a unebonne santé jusqu’au jour où l’on la perd » , et aussi nous savons qu’un jour nous allons mourir, les plus jeunes plus tard, et moi qui suis vielle, plus tôt que vous, mais si l’on va penser à la mort, l’ on ne fait plus rien !
N’est ce pas ?
J’ai deux ans de moins que mon Président PUTIN, je n’ai jamais caché mon âge.
Et étant donné que les Français disent que je ne vaux rien, je vais vous dire ce qu’ils pensent de moi, au point de me laisser comme une apatride avec un retraite de misère:
JE SUIS ANALPHABÈTE, JE N’AI JAMAIS ÉTUDIÉ, NI À L’ÉCOLE NI À
L’UNIVERSITÉ ! ils disent tellement des vérités, les français de
l’administration !
je n’ai pas le BAC+8, je n’ai jamais travaillé
donc je ne SUIS RIEN !
JE NE SUIS PAS ARTISTE-PEINTRE
UNE FOIS UN FRANÇAIS M’A DIT:
« ET QUI DIT QUE VOUS ÊTES ARTISTE-PEINTRE? » !!!!
JE NE SUIS PAS POÈTE-ÉCRIVAIN,
PEUT-ÊTRE CROYAIT-IL QUE J’AI COMMANDÉ AUX
TIERS D’ÉCRIRE MES POÈMES ET MES ESSAIS ?
J’AI ÉCRIT 28 LIVRES ET
MES DROITS D’AUTEUR NE SERONT PAS POUR VOUS NON PLUS !
JE N’AI AUCUNE VALEUR, C’EST CE QU’ILS DISENT !
« MAIS DÈS QUE « LA GAZMURI » DÉCÈDE, PRÉVENEZ-NOUS !
IL FAUT ALLER TOUTE SUITE
RAMASSER SES TOILES, PARCE QU’ ON VA LES VENDRE AUX PLUS
PRESTIGIEUSES VENTES AUX ENCHÈRES ET L’ONT VA S’ENRICHIR
AVEC CELLE-LÀ, DE TOUTE FAÇON PERSONNE NE NOUS FERA DE
PROCÈS , CAR ELLE N’AVAIT PLUS DE FAMILLE AU MONDE, CHICHE ! »
C’EST VRAI QUE JE NE PARLE PAS LE RUSSE, CAR MES TROIS TENTATIVES AU SEIN
DE LA FAC M’ON FAIT FUIR !
LA DERNIÈRE DATE DU MOIS DERNIER !!!!
JE NE FERAI PAS LE RÉCIT DE LA CATASTROPHE !
MAIS, SI DIEU M’AIDE AVEC MES TOILES, JE ME PAIE UN PROF PARTICULIER
(50 € DE L’HEURE!)
POUR DES COURS INTENSIFS ET EN 6 MOIS, JE PARLERAI L’ESSENTIEL POUR ÊTRE
AUTONOME.
UN RENSEIGNEMENT DE LA PLUS HAUTE IMPORTANCE, ÉTANT DONNÉ QUE JE SUIS
ANALPHABÈTE, ET QUE JE N’AI JAMAIS ÉTÉ UNIVERSITAIRE, NI PROFESSEUR EXPERTE EN PÉDAGOGIE DANS UN CURSUS ÉTUDIÉ À L’ÉTRANGER ET AVEC DES ÉQUIVALENCES EN SORBONNE ET DEUX DIPLÔMES FRANÇAIS DONT UN DOCTORAT
SUR L’OEUVRE D’ERNESTO SÁBATO, J’AI ÉTÉ APPELÉE EN 1982 POUR ENSEIGNER
L’ESPAGNOL À DES PDG QUI DEVAIENT PARTIR À CARACAS , POUR LA
CONSTRUCTION DU MÉTRO.
JE LEUR DONNAIS DES COURS TOUS LES JOURS ET AU BOUT DE SEPT MOIS, ILS
PARLÈRENT L’ESPAGNOL, COURAMMENT, NON LA LANGUE LITTÉRAIRE, NI
LES STUPIDITÉS QUI GREFFENT EN FRANCE À L’ÉTUDE D’UNE LANGUE QUE L’ON
DOIT PARLER POUR »COMMUNIQUER »; L’APPRENTISSAGE D’UNE LANGUE A COMME
PREMIER BUT LA COMMUNICATION, LE RESTE, CE SONT DES ÉLÉMENTS IMPORTANTS CERTES, MAIS QUI AU DÉBUT DOIVENT RESTER SECONDAIRES DE SECONDE UTILITÉ.
LA LANGUE S’EST CRÉÉ D’ABORD COMME ÉLÉMENT DE COMMUNICATION, LA
LITTÉRATURE QUI NE S’ENSEIGNE PLUS NON PLUS EN PREMIÈRE ANNÉE, PAR LES ORDRES D’UNE INCAPABLE COMPLÈTE, ET LES ÉTUDES SCIENTIFIQUES DE LA LANGUE QUI SONT L’ UNIQUE INTÉRÊT DES FACULTÉS, C’EST UN OBJECTIF CRÉTIN !
QUI VOUS LAISSE HANDICAPÉE COMME DES ÉLÈVES « SOURDS-MUETS »!
DE LA LANGUE RUSSE.
EN UN MOIS DE COURS, JE N’AI JAMAIS OUVERT LA BOUCHE QU’UNE FOIS POUR
RÉPONDRE À UNE QUESTION DU PROFESSEUR
QUI ÉTAIT UNE UNE RÈGLE DE GRAMMAIRE CONCERNAT
LES CONSONNES DURES ET MOLLES
C’ÉTAIT MA RÉPONSE À LA QUESTION QU’ELLE AVAIT POSÉE À L ‘AMPHI, ET COMME PERSONNE N’A LEVÉ LA MAIN, JE L’AI FAIT, CAR LA GRAMMAIRE JE L’ÉTUDIE SANS PROBLÈME,
MAIS JE NE SAIS PAS PARLER !
GÉNIAL ! JE POURRAIS ARRIVER À L’AÉROPORT AVEC MES CONNAISSANCES DE
GRAMMAIRE ET MA FEUILLE DE LOIS DES PHONOLOGIE QUI NE SERT À RIEN !
J’EUS UNE EXCELLENT PROFESSEUR RUSSE, MAIS ELLE DEVAIT OBÉIR AU
« PROGRAMME FRANÇAIS » ET TRAVAILLER AVEC UN « AMPHI » CE QUI EST UNE
ABERRATION D’ENSEIGNER SANS LA PÉDAGOGIE ADÉQUATE POUR
FAIRE PARLER LES ÉLÈVES ET LE COMBLE, LE LABORATOIRE DE LANGUES ÉTAIT FERMÉ SANS EXPLICATION ! IL EST INTERDIT DE DÉVOILER LA VÉRITÉ AU SEIN DE L’UNIVERSITÉ , PARCE QU’EN FRANCE, LES FACS EN CURSUS DE LICENCE FORMENT DES BOVINS POUR ALLER À L’ABATTOIR DE L’ÉDUCATION NATIONALE.
L’ON N’ENSEIGNE PAS UNE LANGUE À UN AMPHI, CAR IL EST NORMAL QU’ON RESTE
MUETS !
QUESTION QU’ELLE AVAIT POSÉE À L ‘AMPHI, ET COMME PERSONNE N’A LEVÉ LA
MAIN, JE L’AI FAIT, CAR LA GRAMMAIRE JE L’ÉTUDIE SANS PROBLÈME,
MAIS JE NE SAIS PAS PARLER !
GÉNIAL JE POURRAIS ARRIVER À L’AÉROPORT AVEC MES CONNAISSANCES DE
GRAMMAIRE ET MA FEUILLE DE LOIS DES PHONOLOGIE QUI NE SERT À RIEN !
IL FAUT AU MOINS SAVOIR « SE DÉBROUILLER » ET NON POUR DEVENIR
TRADUCTEURS OU BIBLIOTHÉCAIRES
MON DIEU !
MAIS POUR ÊTRE AUTONOMES, ET NE PAS ARRIVER EN RUSSIE COMME DES,
PARFAITS ANALPHABETES DÉPENDANTS DES TIERS, IL FAUT PARLER LA LANGUE
SANS L’AIDE DE PERSONNE !
L’AÉROPORT, L’HÔTEL, LA LOCATION D’UN APPARTEMENT, ET LE PLUS IMPORTANT SAVOIR PARLER POUR OUVRIR UN COMPTE BANCAIRE,
ALLER AU SUPERMARKET, ALLER À L’ADMINISTRATION POUR LES INSCRIPTIONS
PAYANTES, LÀ-BÀS L’ASSISTANAT, DE « TOUT GRATUIT », N’EXISTE PAS ET ENFIN SE
LIBÉRER DES CHAÎNES DE LA HONTE !
JE PENSE QUE J’AI RÉPONDU AUX CONSEILS ET AVERTISSEMENTS CETTE SUPERBE
VIDÉO, PARCE QUE
JE SUIS APATRIDE,
JE N’AI PAS DE FAMILLE
JE N’AI AUCUNE VALEUR
ET J’AIME LE FROID,
BON, C’EST TOUT POUR CE MATIN, LA SUITE POUR PLUS TARD.
23 novembre, 2025 (12:00) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
Chers Lecteurs,
J’habitais un taudis qui fut catalogué d’insalubre et dangereux par la mairie de Paris qui l’a visité, par fortune j’ai gardé toute les photos, c’était pire qu’ici dans cette HLM de VILOGIA ! Parce que les amis du « Docteur Traître-Tant » l’utilisaient comme déchèterie !
C’était une espèce de « Syndrome de Diogène », à mon arrivée la porte ne pouvait pas s’ouvrir par le tas d’ordures et déchets accumulés, c’était un taudis dans le 20 ème, cedé « gratuitement » pour une année par des amis et les commanditaires de l’assassinat de Maman LE SICAIRE, c’est ça la vérité de son assassinat et non une surcharge médicale ni une « faute médicale » mais un crime prémédité pour me déloger !
Ce crime contre Maman fut commandé au « docteur TRAÎTRE-TANT »,or à peine enterrée Maman, un. type commandé arriva « me déloger » , ce type assassin m’attendait à l’entrée, m’exigeait la clé, que je ne lui ai pas donnée évidémment alors il m’arracha mon portable des mains et quand j’ai voulu appeler la police et il m’a plaquée contre le mur COMME dans cette vidéo.
Il m’a dit:
« ICI, IL Y AURA DU SANG ! »
Il se croyait à GAZA ?
Ce type était
Un lâche barbu avec des lunettes mesurant 1m90 !
Il ne savait pas que ces bravades d’intimidation ne marchent pas avec moi !
Je ne connais pas ces méthodes de défense, mais j’eus le bon réflexe et l’intelligence d’esprit pour me sauver en glissant vers le bas et je me suis détachée, j’ai couru sonner chez un voisin chinois qui a ouvert sa porte et grâce à lui je me suis sauvée le tyran, lâche qui est parti en courant !
Le lendemain ils arrivèrent mettre de la colle dans la serrure et me laissèrent séquestrée et c’est une dame qui admirait mon père et qui travaillait dans le milieu universitaire qui est allée à l’Ambassade de France au Chili et qui alertèrent les autorités françaises, l’on a même publié un article sur moi annonçant que la fille du peintre Hernán GAZMURI était sequestrée dnas un taudis en France !
Finalement mon avocate qui m’a défendu dans le cadre DALO à écrit à la police et au préfet de Paris et changèrent la serrure dotée d’un code, et j’ai pu me libérer quelques mois après et suis tombée dans la chambre HLM de Paris 13 de 16m2 ou pendant 8 ans je n’ai pas pu peindre, c’est l’unique raison d’avoir accepté ce taudis de Poissy.
Je ne sors pas de l’enfer des HLM taudis de la France !
À l’époque j’etais occupée uniquement de l’enterrement de Maman, je ne savais pas ce qui allait m’arriver ni ne m’étais préparée en lutte de défense.
Il faut laisser en incapacité de nuire ces agents étrangers en étudiant ces méthodes de défense, ça vaut mieux qu’un procès, ma plainte devant la justice, sans procès, je l’ai perdue naturellement, ces agents du Moyen-Orient, ils ont des excellents avocats communautaires et des influences auprès des juges.
Moi, je suis appauvrie par la France et je n’ai plus rien de ce que j’avais au Chili, donc pas de droit à me payer un excellent avocat.
MAIS J’AI UN TRÉSOR EN ARGENT
QUI SONT MA CRÉATION PICTURALE ET MES 28 LIVRES !
Pas d’inquiétude, tout sera dévoilé dans mon livre…Un jour.